Décisions & alignement

Décisions & alignement

Le mois de mai aura été un mois de grandes décisions. Un mois de désencombrement, de libération pour plus de légèreté, plus de fluidité et plus de fun !

Voilà 8 jours que j’ai quitté le grand bleu et me voilà plus apaisée. Et grande nouvelle, ce soir, j’ai terminé l’écriture du chapitre 5 de mon livre sans même m’en apercevoir ! J’aurais presque pu faire la Danse de la Joie en même temps que j’ai envoyé des nouvelles au Cercle VIP des futurs lecteurs de ma vie d’écrivain en herbe ! Comme c’est pas facile de danser et écrire en même temps, je l’ai fait avant et après 😀

Je ne sais pas si c’est un effet secondaire désirable du « quittage » de Facebook mais ça fait du bien !

Je pensais continuer d’écrire tous les jours ici mais finalement je m’accorde la liberté de « flowter » entre le blog, Instagram, Youtube et ma newsletter !

Ma newsletter, parlons-en ! Franchement, j’ai un plaisir fou à l’écrire ! J’en ai déjà envoyé 3 depuis le début du mois, à chaque fois avec la même fluidité, et qu’est-ce que ça fait du bien. Même que parfois « vous » me répondez et ça c’est magique. Cela n’est arrivé que très rarement lorsque j’étais sur Facebook. Oui j’avoue ça me fait plaisir de recevoir vos mots d’Amour.

Concernant les visites sur mon site, j’en ai moins qu’avant mais j’ai des visiteurs plus engagés et ça, ça fait vraiment plaisir. Finalement, le côté incontournable du bonhomme bleu est en train de se réduire à néant. Je ne dis pas que je n’y reviendrais jamais puisque la vie m’a appris qu’il ne fallait jamais dire jamais. Mais là, franchement à l’heure où je t’écris, je me sens tellement libre sans lui. Mon corps me remercie 🙂

Ah ! Aussi ! J’adore recevoir des mails. Des vrais mails, pas des spams à la noix et pas non plus des messages à la va vite avec l’oppression qui va avec parce que ton expéditeur a vu que tu l’as ouvert à 13h22 et qu’à 13h24 tu ne lui as toujours pas répondu !!! Non, non, je ne suis pas traumatisée du tout 😀

Cette semaine, j’accompagne 5 femmes formidables à Oser et j’adore ça ! Ça me file une pêche d’enfer de les voir avancer et oser passer à l’action dans leur vie et dans leur business ! Vu que mon cerveau va plus vite que mon ombre, je n’ai pas encore mis cette offre sur mon site mais si toutefois, tu veux des infos, contacte-moi.

Il s’agit d’un accompagnement individuel de 3H, réparties sur une semaine, pour passer à l’action NOW ! Ça peut être de grandes choses ou de petites choses, mais l’idée c’est que cette semaine là te donne l’impulsion de continuer à Oser et crois-moi ça déménage !!! Je suis super contente de cette Aventure qui démarre !!! J’ouvre de nouvelles places à partir du 19 juin.

Cette offre sera ouverte à une personne par semaine pour être pleinement présente pour toi et parce que j’ai envie de donner plus de place à la photographie. J’ai enfin pris conscience que mes séances photo, ne sont pas de simples séances « lambda ». OK ! J’ai compris que c’est de l’Or en Barre ! Je dois dire que la séance avec Mathilde a bien enfoncé le clou dans le bon sens du terme évidemment ! Les photos arrivent bientôt !!! (d’ailleurs Mathilde m’a interviewée deux fois, si tu as loupé ça va voir sur sa chaine Youtube : « Les conseils de Mathy Cab« ).

Bref, tu l’auras compris, ce mois de juin démarre sur les chapeaux de roue avec une Énergie de Feuuu !!! Et surtout, cette sérénité, cette confiance, cet apaisement, pfiouuu que ça fait du bien. Quand je vois tout ce qui se met en place en ce moment, je me demande comment je trouvais le temps « avant » ! On dit que le temps n’est pas extensible mais je crois que si. De toute façon, nous sommes maitres du temps, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire.

