« J’ai pas le choix » … ou la puissance des mots.

« J’ai pas le choix » … ou la puissance des mots.

J’ai un peu peur d’écrire cet article car je ne sais pas jusqu’à quel point je vais être capable de m’enflammer !

J’ai pas le choix …

Je ne sais pas pourquoi ces mots viennent me chercher car ils ne font pas partie de mon vocabulaire et ça fait assez longtemps que je ne les ai pas entendu car mon entourage a changé. Un vieux truc du passé qui remonte et qui doit être dit peut-être ?

 

Combien de fois j’ai pu entendre cette phrase par le passé  :

  • J’ai pas le choix, faut bien que je mange et que je paye mes factures, je ne peux pas quitter mon boulot comme ça …

Personne ne t’a demandé de faire Cela, mais qu’est-ce que tu peux faire comme petit pas, comme petite Action pour quitter ce travail qui te saoule et ne t’épanouis pas ? En as-tu envie seulement ? Que choisis-tu ? Parce que oui, tu as le choix ! Tu peux choisir d’y rester parce que c’est confortable pour toi et c’est ok. Tu peux aussi choisir de te barrer et mettre des choses en place pour que Cela arrive. Arrête de dire que tu n’as pas le choix s’il te plait. Il y a toujours des solutions ! Les as-tu exploré seulement ? Écoute ce qui se passe à l’intérieur de toi, toi seul à les réponses. Va voir des personnes qui ont déjà franchi ce cap, tu verras que c’est possible et ça va t’encourager. Ça ne sert à rien de t’isoler dans ton coin à te morfondre. Sauf si c’est ce que tu choisis et que ça te va bien comme ça !

 

  • J’ai pas le choix, si je le/la quitte, je vais me retrouver seul(e) (ou encore … je vais me retrouver sans rien)

Aaaaaahhhhh !!! Ça c’est juste pas possible inconcevable !!! Pourquoi ??? Combien de fois j’ai vu des couples rester ensemble par habitude, parce que c’est plus simple, par peur de la solitude, parce que les enfants sont encore petits alors c’est beaucoup plus sains pour eux qu’ils nous voient nous taper sur la gueule plutôt qu’on se sépare ! Bah oui, c’est logique voyons !!! Hum … hum …

 

Je vais encore me faire des ennemis moi en écrivant des trucs pareils ! On dirait que je suis un peu révoltée en ce moment ! Comme si « Remettons l’Humain au centre » et mes prises de conscience récentes avaient réveillé le Dragon qui sommeillait en moi ! Rassure-toi, je ne suis pas violente, je ne suis pas le genre de meuf qui casse des assiettes ou qui s’emporte dans des colères hystériques ! Je crois que dans cette vidéo, c’était le max de mon énervement ! C’est plutôt soft en fait …

 

Il y a aussi « J’ai pas le choix d’aller à ce mariage ou à cette fête à laquelle je n’ai pas du tout envie d’aller … » , là c’est pareil je comprend pas …

Et puis « J’ai pas le choix, faut bien que j’aille voir untel ou unetelle, ça fait longtemps, il/elle va croire que je pense ceci ou cela de lui/elle ». Encore plus tordu, tu meurs !!!

 

Et c’est parti pour une collection de ouf malade de « J’ai pas le choix … » Et vas-y que tu te répètes ça toute la journée. Pas étonnant que tu finisses par y croire !

 

C’est comme ça qu’un groupe de personnes sur cette planète se retrouvent à marcher à côté de leurs pompes sans s’en apercevoir, puisque de toute façon ils n’ont pas le choix.

 

Je n’ai pas le choix alors vous pouvez choisir pour moi s’il vous plait ?

 

Évidemment, c’est beaucoup mieux que les autres choisissent pour toi. Ils savent mieux que toi ce qui est bon pour toi ! Et si un jour tu te sens pas bien, ça sera pas de ta faute, ça sera à cause des autres. Ce n’est pas toi, ce sont eux qui t’ont mis dans un pétrin pareil ! Tu n’es en rien responsable, bien sûr !

 

Souviens-toi de la puissance des mots.

 

Que t’appliques-tu à manifester dans ta vie en répétant à longueur de journée que tu n’as pas le choix ? Imagine, si tu te répétais : « Je choisis de … » ou alors « Je me sens en pleine forme » (à la place de « je vais être malade »), ou encore « je me sens riche » (à la place de « j’ai plus de sous, c’est trop la galère ») …

 

L’être humain a une capacité naturelle immense à se dénigrer.

 

Il pourrait recevoir une médaille pour ça franchement ! Ça y va à longueur de journée : « je suis nulle », « je sers à rien », « il est meilleur que moi de toute façon », « je ne suis pas à la hauteur », « je ne vais pas y arriver », « et si ça se passe mal », « je suis pauvre », « les hommes sont tous des cons », « je suis trop grosse », « j’ai une sale gueule ce matin », « je fais vraiment de la merde », « et si je rate », « et si je me trompais », « que vont penser les gens? », « je vais passer pour une feignasse », « j’ai pas le choix » (grrr … encore lui ?) …

 

Bon je vais arrêter là parce que ça commence à me mettre dans une énergie cheloue d’écrire des trucs dénigrants comme ça. Rassure-toi, je n’y échappe pas non plus à l’auto-dénigrement.

C’est un travail et une gymnastique de chaque instant de maintenir un discours interne positif.

