Lettre à ma banquière

« Chère banquière,

Je vous remercie de m’avoir suivi ces dernières années.

Le jour où je vous ai parlé du Tour de Nantes en 80 jours, à l’aube de l’automne 2015, j’ai compris que je parlais à votre Âme, au-delà de votre statut de « banquière ». Je me souviens à quel point je me sentais tellement portée par le projet que j’ai accaparé 1H30 de votre temps, décalant tout vos rendez-vous après moi. Je vous prie de m’en excuser, même si vous avez déjà oublié ce contre-temps. Sur 1H30, j’ai partagé avec vous toute l’humanité et l’authenticité que je souhaitais incarner à travers ce projet. Sur 1H30, nous avons parlé d’argent … euh … 5 minutes, peut-être 10 à la fin de notre entretien.

Vous m’aviez dit de penser à me payer. J’avais tout prévu. J’avais tout prévu pour les autres, pour que tout se passe bien.

Vous m’aviez dit de prévoir ma rémunération et dans l’élan de la passion, j’ai oublié de me payer.

Lorsqu’au sortir de ce projet magique qui a changé le cours de mon existence, je me suis retrouvée à 2000€ de découvert, vous avez été là. Vous ne m’avez pas jugé. Vous m’avez proposé une solution et j’ai remboursé mon découvert jusqu’au dernier centime, même s’il a fallu plusieurs mois.

Lorsque j’ai fermé ma première entreprise pour créer celle que je m’applique à faire fructifier aujourd’hui, vous avez été là.

Vous avez été là lorsque j’ai eu besoin de 4000€ pour investir dans du nouveau matériel photo pour offrir plus de qualité à mes clients.

Et mardi, au retour de quelques jours de déconnexion technologique, lorsque nous nous sommes rencontrées pour faire le bilan de l’année passée, vous avez su me rappeler avec bienveillance à quel point j’avais évolué. Vous avez su me remémorer tout ce que j’avais traversé pour en arriver là où je suis aujourd’hui. Et même si certains mois sont moins fructueux que d’autres, vous m’avez honorée. Vous avez honoré le travail que je fournis et ma capacité à rebondir. 

Pour tout Cela, pour votre humanité, pour votre bienveillance, je vous dit MERCI.

Je vous envoie toute ma gratitude et vous souhaite bonne route dans votre nouveau cap professionnel.

Artistiquement,

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences. »

 

On critique souvent les banquiers. On dit qu’ils en veulent qu’à notre argent. On dit … on dit … on dit beaucoup de choses je trouve. « Les gens » ont la critique facile lorsque les choses ne vont pas dans leur sens.

Désolée de te dire ça si tu fais partie de ces gens-là. Mais si tu es ici en train de me lire, il y a peu de chance que tu fasses partie des personnes qui ne se remettent jamais en question. Peut-être même que parfois tu es dur(e) avec toi-même et que tu te remets un peu trop en question.

Pourtant, sache que tout est parfait. Même si tu traverses des difficultés, même si tu es à découvert à la banque, même si en ce moment tu trouves que « TOUT » est compliqué, sache que derrière l’ombre, il y a toujours la lumière. La lumière ne peut pas exister sans l’ombre et vice-versa.

D’ailleurs, en passant, si tu es à découvert à la banque, je te déconseille de faire l’autruche, ce n’est pas comme ça que tu gagneras la confiance de ton/ta banquier(e). Après tu fais ce que tu veux, je dis ça pour toi, parce que je suis déjà passée par là. 

Choisir d’entreprendre n’est pas le chemin le plus facile qui soit. Crois-moi, c’est nettement plus simple d’être salarié, de faire tes heures, te barrer quand t’as fini ta journée et que ton salaire tombe à la fin du mois quoi qu’il arrive.

Je précise en passant que je n’ai rien contre le salariat.

Je ne pense pas que tout le monde à l’Âme d’entreprendre et c’est ok. Il faut de tout pour faire un monde. Et surtout, le plus important, c’est d’aller vers ce qui t’inspire vraiment. Ton statut importe peu si tu kiffes ce que tu fais.

Le plus important c’est de kiffer et de créer la vie qui ‘inspire !

Et ça, je l’ai réellement compris en 2011, lorsque j’ai décidé de quitter mon job, après trois semaines dans les montagnes à me reconnecter à la Nature. Ce voyage, sans même que j’en ai conscience sur le moment, m’a reconnecté à moi m’aime, à mon Âme, à qui j’étais au plus profond de moi-même.