Si si, c’est toi qui décide. C’est toi qui décide ce que tu veux faire de ton temps. Le temps est un cadeau précieux qui t’est offert à chaque instant. 

A quoi passes-tu ton temps ?

Consacres-tu la majorité de ton temps à ce qui est important pour toi ?

Comment sont tes pensées la plupart du temps ? Tes pensées nourrissent-elles ton Âme ?

Accordes-tu de l’importance à tes impulsions créatives et joyeuses ou te laisses-tu guider par la peur ?

Que choisis-tu de nourrir en premier ? L’Amour ou la Peur ? 

Ceci est un pense-bête pour moi m’aime si un jour je sombre du côté obscur de la Force. Ce qui m’étonnerait grandement, mais comme je te disais plus haut, la vie m’a appris qu’il ne faut jamais dire jamais, alors mieux vaut prévenir que guérir 😉

Ce pense-bête est à utiliser sans modération. Je te l’offre avec tout mon cœur.

Je t’envoie plein de belles énergies de lumière qui pétillent !!!

A très vite pour de nouvelles Aventures !!!

Marie,

Artiste, Révélatrice de Beauté, Éveilleuse de Conscience.

 

Il était une fois …

Il était une fois …

Il était une fois une petite fille. Une petite fille tant désirée que ses parents accueillirent dans l’Amour et la Joie <3 <3 <3 La petite fille avait toujours le sourire. Elle était spontanée et respirait la Joie de Vivre !

Puis la petite fille a grandi. Elle a grandi très vite. Elle a très vite appris le sens des responsabilités en s’occupant de ses frères et sœurs. Il était rare que la petite fille se plaigne. Elle n’avait pas besoin de grand chose pour être heureuse. Un brin de soleil, courir dans le jardin, jouer à construire une montagne avec des pots de yaourt vide, partager des bons moments avec ses frères et sœurs, s’assurer qu’ils ne manquaient de rien, respirer, grimper sur les bottes de pailles, conduire un tracteur sur les genoux de son papa, aider sa maman à faire la cuisine…

La petite fille était très contente d’aller à l’école ! Elle avait toujours le sourire et elle était plutôt facile à vivre ! Une fois, en maternelle, elle était trop heureuse de dessiner une dame. Elle lui avait dessiné des seins parce que c’était une dame. Et la maitresse l’a disputé. Elle lui a dit que ça ne se faisait pas de dessiner des gens tous nus ! Alors, la petite fille a cru qu’elle était nulle et qu’elle ne pourrait jamais s’exprimer par le dessin.

Un jour, elle a eu ses premiers ciseaux, mais ils coupaient super mal alors elle avait toujours des « points rouges » dans ce genre d’activités créatives. Peut-être qu’elle n’était pas faite pour créer …

Une année, elle a eu une maitresse qui jouait de la guitare et elle trouvait ça génial. Elle était admirative.

Quand le moment est venue d’apprendre à lire, elle a trouvé ça plutôt facile. Lire et écrire était quelque chose de simple et d’aisé pour elle. Un peu plus tard, elle adorait les dictées alors que la plupart de ses camarades détestait cela.

Cette liberté d’expression la rendait fière. Apprendre à lire et à écrire l’a amené à mieux comprendre les choses. Même les conversations de grands prenaient du sens. Et puis, est venu le temps des moqueries. Les moqueries dans la cour d’école, les moqueries sur son nom de famille, les moqueries sur les habits qu’elle portait.

La petite fille a très vite compris que c’était très dur de gagner de l’argent. Elle avait rarement des vêtements neufs mais ça lui allait très bien comme ça. Elle ne se plaignait jamais. Ce sont ses petits camarades de classe qui lui montrait à quel point elle était différente et que c’était la « loose » de ne pas porter de vêtements de marque. Ce fut encore plus flagrant lorsque la petite fille qui allait se transformer en adolescente est arrivée au collège. Elle était très timide et les plus « dégourdis » et les plus grands en profitaient. Quand les boutons d’acné ont pointé le bout de leur nez, ça ne l’a pas aidé non plus. Et le jour où sa maman lui a coupé les cheveux et que ça ne lui allait pas du tout, ça a été le pompon.

