Barbara de Ma Bulle Déco ressuscite les meubles !

Barbara de Ma Bulle Déco ressuscite les meubles !

C’est en 2014 que j’ai rencontré Barbara pour la première fois, lors de la première édition de l’Upcycling Market à la Condition Publique à Roubaix (59) !

Ah tiens, c’est rigolo, je viens juste de faire la connexion dans mon cerveau, j’avais aussi rencontré Orel, ce jour là !

Deux univers qui portent les mêmes valeurs, chacune dans un style très différent. C’est qui fait la beauté de la création et de l’artisanat.

Notre rencontre était particulière, car en 2014, je travaillais encore en tant que coiffeuse-maquilleuse pour les studios photo, et Barbara travaillait dans un studio à l’époque. Nous avions donc eu l’occasion de travailler en commun sur un projet publicitaire.

Je remarque que nous avons évolué chacune de notre côté avec un but commun : celui de se rapprocher des valeurs que l’on porte dans notre cœur pour créer une entreprise qui nous ressemble.

C’est avec beaucoup de joie que je me suis rendue à son atelier-boutique situé au n°19 du Village des métiers d’art du Septentrion à Marcq-en-Baroeul.

Je suis très heureuse de te présenter Barbara et son fabuleux parcours <3 <3 <3

 

Barbara est une passionnée ET une grande communicante ! Les deux rassemblés font ce qu’elle est aujourd’hui. Barbara restaure des meubles anciens et leur donne une seconde vie. Elle communique tout ça sur son blog à travers des tutoriels.

  • J’aime partager ma passion ! C’est ce qui me motive aujourd’hui. C’est mon moteur ! Faire du neuf avec du vieux, ma passion pour les meubles anciens, et la communiquer à toutes les personnes qui peuvent être intéressées par ça.

Barbara est passionnée par les vieux meubles depuis qu’elle est toute petite.

Comment ça a démarré l’Aventure « Ma Bulle » ?

  • Dès que je visitais une vieille maison, un vieux château, j’étais comme transportée dans un univers magique. Les vieux meubles et les brocantes, ça a toujours été mon truc ! Donc, quand je me suis meublée, j’ai décidée d’acheter des vieux meubles et de les retaper moi-même.

  • J’ai créé un blog pour partager toutes mes trouvailles et mes réalisations et je me suis aperçue que ça intéressait les gens. C’est comme ça que le blog « Ma Bulle » est né ! De fil en aiguille, j’ai souhaité consacrer plus de temps à ce qui me plaisait …

Barbara a travaillé dans la communication pendant 15 ans.

A un moment donné, elle s’est posée la question :

« est-ce que c’est réellement cette vie là que je veux continuer à vivre, ou est-ce que je ne pourrais pas aller un peu plus loin dans ma passion ? » 

 

  • J’ai décidé de franchir le pas. J’ai créé mon entreprise « Ma Bulle Deco.com« . J’ai créé un site plus commercial, marchand, avec mes réalisations à vendre, la possibilité pour les gens de demander un devis, de s’inscrire à mes ateliers… Donc, le blog continue, mais maintenant il y a aussi cette partie commerciale que j’essaie de développer.

 

Barbara a démissionné de son ancien boulot il y a maintenant 3 ans, pour se consacrer totalement à son activité ! Quel bel exemple de reconversion !

  • Même si ce n’est pas facile tous les jours, je suis contente, je ne regrette en aucun cas mon choix. Ce sont des gros risques à prendre, notamment sur le plan financier. Mais que du bonheur ! De belles rencontres … Vivre de sa passion, c’est quand même super ! C’est un sentiment de Liberté terrible (dans le bon sens du terme bien sûr) ! Ne pas savoir de quoi le lendemain sera fait … Parfois avec des craintes au niveau financier évidemment mais je me dis que  Tout est Possible, tout est ouvert. Chaque semaine est différente et c’est une Aventure de plus qui commence !

J’adore ! J’adhère ! J’adore !!! Si tu commences à me connaitre, tu te doutes bien que les propos de Barbara résonne énormément en moi. Je rencontre chaque jour plein de gens qui aimerait franchir ce cap, se lancer aussi. Je demande à Barbara quel conseil elle aurait à apporter pour passer à l’action 😉

  • S’écouter et surtout si on a des doutes, c’est qu’on est pas prêt. J’ai eu aucun doute quand je l’ai fait. Je savais que c’était vraiment ça que je devais faire. Je me suis écoutée. Il faut savoir écouter la petite voix et d’un autre côté, s’il y a trop de choses qui basculent sur l’inquiétude, il ne faut pas le faire. Il faut être un petit peu inconscient, j’avoue ! (rires)

Retrouve ton Âme d’enfant et hop ! Franchis le cap ! Tu peux le faire si tu en as l’élan !

