#100jours100sourires : Prudence

#100jours100sourires : Prudence

J’avais toutes les bonnes excuses du monde pour ne pas sortir aujourd’hui.

1000 choses à faire et j’en passe … Et en même temps, il est toujours bon d’aller prendre l’air quand on a les idées qui pétillent dans tous les sens !!!

Alors, j’ai pris mon courage et mes vibes créatives avec moi et j’y suis allée !

J’ai rencontré une dame très pressée qui n’avait pas le temps et qui ne voulait pas non plus que je fasse la route avec elle … Puis un monsieur sur mon terrain de prédilection : le parking de supermarché ! (ironie…) et encore un monsieur… Puis un monsieur, au bord de l’eau cette fois… puis un autre, etc … Je crois qu’on m’a dit non 6 fois (bon, ça aurait pu être pire ! A un moment, j’ai arrêté de compter …).

Sur la route du retour, j’analysais cette expérience intéressante. Les messieurs étant majoritaires ce jour, je me suis questionnée sur leur rapport à l’image, car leur objection principale a été : « je n’aime pas être pris en photo ». Phrase qui a totalement fait écho en moi, car il y a quelques semaines à peine, à quelques mots près, j’entendais ces propos de la bouche des femmes. Ce qui m’a donné l’élan d’ENFIN proposer des ateliers pour elles à partir de 2017 (oui, oui, j’en parle très bientôt de manière plus concrète ! ).

Et les hommes dans tout ça ? … Alors que je me questionnais sur leur sort, sur ce que je pourrais leur apporter à mon échelle, avec les outils que j’ai à ma disposition … (Messieurs, si vous passez par là, ça me ferait bien plaisir que vous vous exprimiez en commentaire sur votre rapport à l’image, à votre image, votre identité, sur comment vous vous percevez et comment vous vous sentez perçus par le monde extérieur ?)

Malgré les refus, je ne rentrais pas chez moi avec un sentiment d’échec, mais plutôt avec une compréhension de l’humain grandissante, un champ des possibles de solutions à proposer pour un monde meilleur.

A quelques mètres du retour à mon bureau, j’ai vu une femme qui portait la vie en elle et c’était beau 🙂 Elle était très pressée. Elle aussi avait 1000 choses à faire, et la journée était loin d’être terminée. Elle aurait été ravie de contribuer à #100jours100sourires mais n’avait vraiment pas le temps. Alors, je lui ai proposé de faire un bout de chemin avec elle et elle m’a dit OUI. C’est avec beaucoup de joie que je partage son message aujourd’hui.

 

Je te présente Prudence.

 

Ce qui rend Prudence heureuse, c’est SA FAMILLE.

  • Et les petites choses de la vie … Il ne faut pas beaucoup pour être heureux dans la vie.

 

Prudence pense que tout est possible dans la vie quand on se donne les moyens.

  • Il ne faut pas attendre beaucoup de la vie non plus. Quand on sait faire avec le peu qu’on a, c’est déjà ça.

 

  • Le fait d’être en vie et en santé, c’est déjà « LE POSSIBLE » !

 

C’est vrai que quand on y pense, c’est un fabuleux cadeau d’être ici sur Terre, de pouvoir se réaliser et réaliser de belles choses inspirantes pour le monde <3 <3 <3 

 

Son plus grand rêve :

La Paix dans le Monde.

 

  • Savoir transmettre de bonnes Valeurs à nos enfants dès le bas âge et leur dire que nous sommes tous égaux : on nait tous un jour et on meurt tous un jour.

 

Un grand Merci à Prudence d’avoir contribuer chaleureusement à #100jours100sourires.

Et Merci à tout ceux qui m’ont dit non, qui ont participé à l’élargissement de mon champ de conscience, m’ont aidé à dépasser ma peur de l’inconnu, ainsi qu’à décupler ma créativité.

On se retrouve demain pour de nouvelles Aventures !!!

#100jours100sourires : David

#100jours100sourires : David

Après un week-end hors de festivités, retour dans « le monde réel » où je trouve les gens bien tristes :'(

Ai-je cette part de tristesse en moi ? C’est possible … En réalité, les fêtes de fin d’année ne sont pas mes moments préférés de l’année mais je me soigne 😀

Hier, j’ai eu deux fois l’occasion de me « confronter » au monde extérieur.