Pourtant, sa maman ne lui coupait pas trop mal les cheveux d’habitude. Mais bon … sa maman n’était pas coiffeuse. Elle coupait les cheveux de toute la famille par souci d’économie. Même sa maman n’allait pas chez le coiffeur, elle se coupait les cheveux elle-même.

La maman de la jeune adolescente était très généreuse. Elle donnait tout ce qu’elle avait, même ce qu’elle n’avait pas pour ses enfants.

Le papa de la jeune adolescente travaillait très très très dur aussi. Il travaillait en harmonie avec la terre. Il se levait quand il faisait nuit et rentrait le soir quand il faisait nuit.

La jeune maman restait à la maison pour s’occuper des enfants et le papa travaillait dehors pour ramener de quoi nourrir sa famille.

La jeune adolescente jouait parfois le rôle de deuxième maman, parce que c’est un travail à temps plein de s’occuper de 9 enfants, alors les plus grands s’occupent des plus petits et c’est normal.

La jeune adolescente ne s’en plaignait jamais, ça a toujours été son mode de fonctionnement. Elle n’a connu que ça. Elle ne rêvait pas d’avoir une mobylette ou d’aller faire la fête avec ses amis.

Un jour, elle a connu l’indépendance. Elle a expérimenté le fait de vivre seule. Ce n’est pas quelque chose qui lui faisait peur. Elle savait se faire à manger et entretenir une maison. Elle savait qu’il fallait s’occuper de plein de papiers et payer des factures.

Elle a choisi un métier où elle pourrait aider les gens et qui lui permettrait d’entrer dans le monde du travail très rapidement. Elle ne voulait plus être une charge pour ses parents. Elle voulait prendre son indépendance et travailler. Elle voulait payer son permis de conduire toute seule et assumer ses charges de la vie courante très rapidement. Six sœurs et deux frères avaient besoin d’être nourris, de faire des études et d’avancer dans leur vie.

La coiffure, elle n’y connaissait rien. Elle n’avait jamais mis les pieds dans un salon de coiffure. Elle ne savait même pas ce qu’était un brushing. Comme toujours, elle a très vite appris. Dès la première année, elle a obtenu une médaille d’or et une médaille d’argent au concours des meilleurs apprentis ! Quelle joie ! Elle en a pleuré. Mais ça, c’était juste pour le plaisir et pour le défi de se dépasser. Elle ne pensait pas que l’artistique, c’était un vrai métier !

Elle était ultra timide, elle rougissait dès qu’elle devait parler à un(e) cliente, ou pire, parler en public ! Pourtant, elle a dépassé tout ça, elle a travaillé sur elle, elle a avancé, même les jours où c’était plus difficile. Un jour, elle a intégré l’équipe d’un salon de coiffure pour 2 ans. Le patron l’avait embauché pour la casser ! Quelle drôle d’idée ! Ça a été dur, et paradoxalement hyper formateur. Elle a aussi rencontré des personnes qu’elles n’auraient sans doute pas rencontrées autrement.

Deux ans plus tard, elle est partie. Elle a intégré l’équipe d’un autre salon de coiffure où elle a passé 7 années. 7 années d’une richesse incroyable où elle a énormément appris sur elle et sur le monde qui l’entouraient. 7 années qui l’ont construite. 7 années qui lui ont permis de comprendre qu’elle n’avait pas envie de devenir comme sa hiérarchie. 7 années qui lui ont permis de comprendre que quelque chose de plus grand l’attendait ailleurs …

Alors, un jour, elle s’est cassée …

Aujourd’hui, j’ai envie de dire à cette petite fille qu’elle a le droit de dessiner des gens tous nus ou pas si ça lui chante. J’ai envie de lui dire qu’elle est douée, qu’elle est créative, et que même si elle pense qu’elle est nulle en dessin, tout ça ce n’est qu’une croyance et qu’elle peut la dégommer quand elle veut !