  • Je conseille toujours aux gens qui ne sont pas tellement heureux dans leur boulot et qui ont des passions créatives ou autres, je leur conseille toujours de se demander : « Qu’est-ce que tu aimais faire quand tu étais petit ? T’aimais dessiner, écouter de la musique, créer de tes mains … ? » Souvent, ces gens là me racontent plein de choses et je leur dit : « Bah alors, qu’est-ce que t’attend pour revenir à tes premières passions ? » Ils me disent : « Oui, mais y’a les enfants, la maison, la famille… » Oui, certes, et alors ? Qu’est-ce que tu risques ? De toute façon, dans la société dans laquelle on vit aujourd’hui, il y a toujours moyen de rebondir ! Il faut Oser !

Quel beau message ! Si ce message peut inspirer ne serait-ce qu’une personne sur Terre a franchir ce cap, je suis la plus heureuse de la planète !

 

Et le processus de création de Barbara dans tout ça ?

  • Au départ, beaucoup de récup, notamment avec les encombrants, quand les gens mettaient leurs meubles sur les trottoirs. Chose qui n’existe plus aujourd’hui, parce que c’est devenu interdit. Malheureusement, il y a beaucoup de beaux meubles qui partent en déchetterie. J’essaie de les capter avant cette étape là. Maintenant, les gens commencent à savoir ce que je fais donc il me donne des meubles. Sinon, il y a toujours les vides-grenier, Emmaüs … qui sont là pour me fournir en vieux meubles.

  • Une fois que j’ai le vieux meuble, il peut dormir très longtemps dans mon garage, parfois 3 ans, parfois même plus, comme il peut être fait dès le lendemain. Ça dépend vraiment des envies qui me passent par la tête. Il y a des choses qui m’inspirent, certaines qui ne m’inspirent pas et d’autres qui m’inspirent très tardivement. Il n’y a pas de règles.

Barbara fait aussi de la brocante où elle vend des meubles dans l’état pour alléger son stock, mais ce n’est pas son but premier.

  • Mon but, c’est vraiment de les réveiller, leur donner une seconde vie. J’aime bien leur apporter un petit quelque chose en plus, qui crée un petit effet « Waw! ». Les gens qui viennent dans ma boutique ou qui vont sur mon site, sont souvent surpris de ce qu’on peut faire avec ce genre de vieux meubles dont personne ne veut. L’effet Waw ! L’effet Avant/Après !

Je suis très touchée par la démarche de Barbara, d’autant plus que l’économie durable est un sujet « planétaire » !

  • L’économie durable est quelque chose qui me tient très à cœur. Dans mon métier d’avant, ce qui me gênait, c’était de participer à un système auquel je n’adhérais plus. Cette fabrication à outrance où l’on incite les gens à acheter du jetable, ça me gênait. Participer à toute cette économie à laquelle je ne croyais plus du tout, d’ailleurs je pense qu’elle est nocive.

Je vois que nous avons quitté le monde de la publicité pour des raisons similaires …

  • C’est ma façon à moi de faire quelque chose pour l’environnement. Ça me donne aussi, quelque part, bonne conscience. Quand je vois tout ces meubles qui étaient censés être jetés et qui sont revisités, restaurés et qui repartent pour une nouvelle vie chez les gens, avec en plus un côté original, unique et personnel, ça me fait plaisir ! C’est ma façon d’apporter ma contribution même si elle est toute petite, à quelque chose de nouveau, à cette économie durable qu’on commence à voir arriver. Il y a du boulot, je ne sais même pas si on va y arriver, il y a tellement à faire.

A mon sens, je pense que le principal, c’est de faire sa part. Barbara fait la sienne et je pense qu’on peut tous apporter notre contribution de la manière la plus juste pour chacun. L’Être Humain est bourré de ressources et est capable d’accomplir de grandes choses, rien qu’en contribuant avec les moyens qu’il a, même si ce n’est qu’un tout petit peu tous les jours.

  • Si chacun apporte un peu de soi et de sa bonne volonté, je pense qu’on va y arriver. Malheureusement, les problèmes écologiques sont quand même là. Il est quand même grand temps de faire quelque chose de beaucoup plus impactant, ça ce n’est pas au niveau des petits entrepreneurs comme nous que ça se passe. C’est au niveau de la grande industrie…

  • Si déjà on arrive à inciter les gens à acheter chez nous plutôt que chez Ikea, c’est pas mal ! Tout meuble acheté chez moi est un meuble récupéré et non fabriqué en Chine, c’est déjà ça. Mon but, c’est de rendre abordable les meubles. C’est pour ça que je ne fais pas des prix trop trop chers. Je m’aligne un peu sur des prix de grandes enseignes. Finalement, je préfère que les gens aient le choix et qu’ils se disent : « Tiens, je vais prendre une pièce unique, fabriquée à la main, plutôt que d’aller acheter ce que tout le monde a. » C’est difficile de faire comprendre ça aux gens, parce que les gens sont un peu des moutons aussi … Ils aiment bien avoir les mêmes choses que tout le monde malgré tout, malgré ce qu’on pourrait penser. Il faut aussi les éduquer.

