Ça fait presque 24H que ce titre résonne dans ma tête ! La photographie comme voie de guérison… Un part de moi trouve cela bien prétentieux d’Oser écrire ces mots. Une autre part de moi que j’appellerais … l’Essence… ne voit pas le problème. Elle me dit « écrit ! c’est ta mission ! Tu dois écrire ! » Je me sens émue. Mes larmes pourraient presque couler. Je ne comprends pas bien ce qui se passe.
La photographie comme voie de guérison ? Elle me raconte quoi là ? Je ne vais pas guérir les gens avec un appareil photo ! C’est du délire ! En fait, j’ai l’impression que je viens de me prendre un truc en pleine poire ! Comme si tout ce que je ne voulais pas voir, se présentait à moi, là, maintenant, comme une évidence.
J’ai souvent cru que je n’étais pas légitime. Après, je me suis qualifiée de « bizarre » à presque devoir justifier pourquoi je fais ceci ou cela. Alors que je n’avais pas besoin. J’avais juste à Être et faire les choses comme je le sentais au moment où je le sentais. Dès que les choses me paraissaient trop faciles, je m’inventais des obstacles, je me répétais sans cesse que je n’étais pas assez, que ça ne pouvait pas être aussi simple. Je me compliquais la vie pour … rentrer dans la norme, quelque part… Sauf que, ça n’a aucun sens ! La norme par rapport à qui ? La norme par rapport à quoi ?
Je ne pouvais pas « réussir ma vie » facilement alors que mon entourage galérait. Ça veut dire quoi « réussir sa vie » d’abord ?
Alors, je me suis attirée des relations « amoureuses » dénuées de sens, parce que de toute façon « les hommes sont tous des cons » et que « l’Amour, c’est compliqué ». Puis un jour, j’ai pris une décision. J’ai décidé que ce n’est pas ce genre de relation que je voulais dans ma vie. Et j’ai rencontré l’homme avec qui je partage ma vie depuis presque 2 ans. C’est tellement simple, évident et profond à la fois. On m’avait pas dit que c’était possible de s’aimer à deux et de se sentir libre à la fois <3 <3 <3
Je ne sais pas où tu en es dans ta vie, mais franchement, si tu es dans une relation « à la con », c’est que tu l’as bien voulu ! Et si cette phrase t’énerve, barre-toi. Si tu n’en peux plus, que tu crois que tu n’as pas le choix ou que tu te demandes comment tu vas t’en sortir sans lui/elle, barre-toi ! Bref, je m’égare complètement du sujet. Je ne sais pas du tout pourquoi je me mets à parler de ça.
« Réussir sa vie » dans l’inconscient collectif : avoir un bon travail, se marier, acheter une maison et faire des enfants.
Pourquoi pas ? Mais, y’a pas un truc qui te dérange dans le tableau ?
A aucun moment n’apparait « être heureux », « se sentir bien », « être épanouie » …
Ça ne devrait pas être ça la priorité ?
Avant, je croyais qu’il fallait travailler très dur et galérer financièrement. Je croyais que c’était ça, la norme de la vie. Et ça avait l’air de déranger personne …
Je ne comprends toujours pas pourquoi je raconte tout ça, alors qu’à la base, le titre de cet article est :
La photographie comme voie de guérison …
Oh ! Punaise ! Ok ! J’ai compris.
C’est lorsque la photographie est entrée dans ma vie que j’ai commencé à voir les choses autrement. Ça y est ! On y vient …
J’ai toujours été fascinée par la photographie. Quand j’étais gamine, on m’appelait la paparazzi ! Mais c’était pour m’amuser. J’aimais bien tout photographier. C’était un jeu, c’était pour « passer le temps… » Bien qu’au fur et à mesure, je prenais ça très au sérieux. Je me souviens lorsque j’ai eu mon premier appareil qui pouvait faire des formats différents. On pouvait même faire des photos panoramiques sur pellicule ! C’était la Révolution pour moi ! En plus j’étais trop fière. Les autres gens ne faisaient pas des photos comme ça. J’étais jeune hein ! Ah ! l’innocence de la jeunesse … On devrait y revenir de temps en temps, ça nous détendrait un peu de nous lâcher la grappe !