1er essai non concluant, je n’ai abordé personne et je n’avais pas tellement envie de me forcer.

2ème round, à la lumière de la fin de journée, j’avais envie de parler à personne. Ce n’est pas que j’aime pas les gens, bien au contraire ! Mais tu sais ce que c’est, les petites peurs qui reviennent au galop : la peur du rejet, la peur de déranger, la peur de l’inconnu …

Soudain, j’ai vu une jeune fille et j’ai eu envie de l’aborder, mais elle marchait tellement vite que je n’ai jamais réussi à la rattraper. Il aurait fallu que je pique un sprint !

Toujours est-il que grâce à elle, j’ai changé ma trajectoire et j’ai été attirée par un joyeux bonnet fluo 🙂

C’est à ce moment que j’ai rencontré David ! Il était habillé en vêtement de sport, il faisait ses étirements en musique. Après quelques secondes d’hésitation (toujours cette peur de déranger…), je me suis jetée à l’eau et c’est avec grand plaisir qu’il a dit un grand oui à #100jours100sourires 🙂 🙂 🙂

 

David pense que pour être heureux dans la vie, il faut avoir une passion !

La sienne est la course à pied. David prépare des marathons !

  • Ça fait partie de ma vie ! La course à pied, une fois qu’on est dedans, on ne sait plus en ressortir ! Même blessé, on va courir ! A partir du moment où l’on aime faire quelque chose, que ce soit la course à pied comme moi ou autre chose, on vit que pour ça. Dans ma tête, je ne pense qu’à la course à pied.

David a une femme, une vie de famille et un travail. Pour lui, la course à pied, c’est comme un deuxième métier, qui participe à son équilibre.

  • Je m’entraine quasiment tous les jours pour préparer un marathon en moins de 3 heures. C’est ma raison de vivre !

  • Il y a des coureurs qui courent à 5 heures du matin ! Pourquoi aller courir à 5h du matin ? C’est bien la preuve que c’est une passion. On est imprégné de la course à pied, on ne sait plus en sortir. Quand je commence le travail à minuit, j’en vois courir à 23H15 ! Quelle idée d’aller courir à 23H15 ! Chacun fait en fonction de ses contraintes horaires, son travail, sa vie de famille.

Nous abordons évidemment la notion de courage, puisqu’à mon sens, il faut quand même être très courageux pour aller courir à n’importe quelle heure et par tous les temps !

 

  • Le courage vient avec la volonté. La volonté vient avec le plaisir ! Le plaisir s’installe quand on fait ce qu’on aime. C’est un enchainement. Tout simplement … Si vous aimez faire quelque chose, que c’est une passion, ce n’est pas une contrainte pour vous, c’est naturel.

  • Je travaille la nuit, je dors le matin. Je vais courir vers 16H30. Pour moi, ce n’est pas une contrainte. Même blessé, même avec une douleur, je vais m’entrainer !

David pense que tout est possible dans la vie avec de la volonté.

  • La volonté, il faut aller la chercher ! Il faut se forcer. L’être humain n’est pas fait pour courir tous les jours, il faut le savoir.

David a l’esprit compétiteur. A l’âge de 41 ans, il prépare le marathon de Paris qui a lieu en avril. Grâce au but qu’il s’est fixé, même s’il s’accorde deux jours de repos par semaine, il trouve toujours la force, le courage et l’énergie d’aller courir quoi qu’il arrive.

  • Je m’accroche à ça ! C’est mon objectif : Paris => 2H55. Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige, je vais m’entrainer ! C’est une passion. Et en même temps, on oublie les tracas du quotidien, la misère de la vie … C’est tout simple … Il y a des gens, c’est la pêche, d’autres, c’est aller au stade … Ils dépensent leur argent là-dedans. Moi, je le dépense dans la course à pied et en plus, je m’entretiens. J’ai tout gagné !

David pense que celui qui n’a pas de passion dans la vie doit vraiment se faire chier. Et je suis plutôt d’accord ! J’ai dû mal à conceptualiser qu’on puisse être passionné par rien du tout 🙁

  • Après, c’est une façon de vivre comme une autre, je ne juge pas. Mais bon, le gars qui fume toute la journée, qui ne mange pas sainement, qui ne fait pas attention à lui …

La façon de vivre de David est construite autour de la course à pied.

  • C’est une drogue comme une autre, mais c’est une drogue naturelle 😉

Son plus grand rêve :

Le Marathon de New York !