Moi j’y crois, j’ai bon espoir ! Ça va venir. Les choses sont en train de changer déjà, même si on en mesure pas l’impact maintenant. A ce propos, où se voit Barbara d’ici 3 à 5 ans ?

  • Je me vois toujours ici. Dans 3 à 5 ans, dans mon rêve le plus fou, ça serait d’avoir une équipe avec moi, que Ma Bulle soit une vraie entreprise avec un local beaucoup plus grand, où je pourrais avoir à la fois une boutique qui tourne et mettre en place plus d’ateliers. Aujourd’hui, je ne peux faire que deux séances par mois, étant donné le peu de place que j’ai. J’ai envie de créer une émulation autour de ça. Grandir. Mais y’a du boulot !

Tant mieux, j’ai envie de dire ! C’est qu’il y a encore plein de choses à mettre en place, qui sont réalisables en plus. J’encourage vivement Barbara dans sa démarche. Et quand tout ça se sera concrétisé, son Rêve Ultime ?

  • Je serais déjà contente d’arriver là. J’aimerais donner envie aux gens de faire pareil. Et aux jeunes aussi ! Pouvoir éduquer les jeunes dans ce sens là, les sensibiliser. J’essaie de le faire par des tutos que je publie sur mon blog. Je sais que les jeunes sont plus sensibles à ça que les gens plus âgés. C’est déjà un bon signe, ça va dans le bon sens. Ils sont moins formatés que l’on croit, les jeunes. Ils ont plus le réflexe « Do It Yourself » – faire soi-même – que la génération « je vais en magasin, en centre commercial et je consomme ». Les jeunes sont beaucoup plus débrouillards, je dirais. Parce qu’ils sont aussi de la génération d’internet, donc ils se documentent beaucoup sur comment faire les choses … C’est un bon signe pour l’Avenir. J’encourage la jeune génération à aller dans ce sens.

  • Il se passe des choses aussi au niveau de la collaboration entre chacun : le co-working, le co-voiturage, le co-… On a du « co » partout ! Les jeunes ont ce réflexe là, ils ont le réflexe de partager une voiture pour payer moins cher par exemple, et en même temps, ça crée du lien. Toutes ces choses là, c’est chouette !

Créer du lien, voilà une Valeur qui me porte et me tient énormément à cœur.

  • Participer à un atelier créatif, c’est aussi créer du lien. Il faut aussi arrêter de dénigrer toutes ces formations manuelles. Je trouve qu’on les a beaucoup trop dénigrer pendant très longtemps. Qu’est-ce qu’on serait sans ça ? C’est la base de tout. Tout ce qu’on utilise aujourd’hui, était au départ, issu d’une fabrication manuelle. Il y a des mains derrière, qui ont fait des choses. Et ça, on l’oublie. On oublie parce qu’on nous balance à grand coup de marketing que ce n’est pas ça qui est important, c’est du prix, de la possession, … bref, on rentre dans un grand débat ! 

Que nous n’avons pas poursuivit lors de cette interview… Je pense que Barbara sait de quoi elle parle pour avoir côtoyé ce monde quelques années tout de même. Je n’ai pas réussi à tenir aussi longtemps … C’est normal d’être révoltée parce que l’on a pu observé dans ce monde de la consommation à tout prix !

Pour finir sur note un peu plus douce, je lui demande ce qui lui plait le plus dans l’Aventure du Pink Power Tour ?

  • Ce qui m’intéresse dans ce que tu fais, c’est que tu vas à la rencontre des gens qui ont une vision différente. Et moi j’aime bien les gens qui pensent différemment, qui voient les choses d’une autre façon, qui osent, qui risquent, qui écoutent leurs passions. J’adhère complètement à ça et c’est pour ça que je trouve ça chouette. C’est super, il faut continuer ! Pink Power !!!

Merci à Barbara pour ce super moment que nous avons partagé ensemble, c’est plus qu’encourageant et terriblement inspirant. 

Je t’invite à aller à sa rencontre dans son atelier boutique à Marcq en Baroeul (59) au n°19 du Village des métiers d’art du Septentrion.

Son site internet : Ma Bulle Déco.com « Réveillez vos meubles ! »

Et sur Facebook : @mabulledeco

Instagram : @ma_bulle_deco

Partage cette interview et inspire le monde à ton tour si le cœur t’en dit !

A très bientôt pour de nouvelles Aventures !!!

Mon livre, cette Aventure …

Mon livre, cette Aventure …

Cette première semaine de l’année est placée sous le signe de l’introspection et de l’observation. Je prends conscience de ce qui est important pour moi et je revois mon sens des priorités. Ça secoue un peu et en même temps, c’est plutôt agréable et très libérateur !