On ne nous a pas appris Cela. Entre les « arrête de pleurer », « fais pas ci, fais pas ça », « t’as vraiment que des sales notes, t’es nul », « t’es trop con » (c’est pour rire bien sûr). Combien de fois on a dit à quelqu’un qui était bête ou con, juste pour rire ?

 

Je suis loin d’être l’exemple parfait en la matière. De façon globale je suis plutôt positive comme fille ! Pourtant, plus j’avance en conscience plus je découvre ma partie sombre. Franchement, c’est flippant quand tu te rends compte que tu te dénigres encore alors que globalement tu as un état d’esprit super positif. C’est une petite voix sournoise qui est là depuis si longtemps que l’on ne s’en rend même plus compte.

 

Alors si à partir de maintenant on remplaçait :

  • « J’ai une sale gueule » par « Je suis beau/belle », ou encore « Je suis rayonnant(e)
  • « J’ai plus de sous, c’est la misère » par « je me sens riche », ou encore « je prends soin de moi et je gagne de l’argent facilement »
  • « Je n’y arriverais jamais » par « j’ai confiance en moi »
  • « Je suis trop gros(se) » par « je m’aime et je m’accepte telle que je suis »
  • « j’ai peur de réussir » par « je suis brillant(e) et le monde a besoin de moi »
  • « j’ai peur d’échouer » par « j’ai soif d’apprendre ! »
  • « j’ai peur du regard des autres » par « je suis entouré(e) de personnes bienveillantes et positives »
  • « j’ai pas le choix » par « je choisis de … »

Liste non exhaustive. Je t’invite à t’observer chaque jour et à transformer ton discours intérieur. Ta vie n’en sera que meilleure.

Ne sous-estime pas le pouvoir des mots.

Choisis ta vie tous les jours. Choisis-toi en premier. A chaque instant tu as le choix.

Même quand il arrive un « coup dur », tu peux choisir de quelle manière tu as envie de réagir à Cela.

 

Je choisis de m’aimer et de m’accepter telle que je suis.

Je choisis de prendre soin de moi chaque jour.

Je choisis de manger sainement.

Je choisis d’être gourmande :p

Je choisis d’être douce avec moi m’aime.

Je choisis de vivre dans l’Abondance…

Je choisis de m’émerveiller de la Beauté qui m’entoure.

Je choisis de pleurer et de vivre mes larmes.

Je choisis de réaliser les projets qui me tiennent à coeur…

 

La liste est longue. Quoi qu’il en soit, rappelle-toi que tu as toujours le choix. Ça ne veut pas dire que tu ne seras plus jamais triste, malheureux ou en colère. Tu peux choisir de vivre en conscience ou de marcher à côté de tes pompes ! Tu fais ce que tu veux, tu es qui tu as envie d’être. Tu as le choix.

Sur ce, je te souhaite une belle journée !

Si tu penses que quelqu’un a besoin de lire ceci, partage ce message.

Artistiquement,

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences …

EDIT du 10 novembre 2017 : l’écriture de cet article m’a fait rencontrer une belle personne sur Linkedin !

Annick Ohayon, Ciseleuse d’identité & Tisseuse de synchronicités, qui propose du Conseil en Marketing Digital et Communication de manière Éthique & esthétique. Crois-moi, ça ne court pas les rues alors je suis vraiment heureuse que la vie et la magie d’Internet aient fait se rencontrer nos chemins.

Aujourd’hui, je partage avec toi les 3 visuels qu’Annick à créer, suite à la lecture de cet article 🙂

 

Clique sur l’image pour l’agrandir 😉

Visuel créé par Annick Ohayon : www.myriade-communication.com

Visuel créé par Annick Ohayon : www.myriade-communication.com

Visuel créé par Annick Ohayon : www.myriade-communication.com[/caption]

 

Retrouve Annick sur Linkedin

Son site web

 

Je suis un funambule …

Je suis un funambule …

La vie d’entrepreneure, c’est comme marcher sur un fil…

Un jeu d’équilibriste qui demande beaucoup de courage, de persévérance, de concentration et de confiance.

Aujourd’hui, je travaille majoritairement sur des projets à courts termes. Mon emploi du temps se crée presque au jour le jour et c’est incroyable comme l’Âme agit opère. Tout s’imbrique parfaitement même si souvent tout bascule d’une minute à l’autre. Je peux très bien me dire : « ah tiens ! La semaine prochaine s’annonce plutôt calme … » et soudain trois clients vont me contacter en moins de 24 heures. Je suis quelqu’un qui adore les surprises et ce rythme me convient plutôt bien ! Bon … parfois ça ne plait pas trop à ma banquière parce qu’elle aimerait bien que je lui détaille un plan tout tracé tout bien établi pour l’année à venir, mais ça va elle s’y fait, elle a l’habitude. Je crois qu’elle a en sa possession assez de preuves de ma capacité à rebondir !

 

Depuis que je suis artiste-entrepreneure à temps plein, c’est comme si j’avais signé un contrat avec l’Univers pour que tout s’imbrique parfaitement, pour que les clients qui ont besoin de moi me trouvent et pour que je reçoive les ressources dont j’ai besoin pour la réalisation de mes projets.