  • En tant que coureur, c’est le rêve tout marathonien !

  • Après, le rêve dans la vie, ce serait de gagner au loto et de ne plus travailler. Ça, c’est le rêve de tout homme, de tout être humain …

« Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie. » – Confucius

 

Avec autant de courage et de détermination, je suis certaine que David va accéder à son rêve new-yorkais ! Je n’en doute même pas une seconde !

Ça m’a filé une de ses pêches d’échanger avec lui. Ça me donnerait presque envie d’aller courir, tellement il a communiqué sa passion avec tant de vérité :O 

MERCI MERCI MERCI <3 <3 <3

#100jours100sourires : Koceila

#100jours100sourires : Koceila

Voilà quelques jours que je n’ai pas posté de portrait #100jours100sourires par ici 🙂

Je pensais me mettre en pause ce week-end. Finalement, j’ai quand même tenté ma chance samedi dernier en allant acheter mes fruits et légumes. J’ai rencontré un monsieur, agent immobilier, un échange un peu furtif mais plutôt agréable. Il ne souhaitait pas apparaitre sur internet, ce que je peux concevoir. Ça n’enlève rien à la valeur des liens humains qui se créés à travers ce projet.

Au retour, j’ai traversé un parking de supermarché et j’ai pris conscience que c’était l’angoisse totale pour moi, d’aborder des gens dans ce contexte. Je voyais les gens pressés dans tous les sens avec leur caddie. Je comprend pourquoi je ‘boycotte » les supermarchés …

Bref, je n’ai pas du tout réussi à aborder qui que ce soit, j’étais tétanisée :O  Ce sont des choses qui arrivent 🙂 Ce n’est pas pour autant qu’il faille baisser les bras.

A deux pas de chez moi, je croise un monsieur alors j’y vais. Il ne souhaitait pas non plus apparaitre sur les réseaux. Ça arrive. Je suis tout de même contente d’avoir osé, même si notre échange fut très furtif.

Un bonjour et un sourire, c’est déjà beaucoup et ça peut illuminer la journée d’une personne. Ça parait insignifiant, et pourtant c’est précieux dans ce monde à 1000 à l’heure où nous nous croisons tous en se regardant à peine.

Dimanche, je crois bien que je n’ai pas mis le nez dehors. C’est rare. Pourtant, c’est le coeur en joie que j’ai mis en ligne l’interview portrait d’Artiste de Mimi The Clown <3 <3 <3

Si tu ne l’as pas encore lu et/ou écouté, c’est par ici : Mimi The Clown et si on riait un peu ?

Lundi, c’est dans un restaurant que j’ai abordé un monsieur. Il ne souhaitait pas être photographié, ni apparaitre sur Internet (t’as l’impression que je radote là ?) Cependant, je me souviens de son regard. Un regard admiratif et rempli de gratitude. J’ai vraiment été touchée. Il m’a encouragée à poursuivre ce projet. Il m’a même proposé de manger avec lui, mais j’attendais le groupe des Entrepreneures en Nord, alors j’ai décliné.

Je suis reconnaissante pour ce moment.

Mardi, j’ai lâché mon appareil photo et mon dictaphone pour la journée. Je me suis offerte une plante rouge flamboyante. J’ai lâché prise, c’est comme ça qu’on dit je crois. Et plein d’idées se sont structurées pour les nouveaux ateliers que je souhaite mettre en place l’année prochaine.

 

Je pensais attendre janvier pour migrer mon dernier blog sur mon site. Et hier, ça m’a pris. Il fallait que je le fasse MAINTENANT.

Tu sais, ces moments où tu sais que c’est comme ça que ça doit être.

Alors, je l’ai fait. Et apparemment, tout s’est bien déroulé.

Il me reste encore quelques détails à régler mais ça y est, c’est officiel. Je me rassemble, je rassemble toutes mes facettes. J’étais flippée ! J’avais l’impression que je mettais toute nue devant le monde entier.

Ça parait peut-être ridicule mais se montrer tel que l’on est dans toutes nos dimensions, des fois ça fout les chocottes quand même ! Avouons-le !

Une fois ce travail accompli, il fallait vraiment que j’aille prendre l’air ! J’ai pris mon appareil photo en bandoulière, mon dictaphone dans ma poche, mon courage dans une main et ma détermination dans l’autre. Je sentais que j’allais rencontrer quelqu’un de bien. J’en étais persuadée. J’ai marché intuitivement sans trop réfléchir. Rien que ça, ça fait du bien.