MON LIVRE

Le 2 septembre 2016, je me suis lancée le défi d’écrire un livre en 80 jours et cela n’a pas été une mince affaire !!! J’ai écrit mes premières lignes dans le train, le 15 septembre 2016, le cœur rempli de belles intentions.

 

Les jours qui ont suivi, j’ai continué mais ce n’était pas fluide parce que je pensais trop à ce qu’on allait penser de moi, si on allait me juger, si c’était mieux que j’écrive comme ceci ou comme cela. Et quand c’est pas fluide, j’aime pas.

Ce premier livre (et ceux qui suivront aussi), j’ai envie qu’il soit authentique et proche de mes valeurs. Alors au jour 33, revirement de situation, j’ai jeté le manuscrit de mon livre à la poubelle !!!

10 jours plus tard, j’ai vécu une situation très compliquée à gérer, qui a accaparé tout mon temps et chamboulé tout mon programme !!! Mon livre est complètement passé à la trappe ! A la même période, mon blog a complètement « beugué » ! Tout est arrivé en même temps, alors j’ai appris à lâcher prise, à me concentrer uniquement sur ce qui était Essence-Ciel à ce moment là de ma vie, même si une part de moi était frustrée à l’idée de ne pas avancer sur mes projets. J’ai vécu 3 semaines très éprouvantes, j’étais complètement épuisée, je te passe les détails.

Je pensais que je n’allais jamais l’écrire ce livre, que j’allais me résigner, abandonner.

Puis il y a eu ce jour, au moment exact où j’étais libérée de mes « obligations ». Ce jour, où, une petite fille a dit à sa maman dans le train : « Maman, elle écrit un livre, la dame ? Je suis sûre qu’elle est en train d’écrire un livre. »

Puis il y a eu ce jour où Emmeline m’a contactée pour me rencontrer sur Lille, alors qu’elle venait d’emménager près de Nantes, ma ville natale. Heureux hasard ? J’avais découvert le parcours d’Emmeline, grâce à une interview réalisée par Carine du blog Com’La Vie! Nous étions entrées en contact virtuellement à ce moment là.

J’aime quand le Virtuel se transforme en réel ! C’est ma Quête dans tous les projets que j’entreprends.

Pourquoi je te parle de cette rencontre en particulier ? Parce que ce jour là, Emmeline m’a demandée où j’en étais dans l’écriture de mon livre. Et j’ai découvert, qu’elle aussi était en plein défi de réaliser son rêve qui est … Attention … Roulement de tambours … ECRIRE UN LIVRE 😀

De joyeux signes de la Vie, des signes puissants à mon sens, qui me connectaient à nouveau à ce projet qui me tient tant à cœur. Mais un jour, tu lèves la tête et tu te rends compte que tu es au jour 73/80 et que tout est à faire ! Dans la folie créative, je pensais m’enfermer une semaine entière dans ma tourelle et l’écrire tout d’un trait !

C’est ainsi que le 14 novembre 2016, à J-6, la Boîte à excuses a jailli !!! C’était le pompon ! Un article que j’ai écrit tout d’un trait ! Une excuse de plus pour ne pas écrire mon livre ?

Le 17 novembre, j’ai eu la sagesse de remettre à plus tard, en repoussant ma dead-line de 10 jours, que je n’ai pas tenu bien sûr 😀

Dans tout ça, je me suis pris une belle leçon d’humilité !

Comme je l’écrivais dans « Si on mourait demain… » :

Si demain tout bascule, qu’est-ce que je peux faire aujourd’hui pour aller vers mes rêves ? Qu’est-ce que je peux faire, là, maintenant, pour faire un pas de plus, même petit ?

La première chose qui était dans ma liste, dans cet article du 24 novembre 2016, c’était :

– Continuer mon livre même si ma dead-line de 80 jours est dépassée. Ça remue beaucoup de choses d’écrire un livre …

Qu’est-ce que j’ai mis en place concrètement pour me connecter chaque jour à mon rêve ? Est-ce que j’en ai fait une priorité, un rendez-vous non négociable tous les jours ?

La réponse, c’est que j’ai eu toutes les bonnes excuses du monde pour le faire passer en dernier. S’il me restait du temps dans ma journée, alors, j’allais m’y mettre. Je dis toujours que le temps est relatif et que du temps, on en a tous.

Quand Laure de Une Etincelle m’a interviewée et m’a demandé si le temps était un problème pour moi, voilà ce que je lui ai répondu :

« Je pars du principe que le Temps est le même pour Tous. 24 heures nous sont offertes chaque jour, alors je suis à l’écoute de ce qui m’inspire le plus, pour utiliser ce temps à bon escient. »

La question qui pourrait suivre serait : « Et quand plein de choses t’inspirent en même temps, tu fais comment ? »

Je dirais :

Créer de nouvelles habitudes ET revoir mon sens des priorités.

