Je ne suis pas raisonnable quand je renonce à « l’ancien » pour accueillir le nouveau.

Je ne suis pas raisonnable quand je prends des décisions tranchées.

Je ne suis pas raisonnable quand je me lève à 5 heures du mat’ pour une séance photo juste parce que la lumière est magnifique.

Je ne suis pas raisonnable quand je dis non à quelqu’un alors que j’ai déjà dit oui, simplement parce que nous ne sommes plus dans la même énergie.

Je ne suis pas raisonnable quand j’investis pour moi-même et/ou mon entreprise alors que je n’ai pas l’argent mais une confiance inébranlable dans le fait que cet investissement est bon pour moi et que … bah l’argent il va venir de toute façon hein !

Je ne suis pas raisonnable quand je dis non à des projets que je ne sens pas, même s’ils sont bien rémunérés.

Je ne suis pas raisonnable quand je décide de quitter Facebook alors que la plupart de ma communauté me suit sur ce réseau (sujet d’actualité, je quitte Facebook ce soir)

Je ne suis pas raisonnable quand je décide de lancer une nouvelle offre alors que je ne sais même pas si ça va marcher !

Je ne suis pas raisonnable quand je suis mon intuition au-delà de la logique, et pourtant, je sais que c’est elle qui a raison. Finalement, pourrait-on dire de l’intuition qu’elle est raisonnable ?

Je ne suis pas raisonnable quand je me ressers à table par pure gourmandise.

Je ne suis pas raisonnable quand j’avance à contre-courant de la pensée collective.

Je ne suis pas raisonnable quand je décide de faire une pause alors que j’ai pleiiin de choses à faiiireee !!! 

Je ne suis pas raisonnable quand je dis à mes clients qu’on va improviser et se laisser porter.

Je ne suis pas raisonnable quand je me débarrasse des 3/4 de mes « possessions » pour faire de la place à ma créativité.

Bref, je ne suis pas raisonnable pour plein d’autres raisons, même si elles ne me viennent pas en tête là tout de suite maintenant.

Si je résumais Cela en une phrase, je dirais que je ne suis pas bien raisonnable quand je réponds à l’Appel de mon Âme.

Et toi ? T’en es où avec ta « raisonnabilité »?