 

Pour être totalement transparente avec toi, ça ne m’a pas épargné quelques frayeurs ! Et pourtant, à chaque fois, sans exception, la Magie a opéré. La vie d’entrepreneure est trépidante ! Je trouve Cela fabuleux de créer sur-mesure à chaque instant. C’est comme un cadeau précieux que je me suis offert, le jour où j’ai décidé de me lancer dans cette belle Aventure il y a 5 ans !

 

5 ans de montagnes russes émotionnels et de remises en question, mais aussi 5 ans de belles rencontres et de fabuleux projets !

 

Je n’imaginais pas un seul instant en être là aujourd’hui, lorsque je suis retournée sur les bancs de l’école il y a 6 ans. Quitter mon CDI pour retourner à l’école pendant 9 mois et accoucher de mon projet entrepreneurial a été un long parcours du combattant ! Aujourd’hui, je suis fière d’avoir tenu le coup, d’avoir pu m’affirmer même lorsque j’ai été incomprise ou critiquée.

 

5 années que j’entreprends ! C’est peu et en même temps j’ai l’impression que j’ai déjà eu plusieurs vies.

 

Après 7 années de salariat en salon de coiffure à Nantes, j’ai intégré une école de maquillage à Lille, où je ne connaissais absolument personne ! Le saut dans l’inconnu le plus total ! Retourner à l’école après 10 ans dans la vie active a été très dur pour moi. Très dur et très formateur pour moi. Au-delà de l’apprentissage de la technique, j’ai appris à m’affirmer encore plus et à oser prendre ma place, même je sortais du cadre. J’ai toujours trouvé les « cadres » bien trop étroits pour moi. Pas facile d’entrer dans une boite, quand il faut se contorsionner pour plaire à tout le monde ! Alors aujourd’hui, je dis « fuck » au conformisme, à la mode et aux codes sociétaux !

 

Je n’ai pas toujours été aussi affirmée ! Je reviens de loin. De très loin.

 

Adolescente, j’étais rouge comme une tomate dès que je devais prendre la parole. C’était juste l’horreur ! Et parler en public, n’en parlons pas. Sûrement pas un hasard que j’ai choisi la coiffure comme premier métier. Là, tu n’as pas d’autres choix que de communiquer ! Au-delà de l’apprentissage du métier, cette expérience m’a appris énormément sur le relationnel et la compréhension de l’humain. Aujourd’hui, je me sens riche d’avoir cette capacité d’écoute active et bienveillante.

 

C’est en juillet 2012 que j’ai fait le grand saut dans l’entrepreneuriat ! Sans business plan, sans vraiment de préparation, j’ai sauté dans le bain comme ça avec le capital à l’installation de notre cher Pôle ! Je me souviens de mon tout premier contrat pour une agence de publicité. La première fois que j’établissais une facture ! Grand moment ! Quand j’y repense, j’avais facturé à peine plus que mon premier salaire d’apprenti, sans avoir réellement conscience que j’étais complètement sous-payé ! C’est en faisant des erreurs qu’on apprend n’est-ce pas ?

 

Puis les choses ont évolué et j’ai de plus en plus eu besoin de donner du sens.

 

C’est comme ça qu’est née la première édition du Pink Power Tour Festival à Nantes en 2014 ! Quelle Aventure ! C’était absolument magique ! 3 ans déjà ! J’en discutais tout à l’heure avec une des créatrices qui a participé au projet. Que de fabuleux souvenirs ! Je crois qu’à ce jour c’est l’expérience la plus marquante de ma vie d’artiste-entrepreneure. C’est en grande partie grâce à cette expérience que la photographie s’est imposée à moi.

 

Même si en 2015, j’ai nagé en eaux troubles … me demandant si j’allais être capable de transformer cette expérience magique en projet d’entreprise. J’ai commencé à dire non à des contrats qui ne résonnaient pas avec mes valeurs. Avais-je tord ou raison ? Je n’ai pas de réponse à cette question. Pour certain, j’aurais pu dire oui pour l’argent, mais pour moi ça n’avait pas de sens. A quoi bon être entrepreneure si en plus, je ne pouvais pas me payer le luxe de choisir mes clients. Je ne suis pas une adepte de « je prends ce qu’il y a, c’est déjà bien », ou encore « je n’ai pas le choix » et blablabla.

 

Comment accueillir ce qui a du sens pour moi, si je laisse le reste me parasiter ?

Alors oui, j’ai marché sur un fil et plusieurs fois j’ai failli tomber dans le vide. A chaque fois, je me suis rattrapée au fil et je suis remontée, plus forte, plus grande, plus confiante, et la vie me l’a toujours rendue généreusement.

Aujourd’hui, je remercie toutes les belles rencontres sur mon chemin et aussi les moins belles qui m’ont appris énormément sur moi, m’ont fait grandir, m’ont permis de connaitre mes limites.

Je ne sais pas de quoi demain est fait. Qui sait, je vais peut-être me retrouver à vendre des sapins chez Ikéa ! LOL ! Tout ce que je sais, c’est que je continuerais de partager mon message quoi qu’il arrive !

Parce que je crois au « TOUT EST POSSIBLE » et en la Magie de la Vie !

Ça peut paraitre un peu Bisounours comme vision mais c’est tout le contraire.

 

Si toute l’Humanité croyait en son pouvoir de créer la vie qui l’inspire, le monde ne serait-il pas différent ? Si chacun se mettait en marche pour réaliser ses rêves, le monde ne serait-il pas encore plus beau et inspirant qu’il ne l’est déjà ? Si chacun reprenait son Pouvoir personnel, quel impact Cela aurait sur sa vie, son entourage, son environnement et le Vivant dans son intégralité ?