Par exemple, depuis quelques jours, je médite tous les matins, et presque tous les soirs. Ça ne dure pas 3 heures, je dirais 15-20 minutes. Cette pratique s’est imposée à moi sans vraiment que je comprenne pourquoi ! Je me demandais depuis plusieurs années à quoi ça servait concrètement, j’avais tenté quelque fois de m’y mettre, c’était pas mal, mais j’étais encore mitigée : perte de temps ? je le fais parce que JE DOIS le faire ou est-ce que j’en ai vraiment envie ?

Je me disais que je devais sans doute mal m’y prendre, que je ne savais pas comment faire. De plus, je suis déjà dans une démarche très méditative dans ma pratique de la photographie alors j’ai fini par lâcher prise en me disant que méditer en ne faisant rien, ce n’était sans doute pas pour moi.

Et là, d’un coup, je ne saurais même pas dire, à partir de quand je me suis mise à méditer vraiment, mais ça s’est imposé à moi, et c’est devenu ultra naturel ET vital. Ça apaise mon mental, ça éclaircit mes pensées, j’ai même des réponses à des questions que je me pose qui arrivent spontanément dans ce moment de calme. Je ne pourrais t’en dire plus pour le moment, étant donné ma graaaande expérience sur le sujet.

J’arrive à les trouver ces 1 ou 2 fois 15-20 minutes dans la journée pour méditer, comme le temps que je prends tous les matins, pour écrire mes 3 pages du matin d’écriture libre, inspirées par le livre de Julia Cameron : Libérez votre créativité ! (je ferais un article bientôt sur le sujet !). J’écris ces 3 pages tous les matins, depuis plus de 100 jours maintenant et je ne m’imagine pas ne plus les écrire !!! Rien que ça, ça ferait un sacré bouquin, non ?

En cette semaine d’introspection, alors que je marchais en ville hier soir, je pensais à mon livre. Je me disais que c’était pas la peine d’attendre le bon flow, le bon moment, le bon élan d’inspiration. Je me disais que c’était à moi de le créer ce bon flow, ce bon moment. Cet élan d’inspiration, j’ai le pouvoir de le provoquer ! Je m’en suis rendue compte sans le vouloir, grâce à la méditation justement. Alors que je me faisais cette réflexion tout en marchant, voilà que je rencontre Erwann.

Erwann a un blog où il partage énormément en toute authenticité. J’aime beaucoup le lire parce que je sens qu’il écrit avec son cœur. La première fois que je l’ai rencontré, c’était lors de la première émission de Radio de Madame ou Madame, de laquelle j’ai été la première invitée. Je ne crois pas au hasard et je pense qu’hier soir, nous nous sommes rencontrés dans la rue, pour une très bonne raison. Il m’a partagé le fait que depuis 3 semaines, il n’arrivait plus à écrire, juste au moment où j’étais en train de penser à mon livre et au flow que j’ai bien l’intention de provoquer, parce qu’il y en a marre de remettre à demain.

Même si nous n’avons pas converser très longtemps, ce partage nous a reboosté tous les deux dans notre créativité ! (je l’espère pour toi aussi Erwann, si tu passes par là, coucou !)

De plus, il n’y a pas que ça comme signes de la Vie ! En ce moment, il y a des gyrophares qui s’allument de partout !!!

  • Il y a Sofia qui a créé son laboratoire d’écriture créative sur Facebook et s’est lancé le défi d’écrire tous les jours quoi qu’il arrive !

  • Il y a Lyvia Cairo qui s’est lancé le défi fou de vendre son livre avant même de l’avoir écrit, et de partager ses avancées tous les jours avec ses futurs lecteurs ! J’en suis ! Et Merci Lyvia d’inspirer le monde comme tu le fais !

  • Il y a Emmeline Sion qui vient de créer son comité de relecteurs magiques dont je fais partie, pour renforcer son engagement à terminer son livre et partager ses écrits, avoir des retours en direct, dans l’échange, la construction et la bienveillance.

  • Sans oublier mon amie Murielle qui m’a rappelée à quel point ce projet me tient à cœur. (Mumu si tu passes par là, je t’envoie tout mon amour)

A la base, le titre de cet article était : « Mon livre, mes inconnus et mes projets ! »

Mais là, je viens de lever la tête et je me rends compte que j’ai vraiment écrit un pavé, alors j’écrirais sur mes inconnus et mes autres projets un autre jour.

En ce 5 janvier 2016, voilà ce que j’ai décidé ! Je me suis bloquée dans mon agenda, 2H d’écriture de mon livre 6 jours sur 7 jusqu’au 20 mars 2017. Comme un rendez-vous important qu’il n’est pas possible du tout d’annuler.

