A quoi bon ?

Voilà 3 jours que j’écris tous les jours ici (enfin 4 avec aujourd’hui).

3 jours seulement … Et déjà tellement de transformations +++

Aujourd’hui, j’aurais pu me dire « A quoi bon ? », « je ne sais pas quoi dire », « de toute façon tout a déjà été dit », « et je vais saouler les gens », et blablabla …

Tu sais les voix qui viennent dans ta tête à chaque fois que tu entreprends quelque chose de nouveau, à chaque fois que tu fais le grand saut, à chaque fois que tu te rapproches un peu plus de toi-m’aime …

Je ne sais même pas encore ce que je vais t’écrire alors je laisse mes doigts courir sur le clavier. On verra bien ce qui en sortira.

Je ne suis pas tellement une adepte de préparer un texte pendant des heures, planifié à quelle heure il sera publié.

Je ne suis pas tellement une adepte des stratégies bien lisses, bien parfaites.

Peut-être que je suis un peu rebelle sur les bords, et alors ?

Ce « A quoi bon ? », il est toujours là, prêt à surgir, prêt à faire un bond devant toi pour que tu stoppes tout ce que tu es en train de faire.

Ce « A quoi bon ? », il est sournois, il peut arriver devant toi sans que tu t’y attendes. Il peut se manifester n’importe quand, de n’importe quelle manière, pour peu que tu sois un peu fatigué(e), que tu reçoives une remarque désobligeante, que tu n’aies pas le retour que tu espérais …

C’est vrai. A quoi bon écrire ? A quoi bon créer ? A quoi bon se donner le défi de faire une vidéo par jour pendant 30 jours, à quoi bon peindre, à quoi bon partager mon message ? A quoi bon écrire mon livre ? A quoi bon inspirer le monde ?

Je pourrais rester dans l’ombre. Je pourrais me taire. Je pourrais « ne pas me faire remarquer ». Je pourrais contempler le monde sans agir. Je pourrais être invisible.

J’aurais pu rester enfermée entre les 4 murs du salon de coiffure où j’ai travaillé pendant 7 ans. J’avais le Saint-Graal dans mes mains, ce fameux CDI tant convoité. J’avais une voiture, 2 motos, un petit appartement avec un loyer pas trop cher.

J’aurais pu abandonner quand ma banque a refusé de me faire un prêt étudiant pour retourner à l’école me former à l’Art du Maquillage.

J’aurais pu baisser les bras lorsque ma demande de financement par le FONGECIF a été refusée, le même jour que mon appartement s’est retrouvé inondé.

J’aurais pu laisser tomber. J’aurais pu me résigner.

J’aurais pu quitter l’école parce que c’était trop dur d’y retourner après 10 ans de salariat.

J’aurais pu trouver un job « alimentaire » lorsque ma propre entreprise ne faisait plus sens pour moi.

J’aurais pu me contenter de rester coiffeuse-maquilleuse pour la télévision, le cinéma et la publicité parce que c’est comme ça qu’on me connaissait.

J’aurais pu ne jamais réaliser « Le Tour de Nantes en 80 jours » parce que ça paraissait trop grand, trop beau, trop ambitieux, trop fou et qu’en plus je n’avais plus d’argent.

J’aurais pu ne jamais oser lancer mes premiers ateliers dinitiation à la photographie intuitive, parce que ce n’est pas comme ça qu’on enseigne la photo « normalement ».

J’aurais pu ne jamais lancé mes premiers ateliers « Révèle la Déesse qui est en toi« , parce qu’était-ce bien légitime ? Est-ce que j’avais le droit ?

J’aurais pu ne pas t’écrire aujourd’hui, parce que, à quoi bon ? A quoi ça sert ? Est-ce vraiment utile ?

Est-ce que ça a besoin d’être utile ?

Peut-être que ça l’est pour toi, peut-être que ce que je partage avec toi, fait écho en toi.

Peut-être que ça ne sert absolument à rien (mais si tu es en train de lire ces lignes, c’est que ça te parle … un peu).

Après mon défi vidéo 30 jours du mois dernier, j’ai compris plein de choses sur moi-m’aime.

Je pourrais dire que je me sens une Autre, mais ce n’est peut-être pas exactement ça. Je dirais plutôt que je me rapproche de mon Âme. Je me sens plus Moi, plus Alignée.

Sensation étrange et à la fois, ce sentiment de légèreté, de sérénité et de confiance en la Vie.

Je passe souvent pour une Utopique mais je crois sincèrement que Tout est Possible. Je le répète encore.

Inlassablement.

Encore.

Et je crois que je le répèterais encore tant que je serais sur cette Terre. Accroche-toi bien parce que j’ai l’intention d’être centenaire !

Pourquoi je te raconte tout ça ?

Parce que si c’est possible pour moi, c’est possible pour toi aussi.

Tout n’est qu’une question d’état d’esprit !

Comment tu vois le monde de là où tu es ?
Mènes-tu la vie que tu désires ?
Es-tu là où tu as envie d’être ?

Penses-tu que tu as le choix ?

Moi, je pense qu’on a TOUJOURS le choix.