 

Je te laisse méditer là-dessus.

Belle soirée à toi et à bientôt pour de nouvelles Aventures !

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences …

La photographie comme voie de guérison

La photographie comme voie de guérison

Ça fait presque 24H que ce titre résonne dans ma tête ! La photographie comme voie de guérison… Un part de moi trouve cela bien prétentieux d’Oser écrire ces mots. Une autre part de moi que j’appellerais … l’Essence… ne voit pas le problème. Elle me dit « écrit ! c’est ta mission ! Tu dois écrire ! » Je me sens émue. Mes larmes pourraient presque couler. Je ne comprends pas bien ce qui se passe.

La photographie comme voie de guérison ? Elle me raconte quoi là ? Je ne vais pas guérir les gens avec un appareil photo ! C’est du délire ! En fait, j’ai l’impression que je viens de me prendre un truc en pleine poire ! Comme si tout ce que je ne voulais pas voir, se présentait à moi, là, maintenant, comme une évidence.

J’ai souvent cru que je n’étais pas légitime. Après, je me suis qualifiée de « bizarre » à presque devoir justifier pourquoi je fais ceci ou cela. Alors que je n’avais pas besoin. J’avais juste à Être et faire les choses comme je le sentais au moment où je le sentais. Dès que les choses me paraissaient trop faciles, je m’inventais des obstacles, je me répétais sans cesse que je n’étais pas assez, que ça ne pouvait pas être aussi simple. Je me compliquais la vie pour … rentrer dans la norme, quelque part… Sauf que, ça n’a aucun sens ! La norme par rapport à qui ? La norme par rapport à quoi ?

Je ne pouvais pas « réussir ma vie » facilement alors que mon entourage galérait. Ça veut dire quoi « réussir sa vie » d’abord ?

Alors, je me suis attirée des relations « amoureuses » dénuées de sens, parce que de toute façon « les hommes sont tous des cons » et que « l’Amour, c’est compliqué ». Puis un jour, j’ai pris une décision. J’ai décidé que ce n’est pas ce genre de relation que je voulais dans ma vie. Et j’ai rencontré l’homme avec qui je partage ma vie depuis presque 2 ans. C’est tellement simple, évident et profond à la fois. On m’avait pas dit que c’était possible de s’aimer à deux et de se sentir libre à la fois <3 <3 <3

Je ne sais pas où tu en es dans ta vie, mais franchement, si tu es dans une relation « à la con », c’est que tu l’as bien voulu ! Et si cette phrase t’énerve, barre-toi. Si tu n’en peux plus, que tu crois que tu n’as pas le choix ou que tu te demandes comment tu vas t’en sortir sans lui/elle, barre-toi ! Bref, je m’égare complètement du sujet. Je ne sais pas du tout pourquoi je me mets à parler de ça.

« Réussir sa vie » dans l’inconscient collectif : avoir un bon travail, se marier, acheter une maison et faire des enfants.

Pourquoi pas ? Mais, y’a pas un truc qui te dérange dans le tableau ?

A aucun moment n’apparait « être heureux », « se sentir bien », « être épanouie » …

Ça ne devrait pas être ça la priorité ?

Avant, je croyais qu’il fallait travailler très dur et galérer financièrement. Je croyais que c’était ça, la norme de la vie. Et ça avait l’air de déranger personne …

Je ne comprends toujours pas pourquoi je raconte tout ça, alors qu’à la base, le titre de cet article est :

La photographie comme voie de guérison …

Oh ! Punaise ! Ok ! J’ai compris.

C’est lorsque la photographie est entrée dans ma vie que j’ai commencé à voir les choses autrement. Ça y est ! On y vient …

J’ai toujours été fascinée par la photographie. Quand j’étais gamine, on m’appelait la paparazzi ! Mais c’était pour m’amuser. J’aimais bien tout photographier. C’était un jeu, c’était pour « passer le temps… » Bien qu’au fur et à mesure, je prenais ça très au sérieux. Je me souviens lorsque j’ai eu mon premier appareil qui pouvait faire des formats différents. On pouvait même faire des photos panoramiques sur pellicule ! C’était la Révolution pour moi ! En plus j’étais trop fière. Les autres gens ne faisaient pas des photos comme ça. J’étais jeune hein ! Ah ! l’innocence de la jeunesse … On devrait y revenir de temps en temps, ça nous détendrait un peu de nous lâcher la grappe !

Bien que la photographie me fascinait, je ne pensais pas à en faire mon métier. Ça avait l’air d’être tellement réservé à une Elite que l’idée ne m’a même pas effleuré l’Esprit. Les seules fois où j’avais rencontré un photographe, c’était pour les photos de classe à l’école. Autant dire que ça ne me vendait pas du rêve. Il y avait les photographes qui font des photos à la chaine toute la journée en restant à la même place et les autres dont leur rôle me paraissaient si abstrait et hors de ma portée. Ah ! Et il y avait aussi ceux chez qui on amenait les pellicules à développer, quoi qu’après on pouvait emmener ses pellicules à Super U. Tout ça, c’est un peu flou dans la tête d’une gamine de 10 ans.