Bien que la photographie me fascinait, je ne pensais pas à en faire mon métier. Ça avait l’air d’être tellement réservé à une Elite que l’idée ne m’a même pas effleuré l’Esprit. Les seules fois où j’avais rencontré un photographe, c’était pour les photos de classe à l’école. Autant dire que ça ne me vendait pas du rêve. Il y avait les photographes qui font des photos à la chaine toute la journée en restant à la même place et les autres dont leur rôle me paraissaient si abstrait et hors de ma portée. Ah ! Et il y avait aussi ceux chez qui on amenait les pellicules à développer, quoi qu’après on pouvait emmener ses pellicules à Super U. Tout ça, c’est un peu flou dans la tête d’une gamine de 10 ans.
C’est à l’âge de 25 ans, que j’ai acheté mon premier appareil photo avec mes sous à moi 😀
Un Nikon D90. Il venait de sortir et je voulais celui-là absolument ! Ne me demande pas pourquoi … A l’époque, c’était celui qui était juste avant la gamme professionnelle. J’aurais clairement pu me contenter de moins « performant » pour l’usage que j’en aurais, mais je voulais lui alors je l’ai eu. En plus, d’une manière tellement un probable ! C’était un 2 janvier, je m’en souviens comme si c’était hier. J’avais pris mon samedi (fait rarissime quand on exerce le métier de coiffeuse). Je me suis rendue à la boutique qui vendait des appareils photo pour les pros (je ne suis pas allée n’importe où en fait …). A la base, j’y allais simplement me renseigner même si j’avais fait le tour de la question en long, en large et en travers sur le web ! Je n’y allais pas dans le but d’acheter mon « petit bijou » le jour même. Une fois mes renseignements pris, je pars en disant au vendeur que je vais réfléchir car il y a quand même un gros écart de prix entre ce qu’il me propose et le tarif que j’ai vu sur internet. Et soudain … Tadaaaammm !!! Alors que je grimpe sur ma moto rose, un homme court dans ma direction et s’arrête devant moi en disant : « je vous le fait au prix que vous avez vu sur internet ! » C’était le responsable de la boutique. J’ai trouvé ça tellement improbable que j’ai dit oui ! (euh … je peux payer en 3 fois ?) 950€, c’était un beau budget à l’époque, pour un objet censé être destiné à un simple « loisir ».
Cette acquisition matérielle a eu beaucoup plus d’impact dans ma vie que ce que j’aurais pu imaginer. J’ai commencé à bidouiller, à faire plein de recherches sur « comment marche ce truc ultra méga sophistiqué? ». C’était un autre monde, moi qui n’avait connu que les compacts qui mettent au moins 3 secondes avant de prendre la photo que je veux ! Grrr !!! Là, c’était carrément de la magie. J’appuyais sur le bouton et hop ! La photo était dans la boite instantanément ! En vrai, c’était un peu plus complexe que ça parce qu’il fallait que je comprenne tous les réglages du bazar. Alors, j’ai testé. Je ne saurais dire combien de milliers de photos mon boitier a connu …
Un an plus tard, je l’emmenais en vacances, dans mon périple seule en montagne. Le voyage qui a changé le cours de mon existence…
Et encore un an plus tard, à l’aube de mes 27 ans, je quittais le salariat, ma petite vie bien stable et prévisible, pour m’expatrier dans le Nord de la France où je ne connaissais absolument personne !
Un an d’école de maquillage plus tard, la voie de l’indépendance s’ouvrait à moi. Lorsque j’intervenais pour des prestations de coiffure et maquillage dans les studios photos et les plateaux de tournage, je découvrais un autre monde. Un monde où l’on s’appliquait à montrer le beau avec tant d’artifices et de codes bien définis. J’ai aimé ça, j’ai trouvé ça beau et j’ai contribué à mettre en lumière des centaines de scénarios bien ficelés.