J’ai aperçu un homme au loin avec sa capuche sur la tête. Ma première impression était qu’il devait être là pour se ressourcer. C’était près d’un cours d’eau. Après, mon mental m’a quand même dit : « Fais attention, regarde quand même la tête qu’il a, s’il a pas l’air trop bizarre ». N’importe quoi ! Ma première intuition était très bonne alors je l’ai écouté et j’y suis allée ! Victoire !!!

 

J’ai rencontré Koceila, qui était venu ici pour se ressourcer. Il était un peu triste et tracassé. Pourtant, dès le début de notre conversation, il adhère totalement au projet. Je lui mentionne mes refus de ces derniers jours et il me dit qu’il ne faut pas s’arrêter quand les portes se referment, qu’il faut essayer d’en ouvrir d’autres. Ça commence bien !  Je sens qu’il va y avoir un super message à faire passer là !

 

 

Les choses simples comme la famille, les relations humaines, faire ce qu’on aime, jouer au foot, conduire une voiture, aller à la plage, bronzer au soleil, se balader autour d’un lac … contribuent au bonheur de Koceila.

  • Après, il y a le côté financier qui aide un peu et qui égaye tout ça. Mais c’est ça, ce sont des choses simples.

Koceila me parle d’une grande étude que l’Institut Harvard à mener durant 75 ans, sur la question centrale : « Qu’est-ce qui fait votre bonheur ? ». 100 personnes, ainsi que leur famille, ont été suivi par des médecins, des psychologues …

  • Ils en sont arrivés à la conclusion que le bonheur se traduit par le contact humain, les liens familiaux. Toutes les personnes qui ont réussi à garder des liens humains et entretenir des relations enrichissantes, ce sont des personnes qui sont décédées plus tard que les autres, qui étaient plus heureuses dans leur vie, que des personnes qui ont tout le temps suivi uniquement la richesse financière par exemple. C’est une étude que j’ai lu récemment. Elle correspond à votre thème et je pense qu’elle va vraiment vous intéresser.

Quel cadeau !!! Je remercie sincèrement Koceila de m’avoir partager cette jolie pépite.  J’ai trouvé de Robert Waldinger, directeur de cette fameuse étude, que j’invite quiconque qui se sent appeler par ce sujet, à l’écouter.

Je partage le lien juste ici : « Qu’est-ce qui fait une vie réussie ? Leçons de la plus longue étude sur le bonheur ».

Je suis super heureuse de ce partage. Quand on écoute son intuition, quand on ne se laisse pas abattre, quand on ne se laisse pas dominer par ses peurs, que de cadeaux magiques, nous recevons ! MERCI <3 <3 <3

  • La famille a toujours été quelque chose de très important pour moi. Quand il y a des échecs au niveau professionnel ou autre, on revient toujours vers la famille. C’est un lien très important, c’est un environnement qui nous protège beaucoup, qui nous permet de reprendre des forces et de l’énergie. Et repartir de plus belle, après !

  • La vie, les expériences nous forgent. Les échecs et les réussites nous forgent aussi. C’est un parcours qui fait, qu’à la fin, on prend conscience de l’essentiel.

 

Koceila pense que tout est possible dans la vie.

  • Il y a beaucoup de personnes qui sont parties de rien, et qui ont réalisé des choses, qui ont réalisé des rêves. Steve Jobs, par exemple, et beaucoup d’autres… ils sont partis de rien …

 

Je demande à Koceila, une de ces dernières peurs qu’il aurait transcendé dans sa vie et qui lui a apporté quelque chose de positif après.

  • La peur des limites. Par exemple, le fait d’intégrer une grande entreprise ou une grande école.

Koceila a fait de grandes études de mathématique et dans le domaine financier.

  • On se demande si on va y arriver … Et le fait d’y aller, d’être bercé dedans, d’avoir de la volonté, de travailler, persévérer, nous forge et nous fait dépasser cette peur. Surtout quand on réussit derrière ! C’est super bénéfique ! Ce que je vous partage, ça fait partie de mon expérience. Des expériences qui forgent …

 

Le plus grand rêve de Koceila :

  • Mon plus grand rêve ! Très bonne question, je n’y ai pas encore pensé ! (rires)

 

  • Tout simplement, c’est un rêve plutôt humble, ce serait de construire une famille, d’avoir de beaux enfants, les voir réussir et vivre dignement.