C’est à l’âge de 25 ans, que j’ai acheté mon premier appareil photo avec mes sous à moi 😀

Un Nikon D90. Il venait de sortir et je voulais celui-là absolument ! Ne me demande pas pourquoi … A l’époque, c’était celui qui était juste avant la gamme professionnelle. J’aurais clairement pu me contenter de moins « performant » pour l’usage que j’en aurais, mais je voulais lui alors je l’ai eu. En plus, d’une manière tellement un probable ! C’était un 2 janvier, je m’en souviens comme si c’était hier. J’avais pris mon samedi (fait rarissime quand on exerce le métier de coiffeuse). Je me suis rendue à la boutique qui vendait des appareils photo pour les pros (je ne suis pas allée n’importe où en fait …). A la base, j’y allais simplement me renseigner même si j’avais fait le tour de la question en long, en large et en travers sur le web ! Je n’y allais pas dans le but d’acheter mon « petit bijou » le jour même. Une fois mes renseignements pris, je pars en disant au vendeur que je vais réfléchir car il y a quand même un gros écart de prix entre ce qu’il me propose et le tarif que j’ai vu sur internet. Et soudain … Tadaaaammm !!! Alors que je grimpe sur ma moto rose, un homme court dans ma direction et s’arrête devant moi en disant : « je vous le fait au prix que vous avez vu sur internet ! » C’était le responsable de la boutique. J’ai trouvé ça tellement improbable que j’ai dit oui ! (euh … je peux payer en 3 fois ?) 950€, c’était un beau budget à l’époque, pour un objet censé être destiné à un simple « loisir ».

Cette acquisition matérielle a eu beaucoup plus d’impact dans ma vie que ce que j’aurais pu imaginer. J’ai commencé à bidouiller, à faire plein de recherches sur « comment marche ce truc ultra méga sophistiqué? ». C’était un autre monde, moi qui n’avait connu que les compacts qui mettent au moins 3 secondes avant de prendre la photo que je veux ! Grrr !!! Là, c’était carrément de la magie. J’appuyais sur le bouton et hop ! La photo était dans la boite instantanément ! En vrai, c’était un peu plus complexe que ça parce qu’il fallait que je comprenne tous les réglages du bazar. Alors, j’ai testé. Je ne saurais dire combien de milliers de photos mon boitier a connu …

Un an plus tard, je l’emmenais en vacances, dans mon périple seule en montagne. Le voyage qui a changé le cours de mon existence…

Et encore un an plus tard, à l’aube de mes 27 ans, je quittais le salariat, ma petite vie bien stable et prévisible, pour m’expatrier dans le Nord de la France où je ne connaissais absolument personne !

Un an d’école de maquillage plus tard, la voie de l’indépendance s’ouvrait à moi. Lorsque j’intervenais pour des prestations de coiffure et maquillage dans les studios photos et les plateaux de tournage, je découvrais un autre monde. Un monde où l’on s’appliquait à montrer le beau avec tant d’artifices et de codes bien définis. J’ai aimé ça, j’ai trouvé ça beau et j’ai contribué à mettre en lumière des centaines de scénarios bien ficelés.

Puis un jour je me suis réveillée avec l’envie de faire autrement, de donner du sens, de la profondeur et de l’authenticité. Mais j’étais qui pour me déclarer photographe alors que ces autres avaient l’air bien plus professionnels que moi. Et puis j’allais faire quoi avec mon pov’ D90. Oui, il paraissait ridicule mon merveilleux bijou pour lequel j’avais casser ma tirelire quelques années auparavant, aux yeux du matériel dernier cri qu’utilisait la plupart des photographes avec qui je travaillais !

Je ne serais jamais photographe de ma vie ! A moins de gagner au loto ! Et si en plus, j’ai besoin d’autant de valises de kits d’éclairage et autres gadgets en tout genre ! Définitivement, je peux faire une croix dessus ! (petite précision : je ne suis pas en train de dénigrer le matériel photo, je décris juste les faits tels que je les ai ressenti à l’époque)

Ensuite, il y a eu le Tour de Nantes en 80 jours, qui a changé le cours de mon existence. J’ai débarqué aux Machines de l’Ile de Nantes animée par mon projet, de tout mon cœur et de toute mon Âme. Et l’on m’a donné Carte Blanche ! Carte Blanche à moi, toute petite que je croyais être, sans aucune « référence photographique », sans diplôme, sans preuves de ma soit-disant capacité à organiser un projet de A à Z !

Et pourtant ! Je l’ai fait !

Comment ai-je rendu Cela possible ? Pourquoi et comment tout s’est organisé autour de moi pour que ça fonctionne ? Est-ce « légal » de mener un projet uniquement portée par le cœur, l’intuition et l’envie de bouger les choses ? Ça pouvait vraiment être aussi simple que Cela ? Étais-je vraiment légitime ? Je ne voulais prendre la place de personne. J’avais juste envie de créer un projet porteur de sens. Et ça a marché ! J’ai reçu le plus beau des cadeaux, le jour de mes 30 ans : ma première exposition photographique !

 

Comment continuer comme « avant » après une telle expérience en immersion dans un autre monde pendant 80 jours ? D’autant plus que je n’avais pas d’explication rationnelle à ce qui venait de se passer. Peut-être que de l’extérieur, tout cela est apparu comme étant super ultra méga organisé alors qu’en vrai, tout s’est mis en place au jour le jour, seconde après seconde, un pas après l’autre. Ce n’est pas crédible ! Je ne vais quand même pas me proclamer photographe et dire à des gens : « rassurez-vous ça va le faire, je fais tout à l’intuition ! » La bonne blague ! On va me prendre pour une allumée !