Cette petite fille n’est qu’un exemple parmi tant d’autre. Je crois profondément que nous sommes tous des êtres créatifs, que ce soit par l’Art proprement dit ou par tout autre forme de création. Je crois profondément que nous sommes tous là pour quelque chose de bien précis. Je suis intimement convaincue que nous avons tous quelque chose de bon à apporter au monde, pour peu que nous le décidions.

Tout part d’une décision.

Tu peux décider tout ce que tu veux.

Tu peux décider d’être malheureux toute ta vie, autant que tu peux décider d’être heureux à chaque instant.

Tu peux décider de galérer, de travailler dur et de souffrir, tout autant que tu peux décider de faire preuve de courage et de persévérance, en te respectant.

Tu peux tout décider à chaque seconde de ta vie.

Tu peux décider de glander sur Facebook ou de t’assoir devant ton ordi et d’écrire ce livre que tu as tant envie d’écrire.

Tu peux décider de continuer de chouiner et de croire que la vie est horrible et que de toute façon c’est trop compliqué ou tu peux décider de te relever et croire que tout est possible.

Je pense que nous sommes capables de bien plus que ce que l’on croit.

J’en suis intimement convaincue.

Quand j’étais cette petite fille, je rêvais que tous les gens de la planète s’aiment et se connaissent. Aujourd’hui, avec ma conscience d’adulte, je sais que l’on ne peut pas aimer tout le monde et que l’on ne peut pas plaire à tout le monde.

Mais je sais aussi que j’ai le pouvoir de créer du lien entre les gens. C’est une de mes forces.

Je crois que je suis née pour fédérer.

Je crois que je suis née pour rassembler.

Je crois que je suis née pour créer.

Je crois que je suis née pour faire valeur d’exemple et montrer au monde que tout est possible quand on y met du cœur, une pincée de courage et un grand bol de persévérance.

Je crois que j’ai du talent pour révéler la lumière de ton Âme et t’inviter à te reconnecter à toi-m’aime, même si cette phrase me parait surnaturelle …

Je crois que nous sommes capable de créer notre vie à chaque instant.

Je crois que nous sommes tous les Artistes de nos vies.

Nous sommes le 30 mars 2017.

Aujourd’hui, j’ai fait le bilan tout décousu de mon défi du mois de mars : 1 vidéo par jour, pendant 30 jours.

(Rooohhh !!! C’te tête !!!)

Je ne sais pas ce qu’il va se passer dans les prochains jours, puisque j’ai décidé d’arrêter de me retenir !

Oui mais les gens …

Oui mais les gens …

Combien de fois as-tu déjà commencé une phrase par : « Oui mais les gens … » ?

Combien de fois as-tu entendu une phrase qui commençait par : « Oui mais les gens … » ?

Je ne saurais te dire combien de fois je l’ai prononcé moi-même ni combien de fois je l’ai entendu …

Dernièrement, j’ai traversé une grande phase de remises en question. C’est souvent dans ce genre de phases que cette jolie phrase qui commence par « Oui mais les gens … » revient. Tu croyais qu’elle n’allait plus faire partie de ton vocabulaire. Tu croyais qu’elle avait même disparu du dico. Pas du tout, elle revient, sournoise, par surprise, prête à bondir pour te faire douter du chemin que tu empruntes.

Dans un de mes derniers articles (« Pourquoi je fais ce que je fais ?« ), je te disais que j’avais de la chance. Et c’est vrai. J’ai de la chance de créer à chaque instant une vie (et un métier) qui me ressemble.

J’ai de la chance d’oser mettre en place de  nouveaux projets et d’être bien entourée.

J’ai de la chance de m’autoriser à rêver grand. Tout autant que j’ai de la chance d’apprécier le silence du matin et la lumière magique du coucher du soleil.

J’ai de la chance d’avoir des jambes qui me permettent de marcher.

J’ai de la chance d’entendre le doux son d’une musique ou d’un chant d’oiseaux.

J’ai de la chance d’avoir mes deux yeux avec lesquels je peux apprécier la Beauté du monde.