J’entends déjà au loin : « Non mais tu peux pas comprendre, tu n’es pas à ma place de toute façon ». « Oui mais c’est la faute de machin ou la faute de truc ».

Je pense qu’il est temps que chacun prenne ses responsabilités.

Chaque matin, tu as le choix.
A chaque instant, tu as le choix.
Nous avons tous le choix.

Tu as le droit de dire oui, tout autant que tu as le droit de dire non.
Tu peux rester à te morfondre au fond de ton lit ou tu peux passer à l’action !
Tu peux continuer à rêvasser d’une vie meilleure, d’un monde plus beau sans rien faire et attendre que ça passe.

Je me suis toujours sentie investie d’une mission plus grande que moi.

A une époque, je rêvais de changer le monde mais je voyais pas bien comment.

Et puis un jour, j’ai décidé de faire ma part, à mon échelle, avec les moyens que j’avais à ma disposition.

Et ce chemin, il m’a mené à celle que je suis aujourd’hui. Le chemin n’est pas tout tracé. Il est souvent sinueux, mais c’est ce qui fait sa beauté je trouve.

Je crois sincèrement que la Beauté est partout. Il suffit de changer de regard.

Le regard que l’on a sur soi, le regard que l’on a sur le monde qui nous entoure.

C’est ça que je transmet à travers mon Art, mes ateliers, mes accompagnements, mon écriture.

Aujourd’hui, je te demande de t’arrêter un instant.
Demande-toi quel regard tu portes sur les choses, sur toi, sur la vie ?
Si quelque chose ne te convient pas, change-le ou regarde-le d’une autre manière.

Souvent, on croit que tout est figé, que les choses ne peuvent pas bouger ou que ça parait une montagne infranchissable.

C’est faux. En tout cas, c’est ce que je crois.

Je te laisse méditer là-dessus 😉

Artistiquement,

Marie, Utopiste à plein Temps,
Droguée au Positif
Sujette au Grain de Folie Artistique !

#100jours100sourires : Lionel

#100jours100sourires : Lionel

Après 13 jours sans te présenter d’inconnu, je suis en joie de te présenter Lionel aujourd’hui.

Même si je continue à faire ma part tous les jours, je me suis rendue à l’évidence que je ne pouvais pas tenir la cadence de te présenter un inconnu par jour, en même temps que j’écris un livre, en même temps que je travaille pour mes clients, en même temps que j’anime mes ateliers, et en même temps que bien d’autres choses ! #100jours100sourires se fera sur une année, j’en parle ici si ça te dit :

#100jours100sourires

J’ai rencontré Lionel en allant me balader au bord de la Marque, hier matin. Je ne pensais pas aborder d’inconnu. Je n’avais croisé que des coureurs ou des gens en vélo. Je m’apprêtais donc à rentrer chez moi, lorsque j’ai aperçu au loin, un monsieur seul avec un chapeau. Je ne savais pas pourquoi, mais je sentais que je devais lui parler. Et pour cause ! Quelle belle rencontre !

 

Lionel vient de la région parisienne. Dans le Nord depuis 3 mois, il prend ses repères jour après jour … Ce matin, il s’est levé avec Magnificat de Jean-Sébastien Bach ! C’était beau ! Il cherchait la Marque depuis quelques temps . C’est aujourd’hui qu’il l’a trouvé et que nos chemins se sont rencontrés 🙂

Ce qui le rend heureux dans la vie ?

  • De la musique, de la Nature, et bien évidemment, mes enfants et ma femme. Après … qu’est-ce qui pourrait me rendre plus heureux ? Que mes enfant et ma femme me rejoignent en région Nord.

  • Pour l’instant, il y a beaucoup de résistances au changement, mais ça va se faire 😉

 

Lionel est passionné de photo depuis toujours. Il a fait des études de chimie, a appris a développé en noir et blanc. Il a goûté au charme du labo, puis est passé au numérique. C’est donc avec beaucoup de joie que nous abordons le sujet de la photographie 🙂 

  • Je me suis mis a collectionné de vieux appareils que j’avais quand j’étais jeune. Je les ai à peu près tous maintenant ! C’est ma femme qui râle parce qu’elle trouve ça fait un musée ! (rires)

  • J’aime la photo. J’aime la technique qu’il y a derrière la photo. Ça fait quelque temps que je n’ai pas repris mon boitier, mais il y a des choses très sympas à faire.

 

Je remarque que Lionel a quand même un appareil photo sous la main (il dit que c’est son jouet), même s’il ne s’agit pas de son boitier numérique, qui est le même que le mien d’ailleurs ! Des oiseaux viennent se poser sur l’eau, tout près de nous. Lionel aime bien photographier ces êtres en mouvement.

  • Je vais souvent en Vendée, dans les marais salants. Il y a pas mal d’oiseaux lors de la migration. J’aime bien !

 

Je demande à Lionel s’il se souvient de la dernière fois qu’il a transcendé une peur.

  • Alors… La peur n’évite pas le danger. Je fais un boulot où … sans parler de peur, on va plutôt dire de l’appréhension… Le refus de l’obstacle n’existe pas. Si il existe, je suis foutu !

  • Dans mon travail, c’est à peu près chaque jour où je me dis qu’il y a un évènement assez désagréable qui va se passer. Et au final, ça se passe bien.