Depuis septembre 2011, ma vie n’a pas été un long fleuve tranquille … Et pourtant … Pour rien au monde, je ne reviendrais en arrière. Je ne regrette aucun de mes choix.

Je ne pense pas que le chemin tout tracé, tout droit, tout aligné existe. Je pense que c’est toi qui crée ton chemin à chaque instant. Et quand un obstacle se met en travers de ton chemin, ça ne veut pas dire que le monde entier est contre toi.

Je crois que la Vie est un jeu. Je crois que derrière la Peur, l’Âme agit. La magie est partout en nous et tout autour de nous. Les moments où j’ai reçu les plus beaux cadeaux de la Vie, ont été ceux où j’ai fait mes plus grands sauts dans le vide. Des actions inspirées au-delà de toute logique, simplement parce que je me sentais appelée…

Je n’ai pas d’explications rationnelles à te donner. Ça se vit dans le cœur, dans le corps, dans les tripes en connexion avec ton Âme, ton intuition, appelle Cela comme tu veux.

Tu as toutes les ressources en toi. Il suffit « simplement » d’être à l’écoute. Facile à dire, me rétorqueras-tu peut-être… L’Être humain aime bien se compliquer la Vie.

Alors si tu en marre de te compliquer la vie, je t’invite à rejoindre les participants du stage « DEVIENS QUI TU ES » les 22, 23 et 24 septembre 2017 en Haute-Savoie ou les 27, 28 et 29 octobre 2017 au Canada, dans la province de Québec.

« DEVIENS QUI TU ES » est arrivé comme une évidence. Ce week-end de Reconnexion regroupe tous les outils de transformation que j’utilise pour moi et pour mes clients. Lorsque j’ai commencé mes premiers ateliers, je n’avais pas pleinement conscience de l’impact positif et de la transformation que cela créait dans la vie des gens. Sans doute qu’une partie de moi se battait avec cette histoire de légitimité. Cela m’a pris du temps de me faire confiance et d’agir selon mon intuition à chaque fois que je proposais quelque chose de nouveau ou d’inhabituel. J’ai dû transcender de nombreuses peurs pour prendre conscience que derrière la peur l’Âme agit.

« DEVIENS QUI TU ES » est pour toi si tu sens que tu marches à côté de tes pompes et que tu te sens appelé(e) à créer la vie qui t’inspire. Peut-être que tu as peur, peut-être que tu doutes, peut-être que tu te demandes si ça en vaut la peine. Rassure-toi, c’est légitime d’avoir peur, c’est légitime de douter, c’est légitime de se remettre en question.

« DEVIENS QUI TU ES » est pour toi si tu ressens ce besoin de faire une pause dans la course infernale du quotidien et de revenir à l’Essence-Ciel, à TON Essence …

« DEVIENS QUI TU ES » est pour toi si tu te sens appelé(e) sans trop savoir pourquoi, au-delà de la Logique …

Respectes-tu ton rythme ?

Respectes-tu ton rythme ?

(photo de Bleeken en pleine création, pour en savoir plus sur cet artiste pétillante, clique ici)

 

Voilà ce qui m’est venue comme une évidence ce matin …

J’ai remarqué depuis quelques semaines que j’avais du mal à m’organiser dans ma journée. Comme si je n’utilisais pas mon temps à bon escient. Pourtant, je pratiquais mes rituels bien assidûment pour avoir l’énergie nécessaire à ma créativité : écrire, méditer, pratiquer les Arts internets, aller marcher, tout ça LE MATIN. Jusque là, tout est ok et je sais que ces rituels sont bons pour moi et m’aide à me sentir mieux et plus sereine. Sauf que …

Des choses ont changé. Le matin, j’ai un pic de créativité et une capacité d’organisation ultra méga efficace de ouf qui se met en place. ET je n’écoutais pas Cela. Je continuais plus ou moins à pratiquer mes rituels habituels tout en sentant que quelque chose n’était pas fluide. Alors … Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir couru hier qui m’a éclaircit les idées mais ce matin, c’est devenu hyper clair !