Alors tout ça, ça a pris du temps. Déjà, il m’a fallu intégrer tout ce qui venait de se passer. De plus, retravailler dans la publicité et le cinéma, comme « avant », ça n’avait plus aucun sens pour moi. Je n’avais plus envie de ça. Mais on va me prendre pour une girouette ! Une fille qui ne sait pas ce qu’elle veut, qui change d’avis tout le temps ! C’est fou, le nombre de scénario que l’Être Humain est capable de se mettre en tête ! Nous sommes bourrés d’imagination quand il s’agit de penser à la place des autres !

Début 2015, alors que je déprimais, je me demandais bien comment j’allais pouvoir me reconnecter à la Beauté. La Beauté, la vraie. Alors, j’ai repris mon appareil photo, tant bien que mal, dans l’idée de photographier des gens qui sourit. Sauf que… tout le monde faisait la gueule ! Super :/ J’avais l’impression de voir des morts vivants défiler dans les rues, sans se poser de questions, avec le poids du monde sur leurs épaules ! La belle affaire ! J’avais envie de les secouer comme des pruniers ! J’étais triste et en colère à la fois, sans compter que les publicités placardées un peu partout m’agaçait royalement, à coup de bouteilles d’alcool géante et de burgers dégoulinants avec la magnifique mention qui allait bien « l’abus d’alcool est dangereux pour la santé (mais achetez-en quand même) » ou encore « pour votre santé, ne mangez pas trop gras, ni trop salé, ni trop sucré (mais venez quand même manger dans un fast-food) ». Ce dont je n’avais pas conscience, c’est que ce que je voyais autour de moi reflétait simplement mon état. J’étais triste et morose alors je voyais la tristesse autour de moi.

Alors un matin de printemps, je me suis demandée : « si je me connectais à l’Amour, je verrais quoi ? » et voilà ce qui s’est passé :

Mon « état » pouvait donc impacter sur ce que je voyais autour de moi ? Ce sur quoi je focalise, se manifeste devant mes yeux ?

Les participants des ateliers d’initiation à la photographie intuitive que j’ai lancé en 2016 ne me diront pas le contraire 😉

Ah ! La photographie intuitive ! Parlons-en ! Ça aussi, ça m’a pris du temps avant d’oser en parler. Plus d’un an à m’auto-analyser, à comprendre quel était ma démarche, ma manière de regarder les choses et les gens … Il se passe quoi dans mon cerveau ? A moins que ça ne passe pas par le cerveau ? Il se passe quoi quand je photographie ? Ah oui ! C’est vrai que le monde pourrait s’écrouler autour que je ne verrais rien, tellement je suis dans ma bulle. Ça veut dire quoi alors ? Autre chose, ça m’apaise et je me sens connectée ! Je me sens dans un état méditatif en fait ! Comme je le dis et le ressens avec mes clients aujourd’hui, à un moment, il y a une faille temporelle. Il se passe ce « truc » impalpable, inexplicable, qui fait que l’Âme agit opère …

La photographie intuitive changerait la manière dont nous percevons le monde ?

La photographie intuitive ne passe pas par la tête. C’est un processus basé sur le ressenti et évidemment l’intuition. C’est à la portée de tout le monde. Il suffit juste de t’arrêter un instant. S’arrêter et regarder. Et pas seulement regarder, voir surtout. Voir au-delà des apparences …

Qu’en est-il du regard que l’on porte sur soi ?

Il y a jamais eu autant de gens avides de reconnaissance à coup de selfies, de filtres instagram en attente de « likes ». Paradoxalement, il n’y a jamais eu autant de gens qui ne s’aiment pas en photo, qui ne s’aiment pas tout court, qui se trouvent toujours moins bien que leur voisin … :'( STOP !!!

Aujourd’hui, lorsqu’on vient me voir pour une séance et qu’on me dit : « je ne suis pas photogénique », « je suis toujours moche en photo », « j’ai toujours une sale tête », « je ne suis pas à l’aise si je sais qu’on me prend en photo », et j’en passe, je répond toujours : « ah ! Mais c’est génial ! » Ce qui surprend souvent, je l’avoue. Ou qui fait rire, ça dépend !

Je suis super contente, car grâce à mon expérience dans la publicité, j’ai vu  tout ce que je ne voulais absolument pas reproduire !!! Ô grand jamais ! « Mets-toi comme ci », « fais ceci, fais cela », « mets ta main sur la joue », « souris »,  « fais la gueule », etc … Au secours !!! Grâce aux ateliers d’initiation à la photographie intuitive, puis aux ateliers pour les femmes, j’ai peu à peu mis en place un « protocole » qui me permet de mettre mes clients à l’aise dans n’importe quelle situation. Et j’en suis super heureuse !

Mardi soir, je suis allée à une rencontre entre entrepreneurs et je crois que j’ai enfin compris que ma démarche n’était pas courante. C’est vrai que je ne suis pas partisane du rendement. Je l’ai trop subi à l’époque où j’étais coiffeuse je crois. Je percute vite et à la fois j’aime prendre le temps de découvrir la personne que je photographie. C’est là que je prends conscience que je suis une privilégiée, parce que mes clients sont vraiment géniaux ! Ils viennent vers moi car ils ont envie/besoin d’une image qui les représente vraiment. En ça, je leur en suis infiniment reconnaissante car ils ont compris tout le sens de ma démarche. Rien que ça, c’est le plus beau des cadeaux. Et je remercie la Vie de me permettre de créer Cela.