  • En fait, je peux remercier le Nord. Je trouve qu’ici, les gens sont beaucoup plus ouverts, plus à l’écoute, qu’en région Ile-de-France. C’est relativement simple. Entre guillemet, j’ai 2 à 3 fois par semaine, une grosse appréhension en début de journée. Je me demande comment la journée va se dérouler. Finalement, je termine ma journée en étant content !

 

Alors, pour Lionel, est-ce que tout est possible dans la vie ?

 

  • Le nécessaire, OUI !

 

Le plus grand rêve de Lionel :

M’arrêter de travailler !

me confit-il dans un grand soupir  de soulagement.

  • En fait, je ne sais pas si j’aimerais souffler ou pas. A des moments, j’aurais envie de profiter. Je trouve que l’on ne profite pas assez…

 

Intriguée par ce que peut bien être son travail, je finis par lui demander !

Lionel travaille dans l’informatique. Il gère des consultants dans l’industrie et la grande distribution, qui ont des challenges à relever ! Il gère à la fois la partie RH, la partie managériale et la partie client. C’est très riche, très dense …

  • C’est un perpétuel alignement sur la personne. Il faut vraiment s’aligner sur la personne. C’est très rigolo. J’ai retrouvé des gens qui ont habité à 1 kilomètre de chez mes parents, des clients qui ont partagé des bouts de vie il y a 20, 30, 50 ans …

On se rend compte que le monde est petit 😉

  • Oui, par exemple avant-hier, j’ai rencontré un bon breton pur souche. Comme je suis un peu de là-bas aussi, on a discuté. C’était rigolo de se retrouver en plein milieu de Douai a parlé avec un breton.

Nous terminons cette riche conversation avec Lionel en se disant qu’il n’y a pas de hasards … Finalement, nous venons un peu du même coin, puisque j’ai vécu toute mon enfance à 40 kilomètres de Nantes, à la campagne. Et il connait très bien ce coin-là ! C’est rare de trouver quelqu’un dans le Nord, qui connait le nom de la commune où j’ai vécu !

 

 

Wawww !!! Merci à Lionel pour cette rencontre passionnante. Je lui souhaite de tout coeur de profiter des bons moments de la vie et de s’autoriser à ralentir … 🙂

A très bientôt pour le portrait d’un nouvel inconnu !

Julien Delanssays et la Dame à la Licorne !

Julien Delanssays et la Dame à la Licorne !

Un jour, j’ai croisé Julien, lors d’une soirée artistique. Nous n’avions pas tellement eu l’occasion d’échanger. Quelques mois plus tard, je me suis rendue au vernissage d’une Artiste à la New Art Gallery à Lille. Julien était là. Et pour cause, c’est lui et sa compagne qui ont créé ce lieu magique. Nous avons discuté un moment. Là, j’ai su que l’on se reverrait et que nous avions certainement des choses à partager. A quelle occasion ? Je n’en savais rien.

Puis un jour, j’ai poussé la porte de l’Atelier d’Art Nouveau, bien déterminée à ENFIN prendre des cours de dessin. Et devine avec qui je prends des cours de dessin ?

 

Julien Delanssays 🙂

 

Julien est artiste peintre et professeur d’Arts plastiques.

Il a senti très tôt que l’Art, c’était sa vie. A l’école, il n’y avait que ça qui l’intéressait. Après une filière artistique jusqu’au Bac, Julien est entré à l’école des Beaux-Arts de Valenciennes (59).

 

  • J’avais envie très tôt, d’associer l’Art à plein de choses. Après les Beaux-Arts, j’ai fait des études de psychologie. Ensuite, je suis entrée dans toute une démarche par rapport au commerce. Je pense que tout ça, ça m’a aidé à créer l’Atelier, que nous avons fondé avec ma compagne, il y a quelques années.

 

La création de l’Atelier d’Arts Nouveaux a été un véritable aboutissement pour Anne et Julien.

  • La première grande étape a été d’entrer dans cette école artistique. C’était un rêve qui devenait réalité pour moi. J’ai toujours voulu intégrer un atelier de la Renaissance.

 

Julien a toujours été fasciné par la Renaissance Italienne, les ateliers de Verrocchio, Leonard de Vinci … tous ces grands Artistes qui ont créé des œuvres d’art qui resteront à tout jamais dans l’humanité.

 

  • Il y avait une émulation à cette époque, un apprentissage incroyable, qui permettait à tous ces jeunes élèves de 12-14 ans de devenir les artistes qu’ils avaient envie de devenir.

 

Quand Julien est entré aux Beaux-Arts, il avait un peu cette attente là. Ça ne s’est pas exactement passé comme ça, puisque maintenant, dans ces écoles, c’est plutôt l’Art conceptuel qui est abordé.

 

  • Mais j’ai eu la chance de pouvoir apprendre plein de choses, plein de techniques et de pratiques différentes. Notamment la gravure qui fait partie intégrante de ma pratique artistique aujourd’hui. Et puis la photo, la sculpture … Pendant une année, j’ai reçu les enseignements d’un professeur qui a eu un Prix de Rome. Il y a quand même eu des choses qui m’ont énormément apporté dans ce genre d’école.