Alors, j’ai écouté. Depuis ce matin, je réponds à mes mails, je travaille sur ma communication et mes projets. ET j’avance super vite !!! Sans me sentir coupable de ne pas encore avoir méditer ou bouger mes fesses dehors 😀

Oui, il y a deux sortes de culpabilité :

  • Celle où tu bosses alors que tu sais que tu « devrais » prendre du temps pour toi ;

  • Celle où tu prends tu temps pour toi alors qu’en vrai tu as trop envie de bosser !

L’esprit complexe de l’être humain dans toute sa splendeur !

En conclusion, j’ai remarqué que les jours où je travaille depuis chez moi, créer et travailler le matin et en début d’après-midi est super bon pour moi. Vers 15H-15H30, l’Appel de la Pause se fait sentir et je prends un plaisir fou à prendre l’air en Nature, marcher (et aussi courir maintenant), pratiquer les Arts internes pieds nus dans l’herbe et méditer.

C’est ce qui marche pour moi EN CE MOMENT.

Je pense qu’il est intéressant de nous observer régulièrement. Un certain rythme peut nous convenir à un moment de notre vie. Et à un autre moment, plus du tout. A l’heure du « Miracle Morning » et autres conseils bienveillants en tout genre, je crois que le meilleur conseil à donner à chacun, c’est d’écouter son propre rythme.

Je n’ai pas encore assez de recul sur mon nouveau rythme. Tout ce que je sais, c’est que ça me fait un bien fou d’en avoir pris conscience et d’avoir réajuster tout cela, tout en gardant mes rituels chéris qui passent tout simplement à un autre moment de la journée.

Youpi !!! Danse de la Joie !!!

Et toi ? Respectes-tu ton rythme ? Prends-tu le temps de t’observer, prendre du recul, réajuster, bousculer tes habitudes ?

Hâte de partager avec toi sur le sujet !

A très vite pour de nouvelles Aventures !!!

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse de Conscience.

P.S. : si tu penses que quelqu’un a besoin de lire ceci, partage cet article.

Après quoi tu cours ?

 Courir après le train. Courir après le bus. Courir après le métro.

Courir après le temps. Courir après l’argent. Courir après la réussite.

Après quoi tu cours ?

Nous sommes dans un monde où tout va très vite !!! La technologie est fascinante. Il est loin le temps où l’on se déplaçait à cheval et qu’un courrier mettait des jours avant d’arriver. Que de progrès fulgurants en quelques décennies !!!

C’est top ! L’information arrive plus vite. Nous nous déplaçons plus vite. Nous sommes capables de nous connecter à des personnes du monde entier en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire ! La technologie a fait un bond de géant et je crois que nous ne sommes pas au bout de nos surprises !

Simplement, je crois qu’il nous faut redoubler de vigilance et prendre le temps de s’arrêter. Prendre du recul. Observer. Respirer. Vivre. Oui, vivre… Prenons le temps de vivre…

Les moyens que nous avons à notre disposition sont fascinants. A nous de les utiliser à bon escient. Si ta voiture à la capacité de rouler à 200 kilomètres/heure, tu ne vas pas rouler à cette vitesse en ville ? Euh … J’espère que non, sinon ça risque d’être très dangereux. C’est pareil pour tout le reste. Nous avons des forfaits téléphoniques illimités, des connexions internet illimitées. Tout nous pousse à consommer tout en étant jamais rassasiés.

 

Prends-tu le temps de regarder le monde qui t’entoure ?

Prends-tu le temps d’observer la nature ?

Prends-tu le temps d’écouter le silence ?

 

Tout à l’heure je suis allée courir. Je ne suis pas allée courir après le bus, ni après le temps, ni après l’argent, ni après quoi que ce soit de matériel. « Aller courir avec mes jambes » pour le plaisir de courir, c’est un truc nouveau pour moi. J’ai toujours dit que je ne savais pas courir, que je détestais ça, que c’était trop dur et blablabla. Pourtant, depuis quelques temps, ça me tente et j’ai toujours une bonne excuse pour ne pas y aller. Et aussi, j’avais peur. Peur de ne pas réussir, peur de ne pas tenir, peur de ne pas être à la hauteur. Hum … A la hauteur de quoi au juste ?