Waw ! Tout ce chemin accompli pour en arriver là où j’en suis aujourd’hui ! Je comprends l’importance des étapes et de tous les défis que la vie a mis sur mon chemin. Je ressens à quel point le message que je transmets et la mission que j’incarne est précieuse. Quand je dis que je révèle la Beauté et les Talents des Êtres que je rencontre sur mon chemin, je me sens vraiment alignée avec Cela. Comme si auparavant ce n’était qu’un rêve, un truc abstrait … alors qu’à présent, c’est bel et bien là. Quel Cadeau !

 

Et depuis quelques semaines, au delà de mettre en lumière la Beauté et les talents, je sens que quelque chose d’autre se trame. Quelque chose de l’ordre de la guérison, bien que je trouve le mot un peu fort. Mais c’est celui-ci qui est sorti. Ça a commencé avec ma cliente Mathilde qui m’a dit que je faisais de l’Art Thérapie ! Jamais je n’oserais m’approprier ce terme très « règlementé » et « codifié ».

Puis, il y eu cette femme qui m’a contacté pour un projet sur le rapport au corps. Et dans la même semaine, cette autre femme qui se reconnaitra, qui m’a contacté pour aider les femmes à s’accepter telles qu’elles sont.

Sans oublier ma petite sœur, pour qui j’ai fait des photos, nue, en pleine nature, pour la réconcilier avec son corps, durant son processus de guérison de l’anorexie (elle en a fait un article ici).

Quelque part, ça fait partie de ma mission de reconnecter les êtres à leur Beauté. Ça a toujours été là. Pourquoi j’ai commencé par la coiffure, puis le maquillage et maintenant la photographie ? Je crois bien qu’il n’y a pas de hasard là-dedans … Tout est lié. Et je ne parle pas uniquement de la Beauté extérieure, je parle aussi de la Beauté intérieure. Encore une fois : Tout est lié. L’invisible se manifeste dans le visible. C’est aussi simple que Cela.

Je me souviens aussi de ma cliente Stéphanie qui a témoigné du travail que nous avons fait ensemble : « Marie voit au-delà des apparences et pour un photographe, c’est une vraie qualité. »

C’est comme si je me réveillais d’un profond sommeil ou que j’avais de nouveaux yeux.

Hier soir, j’étais à une soirée avec des personnes qui comptent beaucoup pour moi. J’avais emmené un de mes oracles que j’aime beaucoup. L’Oracle du Peuple animal, d’Arnaud Riou. Juste avant, je venais de dire au groupe que ma mission ici est de révéler la Beauté et voir au delà des apparences … Quelques minutes plus tard, je fais tirer une carte à tout le monde. Et voilà que c’est le Paon qui se présente à moi :

 

« Offre au monde la Beauté de ton Âme ; c’est le plus beau cadeau que tu puisses faire à l’humanité. »

 

Ce fut un moment très fort et rempli d’émotions pour moi. Le Paon est un animal très symbolique qui ose briller et montrer sa propre Beauté au monde. Ce qui m’a frappé aussi, c’est sa couleur. Bleu, vert, turquoise… A l’heure où je suis en pleine mutation de couleur de cheveux pour aller progressivement vers le turquoise.

 

Je crois que c’est tout pour aujourd’hui. Il m’aura fallu une bonne partie de la journée pour accoucher de cet article. J’ai l’impression d’avoir accoucher d’un truc là ! Je sais pas exactement de quoi mais on dirait que quelque chose devait sortir. Quelque chose de très profond. Je ne vais pas me relire. Je repasserais sûrement plus tard corriger quelques fautes de frappe… ou pas…

Merci beaucoup de m’avoir lu jusqu’ici.

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Prends bien soin de toi et à bientôt !

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences …

 

Continue, même si …

Continue, même si …

Continue, même si tu crois que ça sert à rien.

Continue, même si tu crois que tout le monde s’en fou !

Continue, même si tu as peur d’être ridicule.

Continue, même si tu as peur d’être incompris(e)…

Continue, même si tu as l’impression de nager à contre-courant.

Continue, même si tu crois que les « gens » vont pas comprendre.

Continue, même si tu as l’impression que tu pédales dans le vide.

 

Contente-toi de semer des graines… Contente-toi de semer des graines… Contente-toi de semer des graines…

 

Si ce que tu fais est 100% aligné avec qui tu es,

Si tu as ce feu qui brûle en toi, cette petite voix à l’intérieur de toi qui ne demande qu’à s’exprimer,

Si l’élan de la création t’appelle…

Alors,

CONTINUE.

Peu importe ce que les gens vont dire ou penser de toi.

Peu importe si tu ne rentres pas dans les « cases ». (les cases, c’est chiant de toute façon :D)

Peu importe si tu as l’impression de faire les choses à l’envers, par rapport à ce qui se fait « normalement » (c’est quoi la normalité ? Tu as 2H pour m’envoyer une dissertation ;))

Sache que, même si tu n’en as pas conscience, tu es en train de changer le monde.

En osant être qui tu es, en osant créer en étant toi, en osant persévérer même si parfois tu doutes et que tu as peur, tu es en train d’inspirer le monde à faire de même …

Tu envoies une énorme vague d’Amour dans l’Univers !!!