Le 20 mars, c’est le printemps et j’adore le printemps ! Je trouve que c’est un bon jour pour faire fleurir les projets. Ce jour là, mon livre sortira en version numérique.

Et pendant le joli mois de mai, parce que le mois de mai, c’est joli, il sera édité au format papier parce que j’y tiens énormément. Un livre sur papier, c’est beauuu !!! Surtout que j’ai l’intention d’y mettre plein de belles photos pour illustrer mes propos. Cher futur éditeur, si tu es dans le coin, fais-moi signe :p

Je ne sais pas encore si je serais aussi folle que Lyvia pour le vendre avant qu’il soit terminé et/ou si je créerai un comité de relecteurs magiques inspirée par Emmeline. Tout ce que je sais, c’est que je suis déterminée et que les excuses à deux balles, y’en a marre ! Je sais que ça ne va pas être facile tous les jours, qu’il va falloir que j’apprenne à apprivoiser mon rythme, mais c’est possible !

En écrivant mon livre, j’honore mes deux credo :

  • J’ai peur mais je le fais quand même !

ET

  • TOUT EST POSSIBLE !!!

Wawww !!! Comment ça fait tout chaud dans mon cœur de me relancer dans cette Vibe Créative remplie d’amourrr !!!

C’est partiii !!! Et ça commence maintenant, j’ai programmé mes 2 premières heures d’écriture ce soir, de 18H30 à 20H30.

Let’s GOOOooo !!!

EDIT du 9 avril 2020 : eh bien ! j’aurais bien galéré mais je l’ai fait !!! Mon livre est sorti en avril 2019 et tu peux commander ton exemplaire dédicacé en cliquant sur la couverture ci-dessous :

#100jours100sourires : David

#100jours100sourires : David

Après un week-end hors de festivités, retour dans « le monde réel » où je trouve les gens bien tristes :'(

Ai-je cette part de tristesse en moi ? C’est possible … En réalité, les fêtes de fin d’année ne sont pas mes moments préférés de l’année mais je me soigne 😀

Hier, j’ai eu deux fois l’occasion de me « confronter » au monde extérieur.

1er essai non concluant, je n’ai abordé personne et je n’avais pas tellement envie de me forcer.

2ème round, à la lumière de la fin de journée, j’avais envie de parler à personne. Ce n’est pas que j’aime pas les gens, bien au contraire ! Mais tu sais ce que c’est, les petites peurs qui reviennent au galop : la peur du rejet, la peur de déranger, la peur de l’inconnu …

Soudain, j’ai vu une jeune fille et j’ai eu envie de l’aborder, mais elle marchait tellement vite que je n’ai jamais réussi à la rattraper. Il aurait fallu que je pique un sprint !

Toujours est-il que grâce à elle, j’ai changé ma trajectoire et j’ai été attirée par un joyeux bonnet fluo 🙂

C’est à ce moment que j’ai rencontré David ! Il était habillé en vêtement de sport, il faisait ses étirements en musique. Après quelques secondes d’hésitation (toujours cette peur de déranger…), je me suis jetée à l’eau et c’est avec grand plaisir qu’il a dit un grand oui à #100jours100sourires 🙂 🙂 🙂

 

David pense que pour être heureux dans la vie, il faut avoir une passion !

La sienne est la course à pied. David prépare des marathons !

  • Ça fait partie de ma vie ! La course à pied, une fois qu’on est dedans, on ne sait plus en ressortir ! Même blessé, on va courir ! A partir du moment où l’on aime faire quelque chose, que ce soit la course à pied comme moi ou autre chose, on vit que pour ça. Dans ma tête, je ne pense qu’à la course à pied.

David a une femme, une vie de famille et un travail. Pour lui, la course à pied, c’est comme un deuxième métier, qui participe à son équilibre.

  • Je m’entraine quasiment tous les jours pour préparer un marathon en moins de 3 heures. C’est ma raison de vivre !

  • Il y a des coureurs qui courent à 5 heures du matin ! Pourquoi aller courir à 5h du matin ? C’est bien la preuve que c’est une passion. On est imprégné de la course à pied, on ne sait plus en sortir. Quand je commence le travail à minuit, j’en vois courir à 23H15 ! Quelle idée d’aller courir à 23H15 ! Chacun fait en fonction de ses contraintes horaires, son travail, sa vie de famille.

Nous abordons évidemment la notion de courage, puisqu’à mon sens, il faut quand même être très courageux pour aller courir à n’importe quelle heure et par tous les temps !

 

  • Le courage vient avec la volonté. La volonté vient avec le plaisir ! Le plaisir s’installe quand on fait ce qu’on aime. C’est un enchainement. Tout simplement … Si vous aimez faire quelque chose, que c’est une passion, ce n’est pas une contrainte pour vous, c’est naturel.

  • Je travaille la nuit, je dors le matin. Je vais courir vers 16H30. Pour moi, ce n’est pas une contrainte. Même blessé, même avec une douleur, je vais m’entrainer !