 

En sortant de là, le but de Julien était de trouver qui il était en tant qu’Artiste.

  • Je me suis rendu compte que je n’avais pas envie d’être un Artiste contemporain tel qu’on l’imagine aujourd’hui. Je voulais puiser dans ce foisonnement de la Renaissance et créer des choses à partir de là. Il y avait aussi l’aspect spirituel qui était très important, qui pour moi est le fondement de l’Art.

 

Léonard de Vinci et Gustave Moreau ont énormément inspiré Julien dans sa quête artistique.

  • Léonard a écrit énormément de choses, que ce soit au niveau scientifique, anatomique, géographique … mais aussi, il y a une dimension très spirituelle dans les écrits de Léonard, dont on parle moins, mais qui est présente. Gustave Moreau, lui, donnait une grande part à la spiritualité. Pour lui l’inspiration venait d’en haut, l’Art devait évoquer de grandes valeurs, de grandes images, qu’il associait beaucoup à la mythologie, aux légendes. C’est à travers ces maîtres là que j’ai essayé de me réaliser.

 

Julien a expérimenté plusieurs domaines en sortant des Beaux-Arts, notamment la psychologie.

  • Je me suis dit : « pourquoi pas devenir art-thérapeute ? » : associer l’Art et une sorte de bien-être, de réalignement, de guérison… Je n’ai pas trouvé ce que je cherchais, dans cette voie de l’art-thérapie, même si c’est une voie tout à fait honorable et passionnante.

 

Puis un jour … Julien a eu la chance de rencontrer Pierre Lassalle qui lui a proposé, ainsi qu’à plusieurs artistes, un projet incroyable sur « La Dame à la Licorne », dont le but était d’en retranscrire les tapisseries médiévales.

 

  • On pourrait dire que ce sont les tapisseries les plus connues au Monde et l’œuvre de tenture la plus aboutie que je connaisse. L’œuvre est représentée sur différents panneaux. Sur ces panneaux, il y a toujours une dame, un lion et une licorne. C’est toute une histoire, tout un cheminement initiatique qui est composé d’étapes, de stations, de pauses à travers les sens et au-delà.

 

Actuellement au Musée de Cluny, six tapisseries sont exposées, mais à l’origine elles étaient huit.

  • On pourrait dire que le chemin n’est pas terminé, alors qu’à l’origine, il était complet. Le projet de cet écrivain, c’était que nous puissions recréer le chemin dans toute sa globalité, en revenant à la Source de la Dame à la Licorne, une source très spirituelle, très profonde, qui participait et qui expliquait la maitrise des sens, le chemin vers l’Amour, très relié à l’amour courtois et à l’élévation vers l’Esprit.

  • Pierre nous a proposé cet aventure incroyable qui associait l’Art et la méditation, l’Art et la Spiritualité, que lui appelle : l’Art imaginatif. Ça a été quelque chose d’incroyable à vivre au niveau humain et artistique.

  • Pour la première fois, j’arrivais à vivre cette association de la méditation et de l’Art.

  • Aller chercher les ressources, l’inspiration en soi et au-delà de soi, pour pouvoir la faire couler, la retranscrire à travers mes mains, à travers nos relations, dans des œuvres d’art.

     

    La Dame à la Licorne – 8ème panneau : La Dame illuminée

    C’est avec des étoiles plein les yeux, que Julien me partage cette expérience. A ce stade, j’ai envie d’entrer encore plus dans son processus de création. Je comprends que la méditation tient une place très importante. Pratiquant cet Art depuis peu, je me questionne. Est-ce que ça prend du temps ? Comment la médiation et la création de l’œuvre entre en connexion ? Bref, j’ai envie d’en savoir plus. On est là pour ça, n’est-ce pas ?

 

  • Je pense que ça dépend de chacun. Par contre, c’est vrai que sur ce projet, Pierre a créé tout un processus. On peut lire « Les Mystères de la Dame à la Licorne », il y a tout dedans. Il explique ça très bien. Après, je pense que chacun va vivre le processus de manière différente, puisqu’on est tous différent. On a tous des natures différentes, une sensibilité différente.

  • Je pense que l’important, c’est de se sentir aligné avec soi-même, son rythme et sa pratique. Le point de départ, c’est le choix du cœur. C’est quelque chose qu’on a envie de créer profondément, qui nous appelle et qui nous transcende. On sent qu’à travers cette œuvre ou à travers ce projet, on va découvrir une partie de soi-même et plus. Quelque chose qui va transcender notre vie.

  • Après, il y a l’aspect méditatif avec la méditation créatrice. Dans tous ces aspects méditatifs, il se passe plein de choses à l’intérieur. Dans mon expérience, il y a ce répondant avec notre vie. Plus j’entre dans mon sujet, plus je le travaille, plus il se passe des choses dans ma vie en correspondance avec ça. Il y a ce va et vient entre l’intérieur et l’extérieur, qui après, se développe, se déploie, à travers la pratique artistique. Quand je me sens prêt à commencer à travailler, à peindre, le fait de dessiner, de chercher les formes, les visages, les couleurs, ça fait écho avec ce qui se passe à l’intérieur de moi. C’est comme un rythme qui s’installe, une sorte de plongée dans un chemin de création.