En plus, je ne trouvais plus mes baskets, sauf que … hier matin, je les ai retrouvées. Alors, j’y suis allée. J’ai pris mon sac à dos pour caser mes clés quelque part (ne pas renouveler, c’est galère de courir avec un sac à dos non adapté). Résultat, j’ai couru 2 minutes 24 et j’ai arrêté :/ FAIL … J’ai marché et j’ai renouvelé un peu plus tard. Pas mieux 🙁

Bon … On fait quoi dans ces cas-là ? On fait une croix dessus ?

NON.

Je suis quand même beaucoup plus persévérante que ça.

Alors aujourd’hui, j’ai remis ça. L’après-midi cette fois. Sans pression, sans clés, sans sac à dos. J’ai commencé par marcher et quand je me suis sentie prête, let’s go ! J’ai fixé un point au loin et je me suis dit « je cours au moins jusque là ». Et là ! Tadam ! Je n’avais pas envie de m’arrêter. Je me suis sentie pousser des ailes ! Youpiii !!! Je n’avais pas l’heure sur moi, mais au vue de ce que j’ai parcouru, j’ai couru au moins 15-20 minutes. Je pense que j’aurais pu continuer encore mais je n’ai pas envie de me dégoûter dès le deuxième jour. Apprentissage en douceur <3 <3 <3

Pourquoi je te parle de ça ?

Parce que pendant ce temps de course, je ne pensais qu’à une chose (enfin deux…), bien respirer et écouter mon corps. J’ai oublié tout le reste ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti cela. Pourtant, j’ai l’habitude de méditer, de pratiquer les Arts internes, d’écrire. Et j’adore ça ! Ça contribue à mon équilibre. Mais je n’atteins pas cet état complètement focus sur mon corps et ma respiration. C’est sans doute parce que je débute. Quand je vois des gens discuter en courant, je ne sais pas comment ils font.

Alors pendant que je courrais, je n’ai couru après rien. Je n’ai attendu après personne. Je n’ai pas « checker » mes mails ou les statistiques des visites de mon site. Je n’ai pas couru après le temps non plus puisque je n’avais pas l’heure sur moi et que cela n’avait aucune importance. J’étais juste là, présentement.

Jamais je n’aurais pensé décrire la course comme Cela, dit la fille qui a toujours dit que ce n’était pas pour elle.

Pas de conclusions hâtives, ce n’est que le deuxième jour que je cours.

Et toi ? Pratiques-tu la course à pied ?

Sinon, as-tu des pratiques qui te font prendre conscience de comment tu habites ton corps ?

A lire en complément de cet article : #100jours100sourires, David, l’inconnu qui pratique la course à pied et qui rêve de faire le marathon de New York !

Je suis devenue insociable

Je suis devenue insociable

Si tu es abonné(e) à ma newsletter, tu n’es pas sans savoir que la semaine dernière j’ai perdu ma voix. C’était vraiment charmant. Un suave mélange entre Dark Vador, une mamie de 80 ans et le Père Fouras. Et …

Je n’avais pas fait le rapprochement, mais dans le même temps je suis devenue insociable. Je n’avais pas envie d’aller vers les gens, je n’avais pas envie de leur parler, je suis devenue insociable.

Je suis devenue insociable jusqu’à remettre en question tout ce que j’entreprends. Oui, je suis un peu extrême comme fille.

Et soudain … hier, tout a switché ! Je me suis levée en forme ET … attention … roulement de tambour …

Et j’ai retrouvé MA VOIX ! Victoire !!! Champagne !!! Euh … non pas « Champagne » dès le matin !

Ma voix est revenue lorsque j’ai accepté cet état, que j’ai arrêté de dire que de toute façon j’étais insociable, et blablabla…

Ma voix m’invitait à faire une pause et moi non, je voulais continuer et puis c’était galère de parler. Le fait même de parler me demandait un effort considérable. Et moi, au lieu d’accueillir Cela avec bienveillance, et bien non évidemment, j’étais la plus nulle de la Terre et puis je ne valais rien et nia nia nia.

C’est l’hôpital qui se fout de la charité franchement !

Celle qui transmet au plus grand nombre d’accueillir les émotions, de ne pas les refouler … elle a un truc qui va de travers et rien ne va plus.

C’est vrai que c’est facile pour moi d’accueillir les émotions. En ce qui concerne le corps, c’est une autre paire de manche ! Et ça tombe bien puisque je travaille dessus en ce moment. Je travaille à équilibrer mon alimentation, à plus écouter les besoins de mon corps. J’ai arrêté de checker mes mails en même temps que je mange.