Puis un jour je me suis réveillée avec l’envie de faire autrement, de donner du sens, de la profondeur et de l’authenticité. Mais j’étais qui pour me déclarer photographe alors que ces autres avaient l’air bien plus professionnels que moi. Et puis j’allais faire quoi avec mon pov’ D90. Oui, il paraissait ridicule mon merveilleux bijou pour lequel j’avais casser ma tirelire quelques années auparavant, aux yeux du matériel dernier cri qu’utilisait la plupart des photographes avec qui je travaillais !
Je ne serais jamais photographe de ma vie ! A moins de gagner au loto ! Et si en plus, j’ai besoin d’autant de valises de kits d’éclairage et autres gadgets en tout genre ! Définitivement, je peux faire une croix dessus ! (petite précision : je ne suis pas en train de dénigrer le matériel photo, je décris juste les faits tels que je les ai ressenti à l’époque)
Ensuite, il y a eu le Tour de Nantes en 80 jours, qui a changé le cours de mon existence. J’ai débarqué aux Machines de l’Ile de Nantes animée par mon projet, de tout mon cœur et de toute mon Âme. Et l’on m’a donné Carte Blanche ! Carte Blanche à moi, toute petite que je croyais être, sans aucune « référence photographique », sans diplôme, sans preuves de ma soit-disant capacité à organiser un projet de A à Z !
Et pourtant ! Je l’ai fait !
Comment ai-je rendu Cela possible ? Pourquoi et comment tout s’est organisé autour de moi pour que ça fonctionne ? Est-ce « légal » de mener un projet uniquement portée par le cœur, l’intuition et l’envie de bouger les choses ? Ça pouvait vraiment être aussi simple que Cela ? Étais-je vraiment légitime ? Je ne voulais prendre la place de personne. J’avais juste envie de créer un projet porteur de sens. Et ça a marché ! J’ai reçu le plus beau des cadeaux, le jour de mes 30 ans : ma première exposition photographique !
Comment continuer comme « avant » après une telle expérience en immersion dans un autre monde pendant 80 jours ? D’autant plus que je n’avais pas d’explication rationnelle à ce qui venait de se passer. Peut-être que de l’extérieur, tout cela est apparu comme étant super ultra méga organisé alors qu’en vrai, tout s’est mis en place au jour le jour, seconde après seconde, un pas après l’autre. Ce n’est pas crédible ! Je ne vais quand même pas me proclamer photographe et dire à des gens : « rassurez-vous ça va le faire, je fais tout à l’intuition ! » La bonne blague ! On va me prendre pour une allumée !
Alors tout ça, ça a pris du temps. Déjà, il m’a fallu intégrer tout ce qui venait de se passer. De plus, retravailler dans la publicité et le cinéma, comme « avant », ça n’avait plus aucun sens pour moi. Je n’avais plus envie de ça. Mais on va me prendre pour une girouette ! Une fille qui ne sait pas ce qu’elle veut, qui change d’avis tout le temps ! C’est fou, le nombre de scénario que l’Être Humain est capable de se mettre en tête ! Nous sommes bourrés d’imagination quand il s’agit de penser à la place des autres !
Début 2015, alors que je déprimais, je me demandais bien comment j’allais pouvoir me reconnecter à la Beauté. La Beauté, la vraie. Alors, j’ai repris mon appareil photo, tant bien que mal, dans l’idée de photographier des gens qui sourit. Sauf que… tout le monde faisait la gueule ! Super :/ J’avais l’impression de voir des morts vivants défiler dans les rues, sans se poser de questions, avec le poids du monde sur leurs épaules ! La belle affaire ! J’avais envie de les secouer comme des pruniers ! J’étais triste et en colère à la fois, sans compter que les publicités placardées un peu partout m’agaçait royalement, à coup de bouteilles d’alcool géante et de burgers dégoulinants avec la magnifique mention qui allait bien « l’abus d’alcool est dangereux pour la santé (mais achetez-en quand même) » ou encore « pour votre santé, ne mangez pas trop gras, ni trop salé, ni trop sucré (mais venez quand même manger dans un fast-food) ». Ce dont je n’avais pas conscience, c’est que ce que je voyais autour de moi reflétait simplement mon état. J’étais triste et morose alors je voyais la tristesse autour de moi.