 

  • Ça peut vous sembler anodin, mais c’est un rêve que tout le monde espère … ça serait déjà pas mal de réaliser tout ça.

 

Je souhaite de tout mon cœur à Koceila de réaliser son rêve, puisque le credo que Tout est Possible existe, je n’en doute pas une seconde, qu’il construira une belle famille avec de vraies valeurs.

Waw ! Des rencontres comme ça, ça remplit le cœur, n’est-ce pas ?

Si toi aussi, tu as envie d’inspirer un peu de bonheur dans ce monde, partage ce portrait si ça te chante, garde le sourire et dis bonjour. Et même si ça te parait pas grand chose, sache que chaque petite action positive contribue à rendre le monde meilleur.

#100jours100sourires : Debruyne

#100jours100sourires : Debruyne

Après un premier refus, dans le style : « Ça m’intéresse pas !!! », je ne me suis pas laissée abattre. Je prends conscience que ça fait partie du jeu. Comme je dis souvent dans mes articles, on peut pas faire l’unanimité, on peut juste faire notre part et agir pour ce en quoi l’on croit profondément.

Je crois en la Beauté de ce Monde et je crois que chaque Être Humain, c’est de l’Or en Barre dont la lumière ne demande qu’à se révéler.

Et si je fais le bilan, je rencontre de plus en plus de gens ouverts d’esprit et acteurs du changement positif dans ce monde 🙂

Il paraitrait que l’on attire à soi les personnes qui nous ressemblent, les gens qui sont dans la même vibe que nous. D’ailleurs si tu es en train de lire cet article, c’est que toi aussi tu crois qu’un monde meilleur est possible. Je crois profondément que tout est possible et que nous sommes tous acteurs du changement, comme des maillons d’une chaîne humaine géante dont nous tissons les liens ensemble. 

Donc, après ce premier refus, j’ai aperçu au loin un homme qui riait avec son fils.

J’ai trouvé ça beau 🙂

J’ai rencontré Debruyne, qui aurait beaucoup aimé contribuer mais qui était assez pressé, alors je lui ai proposé de marcher avec lui. Et même si notre échange fut très court, je suis très heureuse d’avoir croisé sa route.

 

 

C’est son fils, Tao, qui contribue au plus grand bonheur de Debruyne. Et ça se voit !

Tao, magnifique ! Ce n’est pas très courant comme prénom et j’adooorrreee !!! Ça me parle énormément 🙂

  • Ça veut dire le destin, la route du destin. Je crois au destin parce que moi et sa maman, c’était le destin quand on s’est rencontré ! C’est pour ça que nous avons appelé notre fils Tao.

 

Le destin, la destinée, ces mots résonnent encore dans ma tête. Je suis convaincue que c’est ce que je devais entendre à cet instant.

 

Debruyne pense que tout est possible dans la vie si on y met tous du sien.

 

 

Son plus grand rêve :

 

  • VOYAGER

 

  • Mais il faut de l’argent pour ça …

  • J’ai déjà voyagé mais il y a des pays que j’aimerais bien faire : l’Australie, l’Afrique …

 

Il y a énormément d’alternatives pour voyager même avec très peu de moyens. Des tas de gens en sont l’exemple. Je souhaite de tout mon cœur à Debruyne de réaliser son rêve et d’inspirer son fils, sa compagne et tous les gens qu’ils croisent sur son chemin. 

Et si notre rencontre était un signe du destin pour créer un déclic ? 😉

 

Un mot de la fin à partager au monde ?

  • Quand on me pose des questions comme ça, il faut y réfléchir quand même … (rires) Dans tout le monde, qu’il n’y ait plus de guerres, que tout le monde s’entendent bien.

  • Et Vive la Vie tout simplement…

 

Toutes ces rencontres sur ma route ne sont pas anodines. Même si souvent, elles ne durent que quelques minutes, je suis convaincue qu’elles ne sont pas le fruit du hasard. Je suis convaincue que tout est en nous, que nous sommes tous capable d’œuvrer pour un monde meilleur. En agissant aujourd’hui, nous créons le monde de demain, un monde des possibles qui ouvre un champ de possibilités infinies !!!

