Tu m’as si souvent piétinée,

Sans même me regarder,

Tu m’as si souvent ignorée,

Alors que je t’offrais ma beauté.

 

Tu m’as si souvent contournée,

Par peur de te mouiller.

 

Il n’y a que les enfants,

Qui plongeaient dans mon Océan,

S’faisant engueuler par leurs parents !

 

Que de folles éclaboussures,

De ma Beauté la plus pure,

Et d’un bonheur qui perdure.

 

J’entendais leurs rires,

Leurs joyeux cris de plaisir,

 

Dans cet instant fabuleux,

Je les sentais si heureux.

 

Et soudain le calme revenait,

Au Ciel je me reconnectais,

 

Me révélant sous un nouveau jour,

Avec toujours autant d’Amour,

 

La Terre, les arbres et les nuages

Créaient mon nouveau paysage,

 

D’une simple flaque d’eau grisonnante,

Je devenais une œuvre d’Art vivante.

 

Marie Guibouin.

 

Je tiens à remercier le Monsieur qui travaille pour la ville que j’ai croisé cette semaine, après avoir pris cette photo. Il ramassait les branches mortes sur le bord de la Marque. M’ayant aperçu au loin il se demandait ce que je photographiais. Quand je lui ai parlé des reflets dans les flaques d’eau, il m’a regardé interloqué avant de me dire « Ah ! On en voit tellement tous les jours, on fait pas attention à ça ! » Merci à ce Monsieur dont je ne connais pas le nom, qui m’a inspiré ce texte en me donnant envie de me mettre à la place de cette flaque abandonnée 😉 #changerderegard #voirlabeaute #photographie intuitive

 

Si tu penses que quelqu’un a besoin de lire ceci, partage ce message <3 <3 <3


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