Alors un matin de printemps, je me suis demandée : « si je me connectais à l’Amour, je verrais quoi ? » et voilà ce qui s’est passé :
Mon « état » pouvait donc impacter sur ce que je voyais autour de moi ? Ce sur quoi je focalise, se manifeste devant mes yeux ?
Les participants des ateliers d’initiation à la photographie intuitive que j’ai lancé en 2016 ne me diront pas le contraire 😉
Ah ! La photographie intuitive ! Parlons-en ! Ça aussi, ça m’a pris du temps avant d’oser en parler. Plus d’un an à m’auto-analyser, à comprendre quel était ma démarche, ma manière de regarder les choses et les gens … Il se passe quoi dans mon cerveau ? A moins que ça ne passe pas par le cerveau ? Il se passe quoi quand je photographie ? Ah oui ! C’est vrai que le monde pourrait s’écrouler autour que je ne verrais rien, tellement je suis dans ma bulle. Ça veut dire quoi alors ? Autre chose, ça m’apaise et je me sens connectée ! Je me sens dans un état méditatif en fait ! Comme je le dis et le ressens avec mes clients aujourd’hui, à un moment, il y a une faille temporelle. Il se passe ce « truc » impalpable, inexplicable, qui fait que l’Âme agit opère …
La photographie intuitive changerait la manière dont nous percevons le monde ?
La photographie intuitive ne passe pas par la tête. C’est un processus basé sur le ressenti et évidemment l’intuition. C’est à la portée de tout le monde. Il suffit juste de t’arrêter un instant. S’arrêter et regarder. Et pas seulement regarder, voir surtout. Voir au-delà des apparences …
Qu’en est-il du regard que l’on porte sur soi ?
Il y a jamais eu autant de gens avides de reconnaissance à coup de selfies, de filtres instagram en attente de « likes ». Paradoxalement, il n’y a jamais eu autant de gens qui ne s’aiment pas en photo, qui ne s’aiment pas tout court, qui se trouvent toujours moins bien que leur voisin … :'( STOP !!!
Aujourd’hui, lorsqu’on vient me voir pour une séance et qu’on me dit : « je ne suis pas photogénique », « je suis toujours moche en photo », « j’ai toujours une sale tête », « je ne suis pas à l’aise si je sais qu’on me prend en photo », et j’en passe, je répond toujours : « ah ! Mais c’est génial ! » Ce qui surprend souvent, je l’avoue. Ou qui fait rire, ça dépend !
Je suis super contente, car grâce à mon expérience dans la publicité, j’ai vu tout ce que je ne voulais absolument pas reproduire !!! Ô grand jamais ! « Mets-toi comme ci », « fais ceci, fais cela », « mets ta main sur la joue », « souris », « fais la gueule », etc … Au secours !!! Grâce aux ateliers d’initiation à la photographie intuitive, puis aux ateliers pour les femmes, j’ai peu à peu mis en place un « protocole » qui me permet de mettre mes clients à l’aise dans n’importe quelle situation. Et j’en suis super heureuse !
Mardi soir, je suis allée à une rencontre entre entrepreneurs et je crois que j’ai enfin compris que ma démarche n’était pas courante. C’est vrai que je ne suis pas partisane du rendement. Je l’ai trop subi à l’époque où j’étais coiffeuse je crois. Je percute vite et à la fois j’aime prendre le temps de découvrir la personne que je photographie. C’est là que je prends conscience que je suis une privilégiée, parce que mes clients sont vraiment géniaux ! Ils viennent vers moi car ils ont envie/besoin d’une image qui les représente vraiment. En ça, je leur en suis infiniment reconnaissante car ils ont compris tout le sens de ma démarche. Rien que ça, c’est le plus beau des cadeaux. Et je remercie la Vie de me permettre de créer Cela.