David pense que tout est possible dans la vie avec de la volonté.

  • La volonté, il faut aller la chercher ! Il faut se forcer. L’être humain n’est pas fait pour courir tous les jours, il faut le savoir.

David a l’esprit compétiteur. A l’âge de 41 ans, il prépare le marathon de Paris qui a lieu en avril. Grâce au but qu’il s’est fixé, même s’il s’accorde deux jours de repos par semaine, il trouve toujours la force, le courage et l’énergie d’aller courir quoi qu’il arrive.

  • Je m’accroche à ça ! C’est mon objectif : Paris => 2H55. Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige, je vais m’entrainer ! C’est une passion. Et en même temps, on oublie les tracas du quotidien, la misère de la vie … C’est tout simple … Il y a des gens, c’est la pêche, d’autres, c’est aller au stade … Ils dépensent leur argent là-dedans. Moi, je le dépense dans la course à pied et en plus, je m’entretiens. J’ai tout gagné !

David pense que celui qui n’a pas de passion dans la vie doit vraiment se faire chier. Et je suis plutôt d’accord ! J’ai dû mal à conceptualiser qu’on puisse être passionné par rien du tout 🙁

  • Après, c’est une façon de vivre comme une autre, je ne juge pas. Mais bon, le gars qui fume toute la journée, qui ne mange pas sainement, qui ne fait pas attention à lui …

La façon de vivre de David est construite autour de la course à pied.

  • C’est une drogue comme une autre, mais c’est une drogue naturelle 😉

Son plus grand rêve :

Le Marathon de New York !

  • En tant que coureur, c’est le rêve tout marathonien !

  • Après, le rêve dans la vie, ce serait de gagner au loto et de ne plus travailler. Ça, c’est le rêve de tout homme, de tout être humain …

« Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie. » – Confucius

 

Avec autant de courage et de détermination, je suis certaine que David va accéder à son rêve new-yorkais ! Je n’en doute même pas une seconde !

Ça m’a filé une de ses pêches d’échanger avec lui. Ça me donnerait presque envie d’aller courir, tellement il a communiqué sa passion avec tant de vérité :O 

MERCI MERCI MERCI <3 <3 <3

#100jours100sourires : Debruyne

#100jours100sourires : Debruyne

Après un premier refus, dans le style : « Ça m’intéresse pas !!! », je ne me suis pas laissée abattre. Je prends conscience que ça fait partie du jeu. Comme je dis souvent dans mes articles, on peut pas faire l’unanimité, on peut juste faire notre part et agir pour ce en quoi l’on croit profondément.

Je crois en la Beauté de ce Monde et je crois que chaque Être Humain, c’est de l’Or en Barre dont la lumière ne demande qu’à se révéler.

Et si je fais le bilan, je rencontre de plus en plus de gens ouverts d’esprit et acteurs du changement positif dans ce monde 🙂

Il paraitrait que l’on attire à soi les personnes qui nous ressemblent, les gens qui sont dans la même vibe que nous. D’ailleurs si tu es en train de lire cet article, c’est que toi aussi tu crois qu’un monde meilleur est possible. Je crois profondément que tout est possible et que nous sommes tous acteurs du changement, comme des maillons d’une chaîne humaine géante dont nous tissons les liens ensemble. 

Donc, après ce premier refus, j’ai aperçu au loin un homme qui riait avec son fils.

J’ai trouvé ça beau 🙂

J’ai rencontré Debruyne, qui aurait beaucoup aimé contribuer mais qui était assez pressé, alors je lui ai proposé de marcher avec lui. Et même si notre échange fut très court, je suis très heureuse d’avoir croisé sa route.

 

 

C’est son fils, Tao, qui contribue au plus grand bonheur de Debruyne. Et ça se voit !

Tao, magnifique ! Ce n’est pas très courant comme prénom et j’adooorrreee !!! Ça me parle énormément 🙂

  • Ça veut dire le destin, la route du destin. Je crois au destin parce que moi et sa maman, c’était le destin quand on s’est rencontré ! C’est pour ça que nous avons appelé notre fils Tao.

 

Le destin, la destinée, ces mots résonnent encore dans ma tête. Je suis convaincue que c’est ce que je devais entendre à cet instant.

 

Debruyne pense que tout est possible dans la vie si on y met tous du sien.

 

 

Son plus grand rêve :

 

  • VOYAGER

 

  • Mais il faut de l’argent pour ça …

  • J’ai déjà voyagé mais il y a des pays que j’aimerais bien faire : l’Australie, l’Afrique …

 

Il y a énormément d’alternatives pour voyager même avec très peu de moyens. Des tas de gens en sont l’exemple. Je souhaite de tout mon cœur à Debruyne de réaliser son rêve et d’inspirer son fils, sa compagne et tous les gens qu’ils croisent sur son chemin. 