Cette vibration est peut-être impalpable, non mesurable, invisible … mais elle existe.

Chaque petite graine d’Amour et de Créativité que tu sèmes à son importance.

Sème l’Amour, tu récolteras l’Amour.

Sème la Création, tu récolteras le fruit de te Création.

Sème l’Abondance, tu récolteras l’Abondance…

 

Cet article m’a été inspiré suite au commentaire d’Amélie sur Instagram, concernant mon article d’hier « Ces « Autres » à qui tout réussit » : « Merci pour cet article plein de positivité et qui invite à l’action ! »

 

Peut-être que ça te parait anodin. Tu crois peut-être qu’il s’agit d’un commentaire « banal ». Loin de là !!!

 

Quand j’ai partagé mon article sur Instagram ce matin, l’espace d’une seule seconde, j’ai pensé : « arf, les gens vont pas lire les articles sur Instagram ». Ça n’a duré qu’une seule seconde. En vrai, j’avais envie de semer cette graine, ne serait-ce que pour une seule personne. J’ai semé cette graine parce que j’en avais vraiment envie !

C’est comme ça tout le temps ! Et lorsque tu sèmes ta graine, tu ne peux pas savoir à l’avance ce que ça va donner. Tu ne sais pas à quelle vitesse elle va pousser, ni si elle va vraiment pousser. Tu sais que tu ne sais rien et que la seule chose que tu as à faire, c’est de te laisser porter par des actions inspirées ! Sans forcer ! Il parait que ça s’appelle « Avoir la foi ».

Ça aussi, c’est important : sans forcer !

 

Comme Sylvie le disait si bien lors de son interview :

 

« Il n’y a pas besoin de forcer, de décréter, de s’imposer un timing ou un culte de la performance. Je pense que si nous sommes alignés avec notre Vérité Intérieure, ce qui doit être fait va s’accomplir de toute façon. »

 

Ses propos résonnent tellement en moi. Ça change tout lorsque tu regardes le monde de cette manière. Tu n’as plus besoin de lutter. Tu as seulement à Être. Si je partais dans l’extrême, je dirais que tu n’as rien à faire finalement. 

Fais-en l’expérience, l’espace d’une heure, d’un jour, de toute la vie : laisse-toi porter uniquement par des actions inspirées. Enlève tout ce qui te demande de forcer ou de « t’obliger à ». Expérimente Cela, au moins une fois dans ta vie. Tu pourrais être vraiment surpris(e) !

Tu m’en diras des nouvelles !

Sur ce, je te souhaite une belle journée !

Et à bientôt pour de nouvelles Aventures !!!

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences …

#100 jours 100 sourires : Geneviève

#100 jours 100 sourires : Geneviève

Voilà un mois et quelques jours que je ne t’ai pas présenté de nouvel(le) inconnu(e). A vrai dire, je ne m’attendais pas à LA rencontrer hier matin.

Je suis sortie prendre l’air parce que pas un seul jour ne se passe sans que j’aille prendre l’air au moins une fois dans ma journée. C’est essentiel à mon bien-être et à ma créativité. J’ai emmené mon appareil photo et surtout mon dictaphone, dans l’idée d’enregistrer un podcast en marchant.

Le podcast, c’est la liberté 😉

Sur le chemin de l’aller, je parlais toute seule, écouteurs dans mes oreilles et blabla dans le micro de mon kit main libre branché à mon dictaphone, pensant que j’aurais un meilleur son. Résultat : après au moins 15-20 minutes de blabla, on entendait que dal à ce que je venais de raconter.

Dans mon idée de détachement du résultat, j’entre au parc Monplaisir et trouve un coin tranquille pour faire mes exercices de Qi Gong du Dragon mixé à quelques « postures célestes » (les dragons du Bagua me comprendront).

 

J’adore pratiquer pieds nus dans l’herbe, c’est le kiff intégral !

 

Quand j’y pense, il y a encore un an ou deux, je crois que je n’aurais jamais osé pratiqué dans un parc. Peur du regard des autres, peur de passer pour une « chelou », peur du jugement… Ça fait du bien de sentir que tout cela est derrière moi à présent. Pendant ma pratique, une dame portant un joli chapeau attire mon attention de l’autre côté du parc. Je sens une belle énergie chez elle. Ça a duré une fraction de seconde. Pensant ne jamais la revoir, je continue mes exercices.

Soudain, alors que je remballais mes affaires pour repartir, qui vois-je ???

La dame au joli chapeau !!!

J’accueille ce joli signe de la vie comme un cadeau. Je vais donc lui parler, bravant ma peur de l’inconnu. Je ne prenais pas un risque énorme après avoir senti une si belle énergie.

Geneviève vit dans le Sud de la France. Elle est en vacances dans le Nord pour quelques jours et à première vue, elle aime le calme et la beauté de la Nature.

 

Rencontre sonore dans la joie et la bonne humeur !

Le bon moment, c’est maintenant !

 

Merci la Vie et Merci à Geneviève pour cette jolie rencontre remplie de belles énergies !

Sur le chemin du retour, j’ai eu l’élan de ré-enregistrer mon premier podcast « Le Podcast, c’est la liberté !« . Je parle de ma vision du podcast et du détachement de la perfection.

A très bientôt pour de nouvelles Aventures !!!

Prends soin de toi,

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse de Conscience.