  • Dans mon expérience, pour moi, le défi, c’est de toujours rester en équilibre entre l’intérieur et l’extérieur, entre le fait de travailler et le fait de nourrir ces images, ces symboles, par la pratique spirituelle, et leur donner vie en moi. Tenir bon, jusqu’à la mise en œuvre complète et finalisée de ce qu’on a voulu créer. Dans ce « tenir bon », dans « tenir le rythme », il se passe plein de choses en soi, une certaine forme de remise en question, d’épreuve, qui vient pour nous aider à aller jusqu’au bout de la création.

  • A des moments, quand on est artiste-peintre, on sent que ça bloque, l’inspiration n’est pas toujours là, on n’arrive pas à faire ce qu’on veut. Ce qui est génial dans ce processus, c’est que ça nous aide énormément à aller beaucoup plus loin, à se dépasser en tant qu’Artiste et en tant que personne. Tout ce que j’ai traversé, vécu, créé, ça rejaillit dans mes relations, dans ma manière de peindre, d’enseigner, dans ma manière de considérer les gens aussi.

  • Je pense que c’est cette Aventure Artistique « La Dame à la Licorne » qui a quand même duré plus de quatre ans, qui m’a motivé à aller plus loin par rapport à moi-même, et donc à créer l’Atelier. Je pense qu’une vraie démarche artistique où il y a tous ces ingrédients là, on en ressort différent. Moi, j’en suis ressorti différent. J’ai énormément de gratitude envers Pierre Lassalle. Ça m’a ouvert énormément de choses. Je peux dire qu’avant ça, je vivotais au niveau artistique et qu’après j’ai vécu une émergence de plein d’envies, d’inspirations. Je me voyais pouvoir créer plein de thèmes artistiques. Ça devenait possible ! Je me suis senti la capacité à créer avec Anne, l’Atelier, la Galerie, et aller encore beaucoup plus loin par rapport à moi-même et l’Art.

 

Wow ! La ! La ! Julien m’embarque dans une Aventure de Fouuu rien qu’en me parlant 😮 (je te conseille vraiment d’écouter l’audio, c’est vraiment wahou !!!

La quête de Julien et Anne en créant la Galerie et l’Atelier, c’était de vivre en tant qu’Artiste.

  • Et comme je t’ai dit tout à l’heure, c’était le Rêve de l’Atelier Renaissance. J’ai beaucoup regretté de ne pas avoir rencontré Léonard de Vinci. En créant cet Atelier, c’était un rêve qui devenait réalité : pouvoir partager la pratique artistique.

  • Dans la conception moderne de l’Art, la pratique n’a plus sa place. Je n’étais pas en accord avec ça. Pour moi, l’Art doit être porteur d’une certaine pratique qui permette l’émerveillement : une certaine forme de beauté, de réussite technique, même si le sujet doit être intéressant, profond ou merveilleux. Pour moi, c’était l’envie de transmettre ces pratiques, de les apprendre aux autres, d’aller vers les gens pour partager.

  • Moi, je m’occupe plus de l’aspect dessin et peinture. Anne, c’est plus l’aspect calligraphie chinoise et peinture chinoise, puisqu’elle est d’origine asiatique. C’est cette rencontre possible entre l’Orient et l’Occident, entre moi et Anne, entre les pratiques que l’on propose, entre nous et les autres. Et puis, montrer à chacun, qu’avec les bonnes techniques, les bonnes pratiques, tout le monde peut commencer à créer des choses très intéressantes et qui l’émerveille. Chacun porte des choses très fortes en soi. C’est pas simplement en projetant de la couleur – même si c’est très ludique et j’adore faire ça – qu’on y arrive, mais on peut faire sortir de belles formes de soi-même.

  • Cet apprentissage, cette transmission de la pratique artistique, que ce soit par la gravure, par le dessin, par l’anatomie, par des formes plus modernes comme la colorisation numérique, pour moi, c’est très important.

 

Et ça se voit ! Julien transmet son Art avec passion ! Je peux te l’assurer ! J’en suis la preuve vivante :O Quand je suis arrivée pour la première fois à son cours de dessin, j’étais terrorisée par la feuille blanche et je me croyais complètement nulle !!! Et il m’a démontrée tout le contraire ! Je t’assure que c’est bluffant !

Quels sont les projets à venir pour la Galerie, l’Atelier, pour toi en tant qu’Artiste ?

  • On a eu tout un premier pôle avec la Galerie, où l’on a essayé de découvrir plein d’Artistes différents. Maintenant, on aimerait développer les thèmes qu’on a envie d’explorer depuis longtemps, nous deux, en tant qu’Artistes. On s’est rendu compte qu’on adore enseigner, on adore découvrir d’autres personnes, mais on a aussi beaucoup de choses à dire, à exprimer. Donc, on voulait aussi développer cet aspect là dans les prochaines années.