Waw ! Tout ce chemin accompli pour en arriver là où j’en suis aujourd’hui ! Je comprends l’importance des étapes et de tous les défis que la vie a mis sur mon chemin. Je ressens à quel point le message que je transmets et la mission que j’incarne est précieuse. Quand je dis que je révèle la Beauté et les Talents des Êtres que je rencontre sur mon chemin, je me sens vraiment alignée avec Cela. Comme si auparavant ce n’était qu’un rêve, un truc abstrait … alors qu’à présent, c’est bel et bien là. Quel Cadeau !
Et depuis quelques semaines, au delà de mettre en lumière la Beauté et les talents, je sens que quelque chose d’autre se trame. Quelque chose de l’ordre de la guérison, bien que je trouve le mot un peu fort. Mais c’est celui-ci qui est sorti. Ça a commencé avec ma cliente Mathilde qui m’a dit que je faisais de l’Art Thérapie ! Jamais je n’oserais m’approprier ce terme très « règlementé » et « codifié ».
Puis, il y eu cette femme qui m’a contacté pour un projet sur le rapport au corps. Et dans la même semaine, cette autre femme qui se reconnaitra, qui m’a contacté pour aider les femmes à s’accepter telles qu’elles sont.
Sans oublier ma petite sœur, pour qui j’ai fait des photos, nue, en pleine nature, pour la réconcilier avec son corps, durant son processus de guérison de l’anorexie (elle en a fait un article ici).
Quelque part, ça fait partie de ma mission de reconnecter les êtres à leur Beauté. Ça a toujours été là. Pourquoi j’ai commencé par la coiffure, puis le maquillage et maintenant la photographie ? Je crois bien qu’il n’y a pas de hasard là-dedans … Tout est lié. Et je ne parle pas uniquement de la Beauté extérieure, je parle aussi de la Beauté intérieure. Encore une fois : Tout est lié. L’invisible se manifeste dans le visible. C’est aussi simple que Cela.
Je me souviens aussi de ma cliente Stéphanie qui a témoigné du travail que nous avons fait ensemble : « Marie voit au-delà des apparences et pour un photographe, c’est une vraie qualité. »
C’est comme si je me réveillais d’un profond sommeil ou que j’avais de nouveaux yeux.
Hier soir, j’étais à une soirée avec des personnes qui comptent beaucoup pour moi. J’avais emmené un de mes oracles que j’aime beaucoup. L’Oracle du Peuple animal, d’Arnaud Riou. Juste avant, je venais de dire au groupe que ma mission ici est de révéler la Beauté et voir au delà des apparences … Quelques minutes plus tard, je fais tirer une carte à tout le monde. Et voilà que c’est le Paon qui se présente à moi :
« Offre au monde la Beauté de ton Âme ; c’est le plus beau cadeau que tu puisses faire à l’humanité. »
Ce fut un moment très fort et rempli d’émotions pour moi. Le Paon est un animal très symbolique qui ose briller et montrer sa propre Beauté au monde. Ce qui m’a frappé aussi, c’est sa couleur. Bleu, vert, turquoise… A l’heure où je suis en pleine mutation de couleur de cheveux pour aller progressivement vers le turquoise.
Je crois que c’est tout pour aujourd’hui. Il m’aura fallu une bonne partie de la journée pour accoucher de cet article. J’ai l’impression d’avoir accoucher d’un truc là ! Je sais pas exactement de quoi mais on dirait que quelque chose devait sortir. Quelque chose de très profond. Je ne vais pas me relire. Je repasserais sûrement plus tard corriger quelques fautes de frappe… ou pas…
Merci beaucoup de m’avoir lu jusqu’ici.
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Prends bien soin de toi et à bientôt !
Marie,
Photographe de l’Âme, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse des Consciences …
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Merci Marie, de révéler cette Lumière de plus en plus chaque jour !
Et effectivement, je peux en témoigner : tu participes à ma guérison et mon élévation à chaque instant partagé.
La gratitude de ta petite sœur !
Merci Christelle d’inspirer le monde à ton tour ! Continuer de libérer ta voix 😉
Quel joli témoignage et quel chemin …et tt est cohérent..tout à un sens. Continue comme ça Marie !