 

MERCI <3 <3 <3

#100jours100sourires : Catherine

#100jours100sourires : Catherine

J’avais encore 1000 bonnes raisons de ne pas sortir aujourd’hui. Je me devais d’être PRODUCTIVE … Oh le gros mot !

 

Productive, c’est moche comme mot …

 

Bref, en bonne chef d’entreprise modèle, je ne décolle pas de mon ordi, j’annule mon rendez-vous chez la dépoileuse (si vous voyez un Yéti aux cheveux roses dans le coin, tout est normal …), je m’impose de finir ceci et cela tout de suite, parce que c’est urgent, parce que ceci, parce que cela.

Si tu te reconnais dans cette description, fais-moi un coucou en commentaire, je me sentirais moins seule.

En vrai, je ne me sens pas seule, je sais que nous sommes plein d’indépendants à s’infliger ce genre de choses. Pourtant, je croyais que ça ne pouvait plus m’arriver, parce que j’ai bien appris mes leçons et je sais ô combien il est important de faire des pauses, de prendre soin de soi et tout le blabla habituel.

D’ailleurs, je ne sais pas comment ça se passe pour toi, mais quand ça m’arrive, j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur cette soit-disant tâche urgente. Je commence à m’éparpiller, à me dire tiens : « il faut que j’appelle cet organisme », « ah oui, faut que je réponde à ce mail », « faut que je réponde à mes messages sur Facebook« …

 

« FAUQUE », lui aussi c’est un gros mot.

 

Heureusement, un éclair de lucidité est arrivé. Je me suis vue de l’extérieur et j’ai dit STOP ! Allez Marie ! Tu vas prendre l’air ! Même si ce n’est qu’un quart d’heure va prendre l’air ! Je sais à quel point c’est bénéfique.

Je sais à quel point le pouvoir de la pause est puissant. (Spéciale dédicace à Laure et sa déconnexion multipotentielle).

La pause est ressourçante et en plus c’est gratuit !

La pause libère le mental.

La pause est la clé des idées novatrices.

C’est reconnu, les meilleures inventions sont arrivées comme une ampoule qui s’allume d’un coup dans le cerveau de l’inventeur, dans un moment de lâcher prise total. 

Bref, j’ai fait une pause !

Et j’ai rencontré Catherine !

Ce fut un grand bonheur de rencontrer Catherine, qui, elle aussi, faisait une pause en promenant ses chiens. On s’est bien trouvé ! Et il se trouve que nous sommes voisines.

 

Ce qui rend Catherine heureuse dans la vie, ce sont son compagnon et ses animaux. Comme elle promenait trois chiens, je pensais que c’était son métier, mais pas du tout, j’étais à côté de la plaque ! Ce sont les siens 😉 Ils s’appellent Voyou, Gipsy (je ne suis pas sûre) et mince je ne sais plus, Catherine si tu passes par là, help !!! (je galère toujours avec les prénoms, grrr)

 

Catherine travaille chez Toyota. Elle s’occupe de tout ce qui est équipement, dans le secteur qualité et dans la calibration des équipements. Elle aime le fait d’être polyvalente et d’être en contact avec les gens.

Catherine pense qu’à partir du moment où l’on veut quelque chose qui nous tient vraiment à cœur, et qu’on fait tout pour l’obtenir, c’est possible !

  • Peut-être pas tout, car parfois on veut des choses qu’on ne peut pas obtenir tout de suite. Mais oui, en y en mettant de la volonté, pourquoi pas ?

 

La dernière fois que Catherine a transcendé une peur :

  • Je suis quelqu’un de très réservée, très renfermée. Avec mon boulot, je suis obligée d’aller voir des gens. Rien que ça, c’est pas évident. Après, quand je le fais, je me dit que « oui, je suis capable de le faire ». Ça motive et ça donne confiance en soi.

 

Le plus grand rêve de Catherine :

  • Avoir une belle maison à la campagne avec plein d’animaux autour ! C’est un projet pour dans une dizaine d’années.

 

Je remercie Catherine de tout mon cœur pour cette parenthèse nature et partage. Je lui envoie plein d’amour et de lumière pour l’accompagner au quotidien et dans la réalisation de ses projets. Et Merci d’avoir contribuer à #100jours100sourires.

Continuons d’inspirer le monde en créant du lien, en ouvrant notre regard sur la Beauté du Monde et la Beauté en chaque Être Humain.