J’ai de la chance de sentir le goût savoureux de bons légumes de saison, des épices des 4 coins du monde, du thé que je savoure en écrivant ces lignes ou du carré de chocolat noir que mes papilles apprécient.

J’ai de la chance de sentir la bonne odeur d’un gâteau fait-maison qui sort du four, des fleurs qui vont bientôt colorer les jardins ou de la sauge purifiante qui brûle les ondes négatives pour les transformer en lumière.

J’ai de la chance d’avoir mes deux mains grâce auxquelles je peux écrire ces lignes, dessiner, manger, photographier, couper les cheveux, maquiller, ouvrir un livre, toucher l’écorce d’un arbre, sentir la douceur de la soie et bien d’autres choses encore… 

Je pourrais écrire un roman sur le sujet.

J’ai de la chance et toi aussi tu as de la chance.

Et parfois, quand on se laisse accaparer par notre mental qui fait des siennes, par quelques tracas du quotidien, par quelques questionnements qui nous parasitent, par la peur qui repointe le bout de son nez dès qu’elle trouve une faille dans laquelle s’incruster.

Parmi les peurs qui m’ont poursuivi pas mal de temps (et qui profitent d’un moment de doute pour revenir me faire coucou !) et que je retrouve chez mes clients, il y a la peur de manquer, la peur de rater et sur le podium, je dirais sans hésiter la peur du regard des autres.

LES AUTRES !!! Toujours les autres …

Les autres, c’est toi, c’est moi, c’est eux, c’est nous. Je me suis rendue compte ces dernières semaines que j’étais beaucoup trop dure avec moi m’aime. Oui oui, ça m’arrive aussi. Bien plus souvent que ce que je croyais d’ailleurs.

Même si je fais beaucoup de choses, que je met beaucoup de projets en place, il faut que je te dise : je suis ENCORE LOIN d’être au maximum de mon potentiel ! Je le sais, je le sens. C’est là qu’arrive régulièrement l’auto-flagellation ! Hip ! Hip ! Hip ! Hourraaa !!!

Je sais que je ne suis pas la seule. D’ailleurs, si tu lis ces lignes, probablement que tu te reconnais et/ou que ça te fait penser à quelqu’un de ton entourage.

« Oui mais les gens, ils vont penser quoi si je quitte mon CDI alors que j’ai « la sécurité de l’emploi » et que j’ai tout pour être heureuse ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je suis photographe alors que tout le monde me connait avec l’étiquette de « coiffeuse-maquilleuse » ?

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je rassemble mes talents pour en faire quelque chose d’unique ? Ils vont penser que je m’éparpille ou que je fais tout et rien de bien. »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je me mets à écrire un livre alors que je ne suis pas écrivain ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si j’ouvre un groupe Facebook qui s’appelle « Cercle de Femmes Déjantées Créatives Libres Inspirantes et Heureuses » ? J’espère que je vais pas déshonorer l’aspect « sacré » du Cercle de Femmes :O

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je lance des ateliers pour les femmes « Révèle la déesse qui est en toi ! ». C’est pas un peu farfelue comme idée ? Et puis j’ai jamais fait ça ? Et si ça intéresse personne ?

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si j’utilise des Oracles pendant mes ateliers et mes séances photos ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je sors une nouvelle offre dès que j’ai une nouvelle idée ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je change d’avis sur tel ou tel sujet ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je me met à faire de la vidéo ? »

« Oui mais les gens ils vont penser quoi si je gagne de l’argent grâce à une/des activité(s) qui me passionnent ? »

« Oui mais les gens ils vont pas te trouver si tu n’es pas en première page de Google » 

« Oui mais les gens ils vont pas comprendre que tu vends des produits ou services, si ton site n’est pas assez commercial. » 

« Oui mais les gens ils vont pas comprendre que tu proposes des ateliers pour développer la créativité, le bien-être, la confiance en soi alors que tu es photographe. »

« Oui mais les gens … « 

Je continue ou tu as compris où je veux en venir ?