Gratitude de ta vieille copine
Merci ma Zouzouuu !!! Et ravie de voir ton rayonnement 🙂
Je ne sais pas pourquoi, moi non plus, je me dois de laisser un commentaire. Je me passionne pour la photographie depuis quelques années, de plus en plus… et en voyant que tu cites le 2 janvier, qui est ma date de naissance, je me dis que c’est peut-être le signe de me lancer… affaire à suivre
Wawww !!! En voilà une belle synchronicité !
Fais un premier pas Solène, puis un deuxième et c’est parti !!!
Pourquoi attendre ? 😉
Génial ! Et bien voilà ça vient 😉 Je sens que plein de choses vont émerger de cet article… J’attends avec impatience !
Ça tu l’as dit Laure !
Je le relis presque un an plus tard et y’a des choses que me sautent aux yeux !
Il va encore y avoir du changement à la rentrée, je le sens…
Encore une fois plein d’émotions en lisant cet article, et même des frissons. La vidéo avec tes photos est magnifique (1’33 !).
D’habitude, je n’aime pas ce genre de « photos volées », j’ai l’impression qu’elles ne respectent pas l’intimité des couples et capturent leur complicité tendre, sans leur consentement, pour l’exposer en public, sans leur consentement non plus. Je trouve ça intrusif et je me sens mal à l’aise, en regardant les photos, de participer à cette « violation » de leur espace privé. Comme du voyeurisme.
J’ai toujours pensé que je détesterais voir des photos de moi et mon amoureux prises et publiées ainsi , dans mon dos, sur le net. Devant les tiennes, étrangement, je ne ressens pas ça. Peut-être parce que je te connais, et parce que je ressens aussi l’intention qui est dans l’acte en regardant l’image. Je ne sais pas trop. En tout cas, cette gêne n’est pas là.
J’ai souri en lisant le passage sur le panoramique papier car j’ai eu la même sensation avec le mien. Ca m’a coûté une fortune en tirages, mais j’adorais ces vues d’un format différent, et de pouvoir choisir. Mes 1e économies persos, je les ai investies dans mon premier saxophone. C’était aussi un sacré budget, à l’époque. 🙂 Il dort dans son boîtier et j’ai pensé plusieurs fois à le revendre, mais symboliquement, je crois qu’il vaut plus que le prix que je pourrais en tirer aujourd’hui. Alors je l’ai gardé, même s’il dort…
Cet article fait encore une fois écho à plein de choses en moi. Cette semaine, j’ai peint un arbre de façon intuitive (une des créas que l’averse du parking t’a empêchée de photographier !), avec l’intention qu’il guérisse mon arbre généalogique. Bien qu’une part de moi connaisse le pouvoir thérapeutique des couleurs (j’ai même fait une émission là dessus !), une autre n’arrivait pas à accepter qu’il suffise de « jouer avec les couleurs » pour que ça marche. Toujours ce truc de la légitimité, et ce non-droit à la facilité et au plaisir, comme tu le décris. Eh bien, toute la semaine, j’ai fait des rêves de ouf à propos de membres de ma famille, dont certains morts depuis longtemps, et énergétiquement, j’étais bien brassée aussi à l’état conscient. Comme si cet arbre fini, planté là dans mon salon, continuait à travailler de façon thérapeutique dans tous mes corps. Je me disais que je devrais le faire mesurer par un bio-énergéticien. Et voilà que tu arrives avec ta photographie thérapeutique… et je me dis que je n’ai besoin de la validation de personne, sinon la mienne.
Alors, encore une fois, merci pour ces partages. <3
Sylvie
ps : j’ai oublié une jolie synchro, à laquelle j’ai pensé de suite en voyant ton bandeau d’article : l’illustratrice qui a réalisé les dessins que tu as pris en photo pour mon prochain livre adore les paons. Récemment, je lui ai glissé une plume de paon dans un colis que je lui ai envoyé. Je ne savais pas pourquoi, je n’avais plus de marque-page, je cherchais une attention gentille à lui glisser ds l’enveloppe, et j’ai eu envie de mettre cette plume de paon. C’est dans sa réponse que j’ai découvert qu’elle les adorait et en a même inséré ds certains de ses dessins. Et voilà qu’elle se retrouve chez toi. Tout est connecté… 😉