RIEN n’est grave sinon TOUT est grave …

Hier, j’écoutais un des nombreux live de Lyvia Cairo et une phrase m’a marquée : « RIEN n’est grave sinon TOUT est grave ». C’est une phrase qui l’aide beaucoup dans les moments de panique totale !

Depuis ça résonne dans ma tête alors je me suis dit que j’allais partager cela avec toi.

Souvent, on se fait une montagne de pas grand chose.

Combien de fois j’ai repoussé un appel à une personne en me disant que j’allais peut-être la déranger, que c’était pas le bon moment, qu’il vaudrait mieux que j’attende ceci ou cela ?

Combien de fois j’ai eu des idées que je n’ai pas mis en œuvre en me disant que ça n’intéresserait personne, que ça déjà été fait, que ça servait à rien et pourquoi moi plus que quelqu’un d’autre ?

Toujours cette foutue légitimité.

Ça sert à rien !

Parce que si tu as été inspiré(e), que l’idée est arrivée dans ta tête à toi, et que ça te fait vibrer, pétiller ! Bref, que ça te met le cœur en joie, c’est que tu es la meilleure personne pour la mettre en œuvre !

Alors ! Fais-le !

Fais-le MAINTENANT !

Combien de fois je me suis retenue par peur de déranger, par peur de prendre trop de place, par peur du rejet, par peur du regard des autres, par peur de ne pas être à la hauteur ?

A la hauteur de quoi franchement ???

C’est vrai quoi ! Ça veut dire quoi : « être à la hauteur » ? Par rapport à qui ? Par rapport à quoi ?

Aujourd’hui, j’ai décidé d’arrêter de me taire ! Aujourd’hui, j’ai décidé de propager mon message quoi qu’il arrive. Aujourd’hui, j’ai décidé d’arrêter d’avoir peur de prendre trop de place. Aujourd’hui, j’ai décidé d’arrêter d’avoir peur de déranger. Aujourd’hui, j’ai décidé d’arrêter de croire que je ne suis pas à la hauteur. Aujourd’hui, j’ai décidé d’arrêter de croire que les autres font mieux que moi alors à quoi bon ?

Les autres ce n’est pas toi.

Toi c’est toi.

Et personne d’autre que toi est mieux ou moins bien que toi pour être qui tu as envie d’être, pour créer ce projet dont tu rêves depuis si longtemps, pour vivre la vie que tu as envie de vivre.

ETRE TOI SUFFIT. (Lyvia Cairo, je te pique ton Credo :p)

En écrivant ces mots je suis dans le flow, et soudain lorsque mon mental revient, il me dit ENCORE que je vais m’attirer les foudres de la Terre entière en disant que rien n’est grave (Et la guerre ? Et la faim dans le Monde ? Et les gens qui souffrent ? Et la politique ou je sais pas quoi ?)

Longtemps, j’ai voulu sauver la planète entière. Longtemps, j’ai voulu sauver des gens qui n’avaient pas envie d’être sauvé. Longtemps, j’ai voulu changer le monde. Longtemps, j’ai passé des heures à secouer des gens qui n’avaient pas envie d’être secoué, en leur disant « mais si, c’est possible tu peux faire ça, ça et ça ! » Longtemps, je me suis épuisée à aider des gens qui ne m’avaient rien demandé.

Et un jour j’ai compris.

J’ai compris que c’est en m’aidant moi-même, que je pouvais aider les autres. J’ai compris que c’est en prenant soin de moi en premier, que je pouvais prendre soin des autres. J’ai compris qu’en agissant à mon échelle, j’aidais indirectement les autres à agir aussi. J’ai compris qu’en créant la vie qui m’inspire, j’inspirais les autres à faire de même.

Ça commence d’abord par soi.

Commence par toi en premier.

Tu peux pas sauver la planète entière, mais tu peux te sauver toi.

Et si toi, tu vas bien, tu peux inspirer le monde qui t’entoure.

Et même si tu n’inspires qu’une seule personne dans le monde. Continue quand même. Parce que cette personne va inspirer une autre personne à son tour, qui elle aussi va inspirer une autre personne…

Tu vois ce que je veux dire ? Où je veux en venir ?

On peut passer notre temps à nous plaindre de la politique, de la faim dans le monde, de la guerre et de toutes ces choses qui nous indigne. On a le droit d’être en colère, ce n’est pas la question.

Et si on transformait cette colère en quelque chose de constructif.

J’ai l’image d’un ricochet qui me vient. Tu sais, ce caillou que l’on jette dans l’eau, qui rebondit et qui crée une onde qui se propage.

Je crois au pouvoir du collectif.

Je crois que chaque Être Humain a le pouvoir d’agir à son échelle, avec les moyens qu’il a.

Pas besoin que ce soit des choses extraordinaires. Mais toutes ces petites choses de la vie mises bout à bout, ça créé quelque chose de beau.

Hier, je te disais d’arrêter de regarder la télé. Ce n’est pas pour te donner des ordres. Tu fais ce que tu veux. Fais-le test, une journée, une semaine, un mois, toute la vie ? Essaie au moins une fois et prend conscience de l’impact que cela a sur toi.

Si l’Humain est capable de créer des guerres, imagine le pouvoir de dingue qu’il a pour créer la paix ! Ça sert à rien de pointer du doigt ce qui te révolte si tu n’en fais rien. Sert toi de ce qui t’indigne pour agir à ton échelle.