  • J’adore cet aspect mythes et légendes. Pour moi, ce sont des sources d’inspiration. J’ai toujours été émerveillé par ça. Quand j’étais jeune, je lisais plein de livres d’héroïc-fantasy, de science-fiction, de mythes, même des textes anciens. Le livre qui est le plus resté gravé dans ma mémoire et dans mon cœur, c’est « L’Odyssée » de Homère. Ce livre, j’ai toujours rêvé d’en faire quelque chose. En 2012, j’ai créé une exposition, à partir du livre : une série de seize tableaux. Ça été un gros défi pour moi, qui venait après « La Dame à la Licorne ». Depuis, je me suis dit : « ah ouais ! C’est génial ! J’adore ! ».

  • J’adore puiser dans ces légendes, énormément de thèmes. Après, j’ai réalisé une exposition sur le thème de l’Ange, tout le monde angélique, la mythologie angélique. Ce monde très inspirant qui est réel pour moi. Là, j’ai d’autres projets artistiques que je souhaite créer, toujours par rapport aux légendes, à Homère, à l’Iliade, par rapport à certains mythes comme Perséphone… C’est vrai que j’aime beaucoup les mythes grecs, je les trouve très parlant. Et aussi avec tous ces mythes nordiques, avec Odin, tous ces dieux … Il y a une telle richesse de scènes, d’expériences, de rencontres, dans ces textes. Dès que je commence à ouvrir un livre comme ça, j’ai une foison d’image qui vient à moi. J’ai tout de suite envie d’en faire quelque chose.

 

Han ! J’adoooreee !!! Mais comment tu fais pour canaliser tout ça ???

 

  • … C’est très dur … (rires). Effectivement, il faut arriver à se concentrer. Ce qui m’aide, c’est de créer des carnets. J’ai pas mal de carnets. A chaque fois que j’ai une idée qui vient, je m’achète un carnet. Je dessine énormément dedans, je prends des notes, j’en fais un carnet d’Artiste, un carnet de projet. Je colle des photos, je griffonne, je rassemble des idées. Ça dure à peu près trois semaines-1 mois. A la fin de ce temps, le carnet est rempli. Tout ce qui me vient par rapport au projet est mis dedans. Même si je n’ai pas le temps de commencer les tableaux tout de suite, tout est là. Je peux aisément y revenir. Ça peut être très précis. Je peux avoir le nombre de tableaux, la dimension, le matériel qu’il me faut. Pendant cette période, je peux aller acheter le matériel. Je prépare mes fonds pour que tout ce qui prend du temps ait été fait avant. Quand c’est le moment, je rouvre mon carnet et c’est parti ! Tout est prêt ! Je n’ai plus qu’à !

 

Quand Julien est en pleine création, il lui faut un temps où il ne pense plus qu’à ça. Ça peut être une semaine, deux semaines … Un mois, c’est plus rare.

 

  • C’est tout le défi de rester concentré. En tant qu’Artiste, mon défi c’est ça ! Je suis très sollicité par l’Atelier, par la Galerie. A un moment donné, il faut que j’arrive à me déconnecter pour rassembler mes forces. Quand je créé, j’ai l’impression d’entrer dans un monde. Je continue cette dimension méditative, c’est quelque chose qui appartient à ma pratique maintenant. C’est rentrer dans un monde à l’intérieur, mais aussi, quand on peint, c’est être immerger dans ces images, ce sujet et penser presque exclusivement qu’à ça. J’ai besoin de me concentrer vraiment dessus et de ne pas courir à droite et à gauche.

 

Je trouve ça délicieusement magique d’être à fond dans sa création. Pour l’avoir déjà vécu, je trouve ça vraiment grandiose ! Je me demande comment Julien gère le retour à la réalité …

 

  • Souvent, je suis très heureux d’avoir terminé. Pour moi, c’est comme une sorte de défi sportif. C’est un défi artistique, d’arriver à faire, par exemple, huit, dix, quinze, seize tableaux, qui me semblent aboutis, qui semblent porteurs de quelque chose de particulier, de valeur réelle, de qualité soit artistique, esthétique ou spirituelle. C’est quand même un défi énorme ! Et moi, je suis super heureux quand j’ai terminé. Je pense qu’après, il y a tout le défi de ne pas juger ce qu’on a fait, de dénigrer, de l’amoindrir. J’ai ce défi là ! J’ai un élan de joie et après j’ai des doutes qui apparaissent. Ensuite, j’ai l’envie de le partager avec les autres !

 

Où partages-tu cela ? J’ai eu beaucoup de mal à trouver tes œuvres sur la toile.

 

  • Il y a eu toute une période de maturation. On a fait plusieurs expos. Ces dernières années, j’avais beaucoup tourné dans la région, dans différents lieux d’exposition. Après, nous nous sommes consacrés à la Galerie d’Art. On exposait dans notre galerie. Ça nous a permis de vivre une expérience super intéressante avec Anne. Nous avons collaboré à deux pour créer des tableaux ensemble. Ça été super passionnant !

  • Ces derniers temps, nous avons eu un autre projet, nous voulions créer une Galerie d’Art en ligne. Les tableaux n’étaient pas visibles parce que la galerie en ligne était en cours de création. Et là, elle vient d’ouvrir ! Elle s’appelle Legendart : legendart.fr. C’est un projet qui nous tenait à cœur depuis longtemps, de créer une plate-forme de présentation d’œuvres d’art. Il y a nous et aussi plein d’autres artistes qu’on aime bien, dont on trouve le travail fabuleux.