Oui, même si parfois je passe pour une utopiste, la Beauté est partout, à commencer par nous-mêmes. Nous avons un potentiel de dingue et des qualités phénoménales à explorer et partager au monde. Le tout est d’en prendre conscience et d’Oser faire un pas, même tout petit, chaque jour.

 

« Sois le changement que tu veux voir dans le monde. – Gandhi.

#100jours100sourires : Stefaan !

#100jours100sourires : Stefaan !

Ça a commencé à l’arrêt de bus … Un jeune homme que je n’aurais jamais abordé autrement. Il a trouvé ma démarche un peu bizarre au premier abord. Partagé entre le Oui et le Non de contribuer à #100jours100sourires

Finalement pas de photo pour aujourd’hui mais une super discussion pendant tout notre trajet en bus ! Recréer du lien dans ce monde où nous sommes la plupart du temps happés par des écrans ici et là. Un jeune homme de 18 ans avec une très grande conscience de la Vie. Merci pour ce moment ! Et si tu passes par là, je te souhaite de tout cœur de réaliser ton rêve ! En tout cas c’est bien parti !

Un rendez-vous plus tard avec une amie photographe chère à mon cœur, j’étais de nouveau en quête d’un nouveau visage et d’une nouvelle histoire pour #100jours100sourires.

Je me mets en tête d’aborder un homme. Pas simple dans une ville où des gens courent dans tous les sens, dans l’euphorie des fêtes de fin d’année.

Soudain, un joli pull rouge a attiré mon regard au loin, alors je me suis jetée à l’eau et j’ai rencontré Stefaan (je ne suis pas sûre que son prénom s’écrive comme ça pour de vrai mais c’est son nom de star sur Facebook !) 

J’ai le droit de dire que t’es une star, Stefaan ? 

 

 

La discussion commence très fort avec des trolls et des petits lutins ! Et pour cause ! Stefaan fait de la musique celte, slave et aussi « de la musique qui chante le Nord » ! Si tu veux en savoir plus sur son actu, maintenant qu’il est devenu une star internationale, tu peux le retrouver ici -> Stefaan Linselles.

Ce qui rend Stefaan heureux dans la vie :

  • Les Femmes ! Les copines, les grandes sœurs, les petites sœurs …

 

Est-ce que tout est possible ?

  • Ça dépend … ça dépend si on se donne. Il y a plein de gens qui ont prouvé que tout était possible en se donnant.

    Ce n’est pas évident. Il faut beaucoup de courage, beaucoup de foi !

    Une foi, qu’on soit croyant ou pas. La foi n’est pas uniquement réservée à la religion.

    Et un MAAAAaaaaxxxx de Foliiiie !!!

 

Un MAX de FOLIE !!! J’adoooreee !!!

 

La dernière peur que Stefaan a transcendé :

  • Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ça. Généralement quand j’ai peur, ça peut être de tout et n’importe quoi. C’est pas une peur. Ça peut être : « han ! J’ai eu peur de la CAF ! » (rires)

  • Je crois que la peur peut donner un sentiment de réalisation. On peut y arriver, on peut transcender toutes ses peurs ! Quand on fait le bilan, on y gagne toujours. Ça donne plus de conscience, de foi, de confiance en soi.

  • Maintenant les trucs qui font vraiment peur : « arf… la petite vie quotidienne banale … » Ah si ! J’ai une peur ! J’ai eu peur de ne pas pouvoir sortir du Marché de Noël ! Je n’ai pas trouvé la sortie. J’ai cru que j’allais devenir fou. Je ne trouvais pas et je voyais les mêmes gens. Je croisais que des barbus, je me disais : « c’est normal, c’est qu’ils doivent être là depuis plusieurs jours ». Ça fait peur …

Je dois avouer que j’ai bien ri durant cet échange teinté de beaucoup d’humour !

 

Le plus grand rêve de Stephaan :

  • Parler ma langue (le flamand), la comprendre et rendre les gens heureux.

  • Et trouver la femme qui veuille bien de moi ! (rires)

 

Merci à Stefaan pour cet échange pétillant et plein d’entrain ! C’est que du bonheur !!!

Si toi aussi cher lecteur, chère lectrice, tu as l’élan de partager des sourires d’inconnus sur ton chemin, utilise le hashtag #100jours100sourires et inspire le monde à ton tour !

A demain pour la suite des Aventures !!!