Et si notre rencontre était un signe du destin pour créer un déclic ? 😉

 

Un mot de la fin à partager au monde ?

  • Quand on me pose des questions comme ça, il faut y réfléchir quand même … (rires) Dans tout le monde, qu’il n’y ait plus de guerres, que tout le monde s’entendent bien.

  • Et Vive la Vie tout simplement…

 

Toutes ces rencontres sur ma route ne sont pas anodines. Même si souvent, elles ne durent que quelques minutes, je suis convaincue qu’elles ne sont pas le fruit du hasard. Je suis convaincue que tout est en nous, que nous sommes tous capable d’œuvrer pour un monde meilleur. En agissant aujourd’hui, nous créons le monde de demain, un monde des possibles qui ouvre un champ de possibilités infinies !!!

 

MERCI <3 <3 <3

#100jours100sourires : Stefaan !

#100jours100sourires : Stefaan !

Ça a commencé à l’arrêt de bus … Un jeune homme que je n’aurais jamais abordé autrement. Il a trouvé ma démarche un peu bizarre au premier abord. Partagé entre le Oui et le Non de contribuer à #100jours100sourires

Finalement pas de photo pour aujourd’hui mais une super discussion pendant tout notre trajet en bus ! Recréer du lien dans ce monde où nous sommes la plupart du temps happés par des écrans ici et là. Un jeune homme de 18 ans avec une très grande conscience de la Vie. Merci pour ce moment ! Et si tu passes par là, je te souhaite de tout cœur de réaliser ton rêve ! En tout cas c’est bien parti !

Un rendez-vous plus tard avec une amie photographe chère à mon cœur, j’étais de nouveau en quête d’un nouveau visage et d’une nouvelle histoire pour #100jours100sourires.

Je me mets en tête d’aborder un homme. Pas simple dans une ville où des gens courent dans tous les sens, dans l’euphorie des fêtes de fin d’année.

Soudain, un joli pull rouge a attiré mon regard au loin, alors je me suis jetée à l’eau et j’ai rencontré Stefaan (je ne suis pas sûre que son prénom s’écrive comme ça pour de vrai mais c’est son nom de star sur Facebook !) 

J’ai le droit de dire que t’es une star, Stefaan ? 

 

 

La discussion commence très fort avec des trolls et des petits lutins ! Et pour cause ! Stefaan fait de la musique celte, slave et aussi « de la musique qui chante le Nord » ! Si tu veux en savoir plus sur son actu, maintenant qu’il est devenu une star internationale, tu peux le retrouver ici -> Stefaan Linselles.

Ce qui rend Stefaan heureux dans la vie :

  • Les Femmes ! Les copines, les grandes sœurs, les petites sœurs …

 

Est-ce que tout est possible ?

  • Ça dépend … ça dépend si on se donne. Il y a plein de gens qui ont prouvé que tout était possible en se donnant.

    Ce n’est pas évident. Il faut beaucoup de courage, beaucoup de foi !

    Une foi, qu’on soit croyant ou pas. La foi n’est pas uniquement réservée à la religion.

    Et un MAAAAaaaaxxxx de Foliiiie !!!

 

Un MAX de FOLIE !!! J’adoooreee !!!

 

La dernière peur que Stefaan a transcendé :

  • Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ça. Généralement quand j’ai peur, ça peut être de tout et n’importe quoi. C’est pas une peur. Ça peut être : « han ! J’ai eu peur de la CAF ! » (rires)

  • Je crois que la peur peut donner un sentiment de réalisation. On peut y arriver, on peut transcender toutes ses peurs ! Quand on fait le bilan, on y gagne toujours. Ça donne plus de conscience, de foi, de confiance en soi.

  • Maintenant les trucs qui font vraiment peur : « arf… la petite vie quotidienne banale … » Ah si ! J’ai une peur ! J’ai eu peur de ne pas pouvoir sortir du Marché de Noël ! Je n’ai pas trouvé la sortie. J’ai cru que j’allais devenir fou. Je ne trouvais pas et je voyais les mêmes gens. Je croisais que des barbus, je me disais : « c’est normal, c’est qu’ils doivent être là depuis plusieurs jours ». Ça fait peur …

Je dois avouer que j’ai bien ri durant cet échange teinté de beaucoup d’humour !

 

Le plus grand rêve de Stephaan :

  • Parler ma langue (le flamand), la comprendre et rendre les gens heureux.

  • Et trouver la femme qui veuille bien de moi ! (rires)

 

Merci à Stefaan pour cet échange pétillant et plein d’entrain ! C’est que du bonheur !!!

Si toi aussi cher lecteur, chère lectrice, tu as l’élan de partager des sourires d’inconnus sur ton chemin, utilise le hashtag #100jours100sourires et inspire le monde à ton tour !

A demain pour la suite des Aventures !!!