  • Je suis émerveillé de tout ce que ces gens peuvent créer, tout ce qu’on peut créer. Cette diversité ! Il y a tellement de choses à faire, à montrer, à partager. La galerie Legendart est disponible en une dizaine de langues. Notre but, c’est que ça puisse être visible un peu partout dans le monde.

Les images de « Dame à la licorne » sont visibles sur le site. Vous pourrez découvrir la beauté de ces images qui sont très inspirantes.

  • Je dirais nourrissantes pour le cœur et l’Esprit.

 

Le plus grand rêve de Julien :

 

  • Je pense qu’il y a plein de rêves possibles pour soi-même, pour les autres, même pour différents aspects de soi-même.

  • Le rêve qui me tient à cœur aujourd’hui, c’est que le maximum de gens découvre les tableaux de la licorne. Ils sont tellement riches, tellement porteurs de valeurs importantes. On peut y puiser tellement de choses pour soi-même, pour sa vie. Ils ont un message tellement beau par rapport aux relations, par rapport à l’évolution spirituelle, à la réalisation de soi-même, au partage et au chemin vers plus de don, plus de sincérité, plus d’amour. Je pense qu’ils gagnent vraiment à être connus du plus grand nombre. Ça serait le rêve, que les licornes se déploient un peu partout.

 

Qu’est-ce qui te plait le plus dans l’Aventure du Pink Power Tour ?

  • Qu’est-ce qui me plait le plus dans cette Aventure ? Je pense que c’est ce jeu de découverte des gens. Pour moi, ce que tu fais, c’est vraiment t’intéresser aux autres en entrant dans leur univers. Tu montres que chacun a une partie de lui super riche. C’est comme si ça allumait des petites lumières chez les gens. Ça montre que tous, on porte quelque chose de super beau en soi et qu’il y a plus qu’à !

 

Waouh ! Quelle Aventure ! Je n’ai pas vu le temps passer ! J’espère que tu as pris autant de plaisir que moi, cher lecteur ! 🙂 Tu sais ce qui serait génial ? Ça serait de partager cette interview au plus grand nombre ! Alors si tu en as l’élan, fais-toi plaisir ! Si tu ne le fais pas pour toi, fais le au moins pour la préservation des licornes dans le monde <3 <3 <3

Merci Julien, ça valait le coup de se courir après pour cet interview !

Pour rencontrer Julien, ça se passe par là :

New Art Gallery

Atelier d’Art Nouveaux

Legendart


Site internet de Pierre LassalleRenaissance de l’art

#100jours100sourires : Prescilla

#100jours100sourires : Prescilla

Il était une fois un lundi matin qui a commencé comme ça :

 

Même si j’ai vu tous les messages que bien plus tard, le simple fait de m’être exprimée de la sorte m’a donné un élan fulgurant de me lever pour aborder l’inconnu. J’ai regardé derrière moi et j’ai vu une jeune fille dans le fond du bus et j’y suis allée direct sans réfléchir ! Et quel cadeau ! Elle m’a dit oui tout de suite ! Merciii !!! 🙂 🙂 🙂

 

Je te présente Prescilla.

Pour Prescilla, toutes les petites choses de la vie contribuent à son bonheur au quotidien 🙂

Prescilla est passionnée par le cinéma.

Le dernier film qu’elle a été voir : Dalida.

  • C’est le dernier biopic qui est sortie sur la vie de Dalida.

Son film préféré du moment : Alliés.

  • C’est un film avec Marion Cotillard et Brad Pitt, sur la collaboration après la guerre.

Prescilla pense que tout est possible dans la vie du moment que l’on a de la volonté.

  • Tout est possible ! Oui !

Je demande à Prescilla si elle se souvient d’une des dernières fois où elle a transcendé une peur !

  • L’appréhension lors de compétitions de sport. Et finalement une fois que c’est passé, ça va !

Prescilla a fait de la gym pendant 10 ans. Elle a arrêté au moment de ses études. Aujourd’hui, elle est technicienne de laboratoire dans la cosmétique et le pharmaceutique. Elle s’occupe d’analyser les produits finis.

Le plus grand rêve de Prescilla :

Faire le Tour du Monde !

 

Yeah !!! Merci Prescilla pour ce partage pétillant pour bien démarrer la semaine ! Je te souhaite de tout mon cœur de réaliser ton rêve. C’est un rêve très atteignable et de nombreuses personnes dans le monde peuvent en témoigner 😉

Et petit clin d’oeil à Estelle, Nadine, Fabienne, Anne, Isabelle, Pénélope, Laure, Yves, Manon, Christelle et toutes celles et ceux qui sont passés par là, pour vos bonnes vibes « facebookiennes » qui sont arrivées jusqu’à moi avant même que vous ayez le temps d’écrire un mot :O Merci Merci Merci <3 <3 <3

A bientôt pour de nouvelles Aventures !!!

Laisse-toi porter, laisse-toi inspirer, et inspire le monde à ton tour 🙂

#100jours100sourires : Julie

#100jours100sourires : Julie

Après avoir conjuré le sort à Nantes, c’est dans le train du retour que j’ai rencontré Julie. Aborder des gens dans le train pour #100jours100sourires faisait partie d’un de mes blocages récurrents.