Je suis vigilante aux rituels de ma journée qui contribue à mon équilibre : Arts internes, méditation, marche en Nature, écriture.

Je peux remercier mon corps d’être vraiment très résistant. J’apprends vraiment à l’honorer en ce moment. Je pense que c’est très important, c’est quand même le véhicule de notre Âme.

En fait, je suis devenue insociable temporairement. Surtout que j’adore les gens ! J’adore rencontrer de nouvelles personnes, échanger, partager. L’humain est tellement riche. La perte de ma voix m’a peut-être inconsciemment mis en colère contre moi-même. Et moi j’ai pris un raccourci en me déclarant « insociable ». Beaucoup plus simple que d’aller regarder en soi, n’est-ce pas ?

Être sans voix m’a aussi invité à ralentir en cette période estivale. L’été, j’ai tellement une énergie débordante que je voudrais que le monde aille aussi vite que dans ma tête ! Sauf que … ce n’est pas possible. L’été tout est ralenti, il y a comme un air de vacances, dirait-on. Et moi, j’ai joué à la gamine impatiente, déjà en pleine ébullition de la rentrée ! J’ai un petit côté rebelle parfois … hum … souvent.

Enfin, à présent tout est rentré dans l’ordre. Si on considère qu’il y a un ordre …

Et toi ? Quel est ton rapport à ton corps ? Accueilles-tu aisément les moments où il déraille un peu ? Comment ça se passe pour toi ?

Avec Amour et Bienveillance,

Prends soin de toi,

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse de Conscience.

#100 jours 100 sourires : Geneviève

#100 jours 100 sourires : Geneviève

Voilà un mois et quelques jours que je ne t’ai pas présenté de nouvel(le) inconnu(e). A vrai dire, je ne m’attendais pas à LA rencontrer hier matin.

Je suis sortie prendre l’air parce que pas un seul jour ne se passe sans que j’aille prendre l’air au moins une fois dans ma journée. C’est essentiel à mon bien-être et à ma créativité. J’ai emmené mon appareil photo et surtout mon dictaphone, dans l’idée d’enregistrer un podcast en marchant.

Le podcast, c’est la liberté 😉

Sur le chemin de l’aller, je parlais toute seule, écouteurs dans mes oreilles et blabla dans le micro de mon kit main libre branché à mon dictaphone, pensant que j’aurais un meilleur son. Résultat : après au moins 15-20 minutes de blabla, on entendait que dal à ce que je venais de raconter.

Dans mon idée de détachement du résultat, j’entre au parc Monplaisir et trouve un coin tranquille pour faire mes exercices de Qi Gong du Dragon mixé à quelques « postures célestes » (les dragons du Bagua me comprendront).

 

J’adore pratiquer pieds nus dans l’herbe, c’est le kiff intégral !

 

Quand j’y pense, il y a encore un an ou deux, je crois que je n’aurais jamais osé pratiqué dans un parc. Peur du regard des autres, peur de passer pour une « chelou », peur du jugement… Ça fait du bien de sentir que tout cela est derrière moi à présent. Pendant ma pratique, une dame portant un joli chapeau attire mon attention de l’autre côté du parc. Je sens une belle énergie chez elle. Ça a duré une fraction de seconde. Pensant ne jamais la revoir, je continue mes exercices.

Soudain, alors que je remballais mes affaires pour repartir, qui vois-je ???

La dame au joli chapeau !!!

J’accueille ce joli signe de la vie comme un cadeau. Je vais donc lui parler, bravant ma peur de l’inconnu. Je ne prenais pas un risque énorme après avoir senti une si belle énergie.

Geneviève vit dans le Sud de la France. Elle est en vacances dans le Nord pour quelques jours et à première vue, elle aime le calme et la beauté de la Nature.

 

Rencontre sonore dans la joie et la bonne humeur !

Le bon moment, c’est maintenant !

 

Merci la Vie et Merci à Geneviève pour cette jolie rencontre remplie de belles énergies !

Sur le chemin du retour, j’ai eu l’élan de ré-enregistrer mon premier podcast « Le Podcast, c’est la liberté !« . Je parle de ma vision du podcast et du détachement de la perfection.

A très bientôt pour de nouvelles Aventures !!!

Prends soin de toi,

Marie,

Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse de Conscience.