Je crois que la peur du regard des autres est la peur la plus récurrente dans notre société. A chaque nouveau pas, à chaque fois que JE me rapproche de « moi-m’aime », à chaque fois que TU te rapproches de « toi-m’aime », il y a au moins une seconde (voir plus. Souvent plus …) où je/tu vas prendre un malin plaisir (ou pas …) à élaborer les scénarios les plus catastrophiques.

Le scénario où ce que tu vas faire ou mettre en place ne va intéresser personne.

Le scénario où tout le monde va critiquer cette nouvelle idée qui vient de jaillir en toi comme une illumination.

Le scénario où ce nouveau service/produit que tu vends, personne ne va en vouloir.

Le scénario où tu ne vas sûrement pas changer de coupe de cheveux ou te teindre les cheveux en vert alors que tu en rêves depuis siiiii longtemps, (je dis n’importe quoi ! J’espère que ça te fait sourire, même un petit peu 😉 Ça mérite qu’on en rigole, je t’assure) parce que les gens ils vont pas comprendre ! 

Le scénario où tu te dis que de toute façon le sujet dont tu as envie de parler sur ton nouveau blog, il a déjà été abordé des millions de fois par d’autres gens alors ça sert à rien.

Le scénario où tu te dis que c’est trop simple comme idée/service/produit alors tu peux pas te permettre de vendre « ça » parce que tu es capable de tellement mieux, c’est ridicule voyons !

Le scénario où tu te dis que les autres ils ont l’air de tellement mieux réussir que toi alors ça sert à rien de faire ce que tu fais.

Le scénario où tu te dis que …

Tu as compris où je veux en venir ou je continue ?

Ça te parle ce genre de scénario ? Et pourquoi on ferait pas un scénario de ouf trop bien !!! Genre :

« C’est génial ! J’ai eu une super idée ! Je suis sûre que ce nouveau projet va cartonner ! J’ai trop envie d’en parler à la Terre entière ! Oh la la ! Je pétille trop ! Ah tiens ! Je vais faire une vidéo pour en parler ! Je suis sûre que ça va intéresser plein de gens ! Bon, j’ai un peu peur quand même mais c’est tellement génial ! Je sens que j’ai le « Power » en moi pour dépasser ça. Ah oui ! Et cette nouvelle offre qui va aider plein de gens, je vais aussi faire une vidéo pour en parler et je vais aller voir plein de gens que ça pourrait intéresser. Je suis trop contente, je vais pouvoir aider plein de gens à améliorer leur vie grâce à ce nouveau concept, cette nouvelle idée, cette nouvelle offre ! J’adore !!! En plus, avec l’argent que je vais gagner, je vais pouvoir investir pour améliorer la qualité de mon travail et aider encore plus de gens. Ah la la ! Je suis trop excitée !!! Youpiiii !!! J’ai envie de sauter, danser, vivre, courir, voyager, faire le tour du monde en 80 jours !!! Je suis trop contente !!! »

Alors ? Ça fait quoi ? Ça te fait quoi de lire ça ? Ça te fait quoi de lire ce scénario positif ?

Aujourd’hui, je t’invite à partager en commentaire TON scénario. Écris ton propre scénario MAINTENANT. Écris ton scénario Positif. Si d’habitude, tu as tendance à faire le scénario catastrophe. Écris, là, tout de suite maintenant, TON scénario positif, comme ça, sans réfléchir, et partage ce que tu ressens après avoir écrit ça. Tu te sens comment ? Sens-tu cette chaleur dans ton cœur ? As-tu ce sentiment que « Tout est Possible » ? As-tu la sensation de reprendre ton pouvoir Créateur ?

Fais le. Fais le pour toi. Fais le pour inspirer le monde. Fais le maintenant.

C’est pour ton bien-être et pour le bien-être du monde.

Parce que tu es quelqu’un de spécial, que tu mérites le meilleur et que le monde a besoin de toi.

Mais avant de vouloir sauver le monde, sauve-toi toi m’aime. Prends conscience de TA valeur. Prends conscience que tu as TA place. Fais TA part. A chaque instant, continue de faire ta part.

Avec amour et gratitude <3 <3 <3

Marie.