Nous sommes en 2017, j’écris un livre qui porte mes deux credo qui m’accompagnent au quotidien « J’ai peur mais je le fais quand même ! » ET « Tout est Possible ! »

Il est temps de les honorer en transcendant une peur supplémentaire. Et c’est grâce à Julie que la Magie a opéré. Elle a dit oui sans hésiter et avec le sourire !!!

Julie prenait le train en direction de l’aéroport Charles de Gaulle où un avion l’attendait pour la Thaïlande !

 

Les voyages font partie intégrante de la vie de Julie et contribuent à son bonheur. Elle est allée en Thaïlande pour la première fois, il y a 8 mois.

  • J’ai un peu de temps libre là donc j’y retourne, parce que j’ai vraiment bien aimé. Les voyages, c’est un peu le but de ma vie. L’année dernière, je suis allée au Maroc. Cette année, j’ai fait l’Espagne, l’Angleterre et l’Allemagne qui sont à côté. Sinon, je suis allée en République Dominicaine, à Dubaï, en Inde …

Génial ! J’adore cette rencontre qui m’emmène en voyage ! J’ai envie d’en savoir plus alors je demande à Julie comme elle organise ses voyages.

  • C’est vraiment aléatoire selon les types de voyage. Des fois, je pars avec mon compagnon, parfois avec une amie, d’autres fois toute seule. La plupart du temps, c’est plutôt en mode globe-trotteuse – un peu organisé à l’avance – mais en mode sac à dos pour visiter plusieurs villes. La dernière fois, c’était en République Dominicaine, et là c’était plus posé dans un club, ça dépend ...

Et pour ce voyage en Thaïlande imminent, comment ça va se passer ?

  • Vu que j’y suis déjà allée, je connais déjà. Je pense que je vais un peu plus me poser contrairement à la dernière fois. Mais je vais quand même visiter des nouvelles choses, donc entre les deux …

Un conseil pour les gens qui auraient envie de voyager et qui n’ose pas ?

  • Arrêter de mettre en avant tous les côtés négatifs, les contraintes. Tout est faisable quand on a la motivation et ce n’est pas si compliqué que ça, finalement. Il suffit de se dégourdir un peu, de penser aux belles choses qu’on peut découvrir. Après toutes les formalités, on passe au-delà …

Avec un discours pareil auquel je ne peux qu’adhérer, demander à Julie si elle pense que tout est possible dans la vie n’est qu’une formalité 😉

  • J’dirais peut-être pas tout mais en tout cas, voyager oui, ça fait partie des choses largement abordable.

La dernière peur que Julie a transcendé :

  • C’était l’année dernière ! C’est toujours en rapport avec les voyages. Tout simplement de prendre l’avion. C’est une chose un peu bête et à la fois assez commune. C’était une peur que j’avais. J’ai décidé de la surmonter pour pouvoir vivre toutes ces expériences.

  • J’étais pas fière, j’ai pris des médicaments, j’ai fait tout ce que j’ai pu, et voilà ! Maintenant, ça se passe mieux. Il y a toujours une petite appréhension mais ça se gère avec l’habitude. Je prends quand même des médicaments, mais ça va mieux. Après il faut se raisonner, se dire que ce sont des peurs qui ne sont pas forcément très rationnelles. Il n’y a pas lieu de se focaliser là-dessus. 

Le plus grand rêve de Julie :

S’installer à l’étranger.

  • C’est vrai que ce sont des lieux de vacances à la base, mais quand on aime vraiment un endroit c’est dur de le quitter. Pourquoi pas y rester ?

  • Pourquoi pas la Thaïlande ? Peut-être qu’inconsciemment, cette deuxième expérience imminente n’est pas là pour rien. A voir …

Je demande à Julie si elle voudrait ajouter quelque chose, un mot de la fin !

  • Tu vois, la vie en rose, ça reflète un peu l’esprit positif que tu voulais ressortir ! 😉

C’est énorme !!! C’était écrit « La Vie en Rose » sur le pull de Julie et je n’avais même pas remarqué ! Magie de la Vie Merci ! De quoi prolonger mon coup de « boost » du moment ! Je remercie Julie pour son partage inspirant et positif. Ça fait vraiment du bien ! Je lui souhaite de réaliser ses rêves et de continuer à voyager avec passion ! Peut-être qu’un jour nous découvrirons ses péripéties de voyage sur un blog, qui sait ?

 

Si toi aussi, tu as envie d’inspirer le monde à ton tour, fais-le ! Il n’y a pas de limites à ce que tu rêves d’entreprendre, à part celles que tu te crées 😉

Après ce beau moment de partage avec Julie, j’ai continué l’écriture de mon livre. Chapitre 1 terminé !

Les journées passent à la vitesse de la lumière !!! Mon défi du moment est de penser à faire des pauses. J’y travaille ! J’y travaille ! La méditation et les pages du matin me sont d’une aide précieuse 🙂 

A très vite pour les news ! Prends soin de toi et à très bientôt pour de nouvelles Aventures !!!