Peut-être qu’en me lisant tu te dis que je suis utopique, que le monde va mal, que le processus est déjà bien trop entamé. Si telle est ta croyance, je la respecte, mais ce n’est pas la mienne.

Hier, j’ai envoyé mon livre à un éditeur. Parce que j’ai l’intime conviction que mon histoire peut aider plein de gens. Écrire un livre, c’est long, c’est compliqué.

Ce n’est pas écrire qui est compliqué.

Écrire : tu t’assois et tu écris et c’est tout.

Ce qui est compliqué, c’est la bataille avec ton auto-saboteur, surtout au début. Tu te dis que ça n’a pas de sens, que ça va intéresser qui, que c’est peut-être trop ceci ou pas assez cela.

Force de courage et de persévérance, les voix dans ta tête finissent par prendre de moins en moins de place. A un moment, tout bascule, là tu sais que tu ne reviendras pas en arrière.

Aujourd’hui, je n’ai pas fini d’écrire mon livre, mais je continue.

J’aurais pu me décourager, abandonner, me dire que finalement ça sert à rien. Mais non. Je continue parce que je sais que ça peut aider plein de gens à oser passer à l’action, alors même si c’est long, même si parfois je suis impatiente et que j’aimerais que ce soit fini avant d’avoir commencé, je continue.

Pfiouuuu !!! Je viens de lever la tête ! Quand je décide d’arrêter de me retenir, je ne fais pas semblant !

Dans quelques temps, ça me paraitra sûrement normal. Pour le moment, c’est au-delà de ma compréhension. J’écris un mot et tout le reste arrive d’un coup. Je ne sais pas du tout à l’avance ce que je vais écrire. Ça sort tout seul :O

 

Je te souhaite une belle journée,

Prends soin de toi,

Vis. Respire. Aime.

 

Marie​, Utopiste à plein temps, révélatrice de lumière, Droguée au positif, sujette au grain de folie artistique :p

#100jours100sourires : Debruyne

#100jours100sourires : Debruyne

Après un premier refus, dans le style : « Ça m’intéresse pas !!! », je ne me suis pas laissée abattre. Je prends conscience que ça fait partie du jeu. Comme je dis souvent dans mes articles, on peut pas faire l’unanimité, on peut juste faire notre part et agir pour ce en quoi l’on croit profondément.

Je crois en la Beauté de ce Monde et je crois que chaque Être Humain, c’est de l’Or en Barre dont la lumière ne demande qu’à se révéler.

Et si je fais le bilan, je rencontre de plus en plus de gens ouverts d’esprit et acteurs du changement positif dans ce monde 🙂

Il paraitrait que l’on attire à soi les personnes qui nous ressemblent, les gens qui sont dans la même vibe que nous. D’ailleurs si tu es en train de lire cet article, c’est que toi aussi tu crois qu’un monde meilleur est possible. Je crois profondément que tout est possible et que nous sommes tous acteurs du changement, comme des maillons d’une chaîne humaine géante dont nous tissons les liens ensemble. 

Donc, après ce premier refus, j’ai aperçu au loin un homme qui riait avec son fils.

J’ai trouvé ça beau 🙂

J’ai rencontré Debruyne, qui aurait beaucoup aimé contribuer mais qui était assez pressé, alors je lui ai proposé de marcher avec lui. Et même si notre échange fut très court, je suis très heureuse d’avoir croisé sa route.

 

 

C’est son fils, Tao, qui contribue au plus grand bonheur de Debruyne. Et ça se voit !

Tao, magnifique ! Ce n’est pas très courant comme prénom et j’adooorrreee !!! Ça me parle énormément 🙂

  • Ça veut dire le destin, la route du destin. Je crois au destin parce que moi et sa maman, c’était le destin quand on s’est rencontré ! C’est pour ça que nous avons appelé notre fils Tao.

 

Le destin, la destinée, ces mots résonnent encore dans ma tête. Je suis convaincue que c’est ce que je devais entendre à cet instant.

 

Debruyne pense que tout est possible dans la vie si on y met tous du sien.

 

 

Son plus grand rêve :

 

  • VOYAGER

 

  • Mais il faut de l’argent pour ça …

  • J’ai déjà voyagé mais il y a des pays que j’aimerais bien faire : l’Australie, l’Afrique …

 

Il y a énormément d’alternatives pour voyager même avec très peu de moyens. Des tas de gens en sont l’exemple. Je souhaite de tout mon cœur à Debruyne de réaliser son rêve et d’inspirer son fils, sa compagne et tous les gens qu’ils croisent sur son chemin. 

Et si notre rencontre était un signe du destin pour créer un déclic ? 😉

 

Un mot de la fin à partager au monde ?

  • Quand on me pose des questions comme ça, il faut y réfléchir quand même … (rires) Dans tout le monde, qu’il n’y ait plus de guerres, que tout le monde s’entendent bien.

  • Et Vive la Vie tout simplement…

 

Toutes ces rencontres sur ma route ne sont pas anodines. Même si souvent, elles ne durent que quelques minutes, je suis convaincue qu’elles ne sont pas le fruit du hasard. Je suis convaincue que tout est en nous, que nous sommes tous capable d’œuvrer pour un monde meilleur. En agissant aujourd’hui, nous créons le monde de demain, un monde des possibles qui ouvre un champ de possibilités infinies !!!

 

MERCI <